La péniche restaurant Le Batiâ |
Cette convention est consentie pour une durée de 20 ans jusqu'au 23 mai 2036. La redevance demandée aux restaurateurs est 19200 euros annuels (soit 1600 euros par mois dont une partie sera reversée au Département, responsable du domaine fluvial). « Tout ne rentrera pas dans notre poche. Nous percevrons environ 1000 euros » souligne Nelly Veillet, adjointe au maire.
Nelly Veillet (à gauche de la photo) a présenté cette convention |
Le public (moins nombreux qu'à l'habitude) |
Nelly Veillet réagit : « si le couple a fait de tels investissements, ce n'est pas pour partir demain ! D'une manière générale, les mairies doivent soutenir le monde économique ». Et puis, comme le rappelle l'avocate Fanny Hervé à Philippe Callaud « le fleuve ne vous appartient pas puisqu'il dépend du Conseil départemental ». Il est donc normal que cette collectivité perçoive "l'octroi" !
De toutes façons, les dus d'albe sont pérennes et peuvent accueillir d'autres projets. L'amarrage (qui profite aussi à la gabare et au Palissy II) s 'élève à 200.000 euros, coût qui a bénéficié de subventions.
« Cet investissement s'insère dans le projet de valorisation des rives de la Charente. La péniche restaurant sera un atout touristique parmi les tables gastronomiques du paysage saintais » explique Jean-Philippe Machon. Dans la foulée, le maire va revoir la tarification sur le stationnement des bateaux le long des quais dans Saintes. En effet, il sera payant dans un proche avenir...
Dans les rangs de l'opposition, Renée Lauribe Benchimol remplace Jean Pierre Boutet Petit (PRG). Deux absents Isabelle Pichard Chauché et Jérôme Baron |
Pas mal d'absents aussi dans les rangs de la majorité. On notera la présence de Frédéric Neveu, présent malgré les grèves SNCF ! |
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