Nicolas Hulot en Charente-Maritime en avril dernier |
Il a choisi de ne plus se mentir, ni se résigner, face au constat que l’urgence écologique est fondamentalement incompatible avec le projet libéral auquel obéit au quotidien le gouvernement.
Nous affirmons à nouveau que seule la présence aux responsabilités d’élu·e·s écologistes peut permettre une action à la hauteur des enjeux. Elle est nécessaire à l’échelle nationale, européenne, mondiale, mais aussi dans les territoires et les collectivités locales, pour instaurer la coopération et la transversalité dans les politiques publiques, indispensable à la prise en compte globale de l’impératif écologique. Et la Région doit être à la pointe pour impulser un changement de fond.
En tant qu’élus écologistes néo-aquitains, avons initié ce changement en soutenant la mise en œuvre d’Acclimaterra, (un rapport issu des travaux de 240 chercheurs visant à éclairer et anticiper les changements climatiques en Nouvelle-Aquitaine), d’Ecobiose, (« GIEC » pour la biodiversité), pour l’adoption d’un plan ambition agri bio…
Nous allons redoubler d'énergie et de combativité devant l'injonction qui nous est faite de répondre rapidement et collectivement aux enjeux environnementaux menaçant la survie du vivant et de l'humanité. L’actualité, encore une fois, nous rappelle le devoir d’amener la majorité régionale à engager une vraie politique écologiste, transversale et exigeante ».
Léonore Moncond'huy, co-présidente du groupe écologiste et citoyen
Jean-louis Pagès, co-président du groupe écologiste et citoyen
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