S'y ajoutent des explications rationnelles comme celle de Jacques Deferne, conservateur honoraire au Muséum de Genève : « Lorsque le soleil se couche ou se lève, il traverse une plus grande épaisseur d'atmosphère. Les molécules d'azote et d'oxygène absorbent et diffusent sélectivement le bleu et ce ne sont plus que les rayons colorés dans les rouges qui parviennent à votre œil. De plus, la pollution accentue ce phénomène. C'est le seul point intéressant de la pollution : elle provoque des couchers de soleil très beaux !».
Question : doit-on se réjouir de la pollution qui orchestre l'horizon en des roses sublimes ou se contenter des teintes rougeoyantes et dorées des couchers de soleil ?...
Photos @ Nicole Bertin
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