• ERMITAGE SAINT MARTIAL TOUS LES VENDREDIS SOIR
Sonorisation de chants grégoriens dans la chapelle de l'ermitage, tous les vendredis de 19 h à 20 h. Entrée libre. Renseignements : 07 82 59 63 78
• DIMANCHE 3 JUILLET “Matinées découvertes“, tous les premiers dimanches du mois, visite approfondie, départ 10 h jusqu’à 14 h 30. Apportez votre repas, libre participation, sur inscription uniquement au 07 82 59 63 78
• DIMANCHE 3 JUILLET
Organisé par l’association Graines d’estuaire toute la journée : Marché des producteurs et des vignerons , produits du terroir, artistes « au naturel », restauration, buvette, Alambic et dégustation de cognacs, vente de poules, ateliers, les livres de la librairie nomade.
9 h 30 : Balade découverte du marais humide : histoire, rôle, enjeux (2 h) (Association Biosphère environnement)
à partir de 10h : Atelier "cuisiner les restes" (Association Terdev)
Atelier "le labo mobile » les richesses microscopiques de l’eau (association BIosphere environnement) Atelier « compost"
11 h 30 : Dégustation des vins bio avec l’oenologue Lilas Carité, spécialiste des vins bio - (verre pass 4€) 12 h : Apéritif offert par Vitibio 12 h-14 h assiettes du terroir restauration sur place 14 h 30: Les rencontres paysannes : La biodiversité dans les vignes un atout pour la préservation de l’eau et de l’environnement Delphine et Benoit Vinet, domaine Emile Grelier + d'infos: www.grainesdestuaire.fr
• VISITE GUIDÉE de MORTAGNE
MARDI 5-12-19-26 JUILLET à 11h JEUDIS 7-21-28 JUILLET à 16h avec Sylvie qui vous guidera à travers le passé prestigieux de Mortagne. Départ de l’office de tourisme - Libre participation - (Min. 4 personnes) Renseignements : Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• SAMEDI 9 JUILLET à partir de 19h30
Soirée flamenco organisée par le CREA TEAM, sous tivoli, place de la Pépinière Menu à 17 € Animée par Alonzo jusqu’à 22h, suivi d’un bal jusqu’au bout de la nuit Renseignements & réservations : Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• DIMANCHE 10 JUILLET
RDV 9h15 à l’écluse au port pour 2h de balade avec un ornithologue amateur. 2 € par personne. Renseignements : Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• DIMANCHE 10 JUILLET de 12h30 à minuit
Après-midi guinguette organisé par le CREA TEAM, sous tivoli, place de la Pépinière Journée animée par Bruno Djarane Menu-spectacle : 17 € Renseignements et réservations : Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• FERMES EN SCENE MARDI 12 JUILLET 2016
www.compagniepatrickcosnet.com organise un festival itinérant en milieu rural en parcourant les fermes de France sur une remorque agricole aménagée en scène de théâtre. Le mardi 12 juillet, le spectacle « la casquette de travers » aura lieu à la ferme de la Gravelle à Mortagne sur Gironde. La ferme accueillante, s’associe avec la chorale « au fil des autres » pour la première partie de cette soirée. La Cie Patrick Cosnet joue l’un de ses spectacles professionnels, aux thématiques à la fois rurales et universelles.
Bien plus qu’une fête à la ferme, cette opération originale devient le prétexte à une rencontre entre citadins, ruraux, agriculteurs et artistes.
Renseignements : Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• JEUDI 14 JUILLET
Brocante du judo rganisée par le Judo Club de Touvent toute la journée sur le port de Mortagne. Buvette et restauration sur place. 2.50 € le ml.
