Il y a quelques semaines, nous exposions le cas de Véronique Géraud, déléguée syndicale, menacée de licenciement au Complexe aquatique des Antilles de Jonzac pour avoir, entre autres, attiré l'attention de la Médecine du travail et de l'Inspection du travail sur des poussières allergènes résultant du ponçage de gel-coat (se trouvant dans le fond du lagon).
L'Inspection du travail vient de refuser son licenciement pour vice de forme. Elle reprendra donc ses fonctions dès que la Médecine du travail jugera qu'elle est apte. Cette affaire, en effet, l'a secouée, mais les témoignages d'amitié qu'elle a reçus l'ont beaucoup touchée.
2 commentaires:
ça n'est pas la seule toute personne pensante sera licencié tot ou tard a la cdchs c'est monnaie courante moi meme je suis passee par la
Courage Véronique ! Tu as osé résister à notre petit facho local et tu payes ce crime de lèse majesté ! Bien des employés sont passés par là, y compris une jeune fille qui venait d'être embauchée au bureau du C.G. à Saintes mais qui, ne connaissant pas son président de l'époque, avait osé lui demander "qui êtes vous ?" La justice vient de te donner raison. Résiste !! Et porte toi mieux !
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