La cie ADN fraîchement sortie du TNBA (Bordeaux) vous propose sa première création : Songe d'une nuit d'été !
C’est la folie dans une forêt aux portes d’Athènes ! Une nuit, deux couples contrariés dans leurs amours fuient dans la forêt... Ajoutons à cela une jeune troupe d’artisans qui répètent en secret une pièce à présenter au duc, les disputes rocambolesques d’Obéron et Titania, les gardiens des fées, nous obtenons une pièce lumineuse ! Un théâtre de tréteaux. Il y a un plateau nu. Cinq comédiens jouent tous les rôles, dans une adaptation virevoltante, jouissive, oscillant entre l’onirisme de l’amour et la brutalité du monde réel. Bestialité et nonchalance. Dans une forêt un peu effrayante, Puck, sorte de Gainsbourg sexy, égare les amoureux et les comédiens pour se rire de leur perte. L'artifice théâtral se déploie à travers des tours de magie maladroits, pour le plus grand bonheur du public. Dans cette course folle, s’enchaînent les accidents d'une nuit d'ivresse et de plaisir. Sous les étoiles...
Le théâtre redevient alors cet art ancestral et à l’heure d’internet, des jeux vidéo, du rythme frénétique de tous ces écrans, il puise sa force de l’instant présent, d’un rapport intime et privilégié avec les spectateurs.
Mise en scène : Anthony Jeanne Assistant à la mise en scène : David Brémaud, scénographie : Alyssia Derly, costumes : Ely Mechain et Louise Deldicque. Avec : Jérémy Barbier d’Hiver, Clémentine Couic, Simon Delgrange, Axel Mandron et Julie Papin.
• « Je les ai vus à Saujon. Comment dire, j'ai pleuré de rire, j'ai rêvé, j'ai été émue, bouleversée. Plus de 200 personnes captivées ce soir, même mal assises, même éloignées. Personne ne les a lâchés des yeux et pour cause ! Ils sont fabuleux, ils virevoltent d'un rôle à l'autre, d'une émotion à l'autre, toujours juste, toujours surprenants, époustouflants de jeunesse, d'énergie, de talent ! Que c'est beau de voir cette passion, cet élan, cette générosité dans cette jeunesse habitée de théâtre, que c'est beau de pouvoir partager ces moments de grâce avec eux » souligne une spectatrice.
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