• EXPOSITION DE PEINTURE
Du samedi 16 AU Samedi 30 juillet au temple de Mortagne. Organisée par l’association « la Barbouille »
SAMEDI 16 JUILLET
Organisé par Le Comité des Fêtes sur le port à partir de 19h30 Office de tourisme au 05 46 90 52 90
SAMEDI 16, DIMANCHE 17 et LUNDI 18 JUILLET
Manèges au port de Mortagne et FEU D’ARTIFICE MUSICAL le LUNDI 18 au soir Renseignements : Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• DIMANCHE 17 JUILLET 2016 de 19h30 à 00h
Organisé par Le Conseil Départemental à la Pépinière, concert et bal populaire gratuits - restauration sur place. Renseignements : Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• LUNDI 18 JUILLET au port de Mortagne
SARDINADE AU PORT
FRAIRIE DE LA RIVE
BAL POPULAIRE
FEU D’ARTIFICE MUSICAL
• POT D’ACCUEIL DES VACANCIERS MERCREDIS 20 – 27 JUILLET
Organisé par L’Office de Tourisme. De 11 h 30 à 12 h 15 place de la Pépinière au port de Mortagne. Renseignements Office de tourisme au 05 46 90 52 90
• DIMANCHE 24 JUILLET
Apéro concert organisé par l'association La Yole, en fin d'après-midi. Venez vous détendre en musique avec Mark Apeuprêt, sa guitare et sa bonne humeur. Quai des pêcheurs. Boissons, tapas et crêpes à volonté !
• SAMEDI 30 JUILLET - REPAS DES CAISSES A SAVON
Organisé par le CREA TEAM. Renseignements et réservation : CREA TEAM au 06 64 49 49 30
• DIMANCHE 31 JUILLET - COURSE DES CAISSES A SAVON
Organisée par le CREA TEAM. Route de l’estuaire
• Office de Tourisme 1, Place des Halles - 17120 Mortagne sur Gironde
Tel : 05 46 90 52 90 contact@ot-mortagne.com www.ot-mortagne.com
L'information journalistique en Charente-Maritime : portraits, actualités politiques,
vie culturelle, artistique, patrimoine, histoire, voyages
jeudi 30 juin 2016
Les sept sites les plus menacés
d'Europe en 2016 : un exemple en Espagne
En mars de cette année, Europa Nostra annonçait la liste
des sites considérés comme les plus menacés en Europe.
Il y en a d'autres bien sûr mais il nous a semblé opportun de revenir
sur certains de ces sites pour éclairer les connaissances.
LES « 7 SITES LES PLUS MENACÉS » D’EUROPE EN 2016
Ces joyaux du patrimoine culturel en Europe sont sérieusement menacés, pour certains en raison d’un manque de ressources ou d’expertise, pour d’autres suite à une négligence ou une planification inappropriée. Il est donc nécessaire d’agir d’urgence. Des missions d’experts sur les sites vont être organisées et des plans d’actions réalisables seront soumis d’ici la fin de l’année. Le programme des « 7 sites les plus menacés » bénéficie du soutien du programme Europe Créative de l’Union européenne, dans le cadre du projet de réseau européen d’Europa Nostra « Mainstreaming Heritage ». Le site archéologique d’Ererouyk et le village d’Ani Pemza en Arménie, le Couvent Saint Antoine de Padoue en Estrémadure en Espagne, la Forteresse maritime de Patarei à Tallinn en Estonie, l’aéroport d’Helsinki-Malmi en Finlande, le pont Colbert de Dieppe en France, le Kampos de Chios en Grèce, et l’ancienne ville d’Hasankeyf et ses environs en Turquie ont été retenus comme les « 7 sites les plus menacés » du patrimoine en Europe en 2016.Le Couvent Saint-Antoine de Padoue en Espagne
La dégradation a débuté dès 1835 lorsque l'Etat Espagnol a expulsé les Franciscains et s'est poursuivi ensuite avec un incendie, puis un abandon.
Compte tenu de l’importance et de l’état critique du site, mais également du manque de ressources dans la situation économique actuelle, Hispania Nostra, qui a soumis la nomination pour la liste 2016 des « 7 sites les plus menacés », propose d’utiliser un maximum de bénévoles dans le but de restaurer le couvent et autres monuments aux alentours. Cette action devrait constituer un exemple des plus inspirants d’une vaste participation sociale dans un effort continu de protéger notre patrimoine, une tendance aussi prometteuse que nécessaire si la richesse de la tradition culturelle européenne se doit d’être préservée.
La Région Nouvelle-Aquitaine et France 3 Aquitaine vous font découvrir « la région comme vous ne l'avez jamais vue »
La Région Nouvelle-Aquitaine et France 3 Aquitaine s'associent tout l'été pour présenter au public une exposition de 20 photographies grand format des trois territoires qui composent la grande région.
Cette exposition, qui se tiendra du 4 juillet au 31 août à l'Hôtel de Région à Bordeaux (14 rue François de Sourdis), mettra à l'honneur les clichés réalisés par « Cap Sud Ouest », émission régionale de découverte de France 3, qui part à la rencontre des territoires d'une exceptionnelle richesse patrimoniale et humaine.
En effet, pionnière dans l'utilisation du drone en télévision, l'émission a, dès sa création en 2012, décidé de mettre au cœur de la réalisation cette « caméra volante ». Les photos, tirées de prises de vue aériennes avec un angle de 90 degrés, sont souvent déroutantes. « Il faut activer son imagination pour deviner dans ces visions géométriques et poétiques les coupoles byzantines de la cathédrale de Périgueux, les eaux caribéennes de l'océan à l'Ile de Ré ou encore un étang « impressionniste » dans le massif des Monédières » déclare Eric Perrin, présentateur.
Une salle dotée d'un écran permettra également au public de regarder les reportages les plus emblématiques de l'émission. Un espace plus « institutionnel » permettra quant à lui de retrouver la campagne de communication sur la fusion des régions, ainsi que des cartes du territoire présentant les principaux secteurs d'activités et filières, le patrimoine culturel et touristique, les principaux produits du terroir, et enfin les principales infrastructures de transport. Une borne numérique avec une carte interactive de la région permettra aux visiteurs de découvrir en vidéo les sites les plus remarquables.
L'exposition sera ensuite visible dans les Maisons de la Région de Poitiers et de Limoges.
Entrée libre et gratuite de 9h à 18h
• L'émission Cap Sud-Ouest, programmée le dimanche à 12 h 55, est à retrouver sur France 3 (Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes) à partir du dimanche 11 septembre.
Cette exposition, qui se tiendra du 4 juillet au 31 août à l'Hôtel de Région à Bordeaux (14 rue François de Sourdis), mettra à l'honneur les clichés réalisés par « Cap Sud Ouest », émission régionale de découverte de France 3, qui part à la rencontre des territoires d'une exceptionnelle richesse patrimoniale et humaine.
En effet, pionnière dans l'utilisation du drone en télévision, l'émission a, dès sa création en 2012, décidé de mettre au cœur de la réalisation cette « caméra volante ». Les photos, tirées de prises de vue aériennes avec un angle de 90 degrés, sont souvent déroutantes. « Il faut activer son imagination pour deviner dans ces visions géométriques et poétiques les coupoles byzantines de la cathédrale de Périgueux, les eaux caribéennes de l'océan à l'Ile de Ré ou encore un étang « impressionniste » dans le massif des Monédières » déclare Eric Perrin, présentateur.
Une salle dotée d'un écran permettra également au public de regarder les reportages les plus emblématiques de l'émission. Un espace plus « institutionnel » permettra quant à lui de retrouver la campagne de communication sur la fusion des régions, ainsi que des cartes du territoire présentant les principaux secteurs d'activités et filières, le patrimoine culturel et touristique, les principaux produits du terroir, et enfin les principales infrastructures de transport. Une borne numérique avec une carte interactive de la région permettra aux visiteurs de découvrir en vidéo les sites les plus remarquables.
L'exposition sera ensuite visible dans les Maisons de la Région de Poitiers et de Limoges.
Entrée libre et gratuite de 9h à 18h
• L'émission Cap Sud-Ouest, programmée le dimanche à 12 h 55, est à retrouver sur France 3 (Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes) à partir du dimanche 11 septembre.
Deux expérimentations nationales en Nouvelle-Aquitaine autour de la filière musicale et enregistrée
Les élus régionaux ont adopté à l'unanimité une convention liant la Région Nouvelle-Aquitaine, le Centre national de la Chanson, des variétés et du jazz (CNV) et le Ministère de la Culture et de la Communication lors de la séance plénière du lundi 27 juin dernier.
Première convention signée avec une grande Région
Cette convention entre la Région Nouvelle-Aquitaine, le Centre national de la Chanson, des variétés et du jazz (CNV) et l'Etat constitue le premier acte de la nouvelle politique culturelle à l'échelle de la grande Région.
C'est en effet la première à avoir été pensée et co-construite avec les acteurs de la filière « Musiques actuelles » de l'ensemble de la Région. C'est également la première à être déployée sur l'ensemble du territoire au travers de deux dispositifs et de quatre appels à projets (AAP) : AAP Coopérations professionnelles, AAP Développement numérique et nouveaux usages, AAP Développeur d'artistes, AAP Labels structurants.
C'est un engagement en 2016 de 260.000 € (130.000 € Région, 90.000 € CNV et 40.000 € Ministère de la Culture et de la Communication).
La Région Aquitaine pouvait être fière d'être la première Région à avoir adopté, le 22 juin 2015, une convention avec le CNV et créé un « Fonds pour l'accompagnement aux mutations socio-économiques de la filière « Musiques actuelles », la Région Nouvelle- Aquitaine adopte aujourd'hui la 1ère convention d'une Région fusionnée avec le CNV, préfigurant un contrat de filière musiques actuelles pour 2017.
Cette convention marque une véritable reconnaissance nationale de la politique de structuration de l'écosystème des musiques actuelles en Nouvelle-Aquitaine, avec les adhérents du RAMA (Réseau Aquitain Musiques Actuelles), du PRMA (Pôle Régional des Musiques Actuelles de Poitou-Charentes), de la FEPPIA (Fédération des Éditeurs et Producteurs Phonographiques Indépendants d'Aquitaine) et de l'AGEC (Aquitaine Groupement d'Employeurs Culture), lesquels rassemblent à ce jour 140 structures culturelles, 400 salariés, 44 millions d'euros de budget et 700 000 usagers.
Cette démarche de concertation a notamment permis la mise en place d'une politique régionale en faveur des musiques actuelles dotée de 4 millions d'euros et la création d'un maillage unique en France de 13 labels SMAC regroupant 16 lieux, 5 structures associées et 26 partenaires publics. Ce partenariat Région/CNV/Etat est doté globalement de 540.000 € sur la période 2015-2016. Il a été pensé en toute cohérence avec les programmes européens FEDER-FSE et avec les Contrats de plan État/Région 2015-2020.
Le comité de programmation s'est réuni jeudi 30 juin à l'hôtel de Région à Bordeaux pour sélectionner les lauréats des 4 appels à projets. 73 projets issus des professionnels de la nouvelle Région ont été reçus. Les aides seront votées lors de la commission permanente du 11 juillet prochain.
Expérimentation nationale « Labels indépendants structurants »
Signe que la Région est une terre d'expérimentation et d'innovation, cette convention intègre également le premier appel à projet commun Région/ministère de la culture et de la communication sur les « labels indépendants structurants ». Il s'adresse aux labels musicaux, éditeurs et producteurs phonographiques, et est doté de 40.000 € (20.000 € Région et 20.000 € Ministère de la Culture et de la Communication).
Cette première nationale, annoncée par Audrey Azoulay, ministre de la Culture, au Midem, va permettre d'accompagner conjointement l'écosystème des labels pour assurer leur transition numérique, et leur mutation économique. La ministre a confirmé que le niveau d'intervention pertinent pour ce soutien aux labels « structurants » était celui de la région, en s'adossant au nouveau « fonds de soutien à l'innovation et à la transition numérique de la musique enregistrée » du ministère de la Culture.
A l'issue de cette expérimentation nationale en Nouvelle-Aquitaine, ce dispositif serait étendu aux autres Régions.
« Cette expérimentation est une reconnaissance par le Ministère de la Culture et de la Communication d'une politique structurée de soutien aux labels indépendants, initiée dès 2006 par l'ex-Région Aquitaine, au travers d'un dispositif d'aide à la production et à l'édition phonographique, et d'un soutien annuel attribué, depuis sa création en 2007, à la Feppia - Fédération des éditeurs et producteurs indépendants d'Aquitaine » explique Eric Correia, conseiller régional en charge de l'économie créative, de l'innovation et des droits culturels.
Sur ces 10 années de mise en œuvre (2006 - 2016), la politique régionale de soutien aux labels indépendants a représenté un engagement budgétaire total de plus de 1,5 M€ (949.000 € pour l'aide au programme de production, 165.000 € pour la transition numérique, et 480.000 € pour la FEPPIA), renforçant ainsi la création et la diffusion de la diversité musicale.
Première convention signée avec une grande Région
Cette convention entre la Région Nouvelle-Aquitaine, le Centre national de la Chanson, des variétés et du jazz (CNV) et l'Etat constitue le premier acte de la nouvelle politique culturelle à l'échelle de la grande Région.
C'est en effet la première à avoir été pensée et co-construite avec les acteurs de la filière « Musiques actuelles » de l'ensemble de la Région. C'est également la première à être déployée sur l'ensemble du territoire au travers de deux dispositifs et de quatre appels à projets (AAP) : AAP Coopérations professionnelles, AAP Développement numérique et nouveaux usages, AAP Développeur d'artistes, AAP Labels structurants.
C'est un engagement en 2016 de 260.000 € (130.000 € Région, 90.000 € CNV et 40.000 € Ministère de la Culture et de la Communication).
La Région Aquitaine pouvait être fière d'être la première Région à avoir adopté, le 22 juin 2015, une convention avec le CNV et créé un « Fonds pour l'accompagnement aux mutations socio-économiques de la filière « Musiques actuelles », la Région Nouvelle- Aquitaine adopte aujourd'hui la 1ère convention d'une Région fusionnée avec le CNV, préfigurant un contrat de filière musiques actuelles pour 2017.
Cette convention marque une véritable reconnaissance nationale de la politique de structuration de l'écosystème des musiques actuelles en Nouvelle-Aquitaine, avec les adhérents du RAMA (Réseau Aquitain Musiques Actuelles), du PRMA (Pôle Régional des Musiques Actuelles de Poitou-Charentes), de la FEPPIA (Fédération des Éditeurs et Producteurs Phonographiques Indépendants d'Aquitaine) et de l'AGEC (Aquitaine Groupement d'Employeurs Culture), lesquels rassemblent à ce jour 140 structures culturelles, 400 salariés, 44 millions d'euros de budget et 700 000 usagers.
Cette démarche de concertation a notamment permis la mise en place d'une politique régionale en faveur des musiques actuelles dotée de 4 millions d'euros et la création d'un maillage unique en France de 13 labels SMAC regroupant 16 lieux, 5 structures associées et 26 partenaires publics. Ce partenariat Région/CNV/Etat est doté globalement de 540.000 € sur la période 2015-2016. Il a été pensé en toute cohérence avec les programmes européens FEDER-FSE et avec les Contrats de plan État/Région 2015-2020.
Le comité de programmation s'est réuni jeudi 30 juin à l'hôtel de Région à Bordeaux pour sélectionner les lauréats des 4 appels à projets. 73 projets issus des professionnels de la nouvelle Région ont été reçus. Les aides seront votées lors de la commission permanente du 11 juillet prochain.
Expérimentation nationale « Labels indépendants structurants »
Signe que la Région est une terre d'expérimentation et d'innovation, cette convention intègre également le premier appel à projet commun Région/ministère de la culture et de la communication sur les « labels indépendants structurants ». Il s'adresse aux labels musicaux, éditeurs et producteurs phonographiques, et est doté de 40.000 € (20.000 € Région et 20.000 € Ministère de la Culture et de la Communication).
Cette première nationale, annoncée par Audrey Azoulay, ministre de la Culture, au Midem, va permettre d'accompagner conjointement l'écosystème des labels pour assurer leur transition numérique, et leur mutation économique. La ministre a confirmé que le niveau d'intervention pertinent pour ce soutien aux labels « structurants » était celui de la région, en s'adossant au nouveau « fonds de soutien à l'innovation et à la transition numérique de la musique enregistrée » du ministère de la Culture.
A l'issue de cette expérimentation nationale en Nouvelle-Aquitaine, ce dispositif serait étendu aux autres Régions.
« Cette expérimentation est une reconnaissance par le Ministère de la Culture et de la Communication d'une politique structurée de soutien aux labels indépendants, initiée dès 2006 par l'ex-Région Aquitaine, au travers d'un dispositif d'aide à la production et à l'édition phonographique, et d'un soutien annuel attribué, depuis sa création en 2007, à la Feppia - Fédération des éditeurs et producteurs indépendants d'Aquitaine » explique Eric Correia, conseiller régional en charge de l'économie créative, de l'innovation et des droits culturels.
Sur ces 10 années de mise en œuvre (2006 - 2016), la politique régionale de soutien aux labels indépendants a représenté un engagement budgétaire total de plus de 1,5 M€ (949.000 € pour l'aide au programme de production, 165.000 € pour la transition numérique, et 480.000 € pour la FEPPIA), renforçant ainsi la création et la diffusion de la diversité musicale.
Brouage : sculpture géante sur bois et peinture au clos de la Halle aux vivres
" SONGE DE MANÈGE"
Vernissage mardi 5 juillet à 18 h 30 en présence de tous les artistes et élus du Syndicat mixte, jusqu'au dimanche 25 septembre, tous les jours, entrée libre
A la demande du Syndicat mixte pour la Restauration et l’Animation du site de Brouage, Fred Nobili (sculpteur) et Paul Robin (peintre) ont 26 jours d’intervention en juillet et août pour réaliser une sculpture en bois représentant un manège d’un diamètre de 10 à 12 mètres.
La structure centrale réalisée avec des bambous supportera une vingtaine de sujets sculptés dans des troncs d’arbres et peints.
Il s’agit d’un travail commun au «tours à tours » : chaque artiste s’inspirant du travail de l’autre pour faire évoluer l’ouvrage. Le départ se faisant à l’improvisation et sans filet !
• Fred Nobili : Installé dans le Pays rochefortais, il travaille principalement le bois mais également la pierre et la terre. L'inspiration lui vient en fonction de la matière, de l’essence, de la forme et des couleurs. Ses sculptures sont aussi une alchimie d'émotions et de rencontres qui poussent l’artiste à créer des formes réalistes ou imaginaires, légères ou voluptueuses.
Il est intervenu lors de la construction de la frégate L'Hermione et a réalisé un manège sur le thème des figures de proue au XVIIIème siècle.
• Paul Robin : Il nous offre une peinture abstraite, à la limite du figuratif. Paul aime représenter les paysages, notamment ceux du Bourbonnais qu’il apprécie tant. Ses œuvres font l’objet de nombreuses expositions personnelles et collectives. Ancien chasseur de concours, il reçoit de nombreux prix sur toute la France et a aussi participé à plusieurs expériences pluridisciplinaires, avec musiciens ou troupes de théâtre.
Vernissage mardi 5 juillet à 18 h 30 en présence de tous les artistes et élus du Syndicat mixte, jusqu'au dimanche 25 septembre, tous les jours, entrée libre
A la demande du Syndicat mixte pour la Restauration et l’Animation du site de Brouage, Fred Nobili (sculpteur) et Paul Robin (peintre) ont 26 jours d’intervention en juillet et août pour réaliser une sculpture en bois représentant un manège d’un diamètre de 10 à 12 mètres.
La structure centrale réalisée avec des bambous supportera une vingtaine de sujets sculptés dans des troncs d’arbres et peints.
Il s’agit d’un travail commun au «tours à tours » : chaque artiste s’inspirant du travail de l’autre pour faire évoluer l’ouvrage. Le départ se faisant à l’improvisation et sans filet !
• Fred Nobili : Installé dans le Pays rochefortais, il travaille principalement le bois mais également la pierre et la terre. L'inspiration lui vient en fonction de la matière, de l’essence, de la forme et des couleurs. Ses sculptures sont aussi une alchimie d'émotions et de rencontres qui poussent l’artiste à créer des formes réalistes ou imaginaires, légères ou voluptueuses.
Il est intervenu lors de la construction de la frégate L'Hermione et a réalisé un manège sur le thème des figures de proue au XVIIIème siècle.
• Paul Robin : Il nous offre une peinture abstraite, à la limite du figuratif. Paul aime représenter les paysages, notamment ceux du Bourbonnais qu’il apprécie tant. Ses œuvres font l’objet de nombreuses expositions personnelles et collectives. Ancien chasseur de concours, il reçoit de nombreux prix sur toute la France et a aussi participé à plusieurs expériences pluridisciplinaires, avec musiciens ou troupes de théâtre.
Exposition d'art à la tonnellerie de Brouage
" LES TRAVERSIERS DES ARTS "
Thème : A un fil de la terre...
Vernissage mardi 5 juillet à 18 h 30 en présence de tous les artistes et élus du Syndicat mixte, du samedi 2 juillet au mercredi 31 août, tous les jours de 14 h à 19 h. Entrée libre
Le Syndicat mixte pour la Restauration et l’Animation du site de Brouage développe une politique de valorisation des métiers d’Art, en collaboration avec le Conseil des Métiers d’Art du Québec.
Ainsi l’exposition « Les Traversiers des Arts » a pour but de faire connaître les artistes et artisans des deux rives de l’Atlantique, de donner la possibilité de voir des œuvres uniques, originales, et d’approfondir les relations privilégiées que Brouage entretient avec le Québec.
L’édition 2016 marque le 15ème anniversaire de l’exposition qui est organisée cette année sur les deux continents. Deux artistes français et deux artistes québécois sont les lauréats d’un appel à candidature, réservé en France aux anciens élèves de la filière des métiers d’art du Lycée Gilles Jamain de Rochefort. Au Québec, c’est le centre Matéria qui accueillera l’exposition du 23 septembre au 30 octobre où les deux artisans français lauréats seront reçus du 22 au 30 septembre pour un séjour placé sous le signe de l’échange artistique.
Marie Berthouloux (broderie) et Mathilde Legrand (broderie) respectivement classées 3ème et 4ème lors de l’appel à candidatures ont été invitées à exposer leurs œuvres lors de l’exposition.
Œuvres de Canada (Québec) Arianne Poitras (céramique) et Maxime Bouchard (impression textile)
France: Louise Taschet-Chene (broderie), Azélina Michelet (broderie).
LES ARTISTES LAURÉATS
■ Arianne POITRAS, céramique - (Québec) Vases au contenu débordant, récipients aux positions bouleversées, bols avec de multiples couvercles, l’œuvre d’Arianne Poitras est déroutante. Une belle porcelaine qui révèle les qualités intrinsèques du matériau : la pureté, la finesse, la translucidité, la délicatesse...
■ Maxime BOUCHARD, impression textile - (Québec) Les œuvres de Maxime Bouchard invitent à regarder la nature à des échelles différentes. D’abord comme au travers d’un microscope permettant d’étudier les cellules. Puis avec du recul ce sont les graines, les épines, les fruits, les feuilles des arbres qui attirent l’attention, avant de découvrir la forêt presque tout entière.
■ Louise TASCHET-CHENE, Broderie - (France) Les créations de Louise Taschet-Chêne sont des spécimens exceptionnels de fossiles précieux tels des coquillages avec leurs spirales distinctives. Certaines œuvres ressemblent à des êtres primitifs, unicellulaires, minéraux rares desquels des paillettes d’or émergent des pores de la terre.
■ Azélina MICHELET, Broderie - (France) Pour Azélina Michelet les objets inanimés gardent en mémoire des parcelles de leurs vies antérieures. Elle est sensible à l’âme des choses et aux sentiments qui s’en dégagent, et cherche à conserver intact le lien intangible qui passe d’une génération à l’autre au cœur des vêtements sur lesquels elle intervient.
LES ARTISTES INVITÉS À BROUAGE
■ Marie BERTHOULOUX, Broderie - (France) uniquement à Brouage Marie Berthouloux développe la broderie au gré de ses rencontres avec les matières, ou de ses interrogations plastiques et esthétiques. Elle travaille ses broderies comme des « Reportages Textiles » et transforme la matière en un ensemble strié de fils, grimé de perles, souligné d’empiècements, noyé de pigments.
■ Mathilde LEGRAND, Broderie - (France) uniquement à Brouage Mathilde Legrand utilise la broderie pour conserver l’exceptionnelle beauté de la nature et remplacer la matière disparue. La broderie métallique prend une importance toute particulière car l’or possède un caractère durable mettant en évidence une différenciation entre l’éphémère et le pérenne.
Thème : A un fil de la terre...
Vernissage mardi 5 juillet à 18 h 30 en présence de tous les artistes et élus du Syndicat mixte, du samedi 2 juillet au mercredi 31 août, tous les jours de 14 h à 19 h. Entrée libre
Le Syndicat mixte pour la Restauration et l’Animation du site de Brouage développe une politique de valorisation des métiers d’Art, en collaboration avec le Conseil des Métiers d’Art du Québec.
Ainsi l’exposition « Les Traversiers des Arts » a pour but de faire connaître les artistes et artisans des deux rives de l’Atlantique, de donner la possibilité de voir des œuvres uniques, originales, et d’approfondir les relations privilégiées que Brouage entretient avec le Québec.
L’édition 2016 marque le 15ème anniversaire de l’exposition qui est organisée cette année sur les deux continents. Deux artistes français et deux artistes québécois sont les lauréats d’un appel à candidature, réservé en France aux anciens élèves de la filière des métiers d’art du Lycée Gilles Jamain de Rochefort. Au Québec, c’est le centre Matéria qui accueillera l’exposition du 23 septembre au 30 octobre où les deux artisans français lauréats seront reçus du 22 au 30 septembre pour un séjour placé sous le signe de l’échange artistique.
Marie Berthouloux (broderie) et Mathilde Legrand (broderie) respectivement classées 3ème et 4ème lors de l’appel à candidatures ont été invitées à exposer leurs œuvres lors de l’exposition.
Œuvres de Canada (Québec) Arianne Poitras (céramique) et Maxime Bouchard (impression textile)
France: Louise Taschet-Chene (broderie), Azélina Michelet (broderie).
LES ARTISTES LAURÉATS
■ Arianne POITRAS, céramique - (Québec) Vases au contenu débordant, récipients aux positions bouleversées, bols avec de multiples couvercles, l’œuvre d’Arianne Poitras est déroutante. Une belle porcelaine qui révèle les qualités intrinsèques du matériau : la pureté, la finesse, la translucidité, la délicatesse...
■ Maxime BOUCHARD, impression textile - (Québec) Les œuvres de Maxime Bouchard invitent à regarder la nature à des échelles différentes. D’abord comme au travers d’un microscope permettant d’étudier les cellules. Puis avec du recul ce sont les graines, les épines, les fruits, les feuilles des arbres qui attirent l’attention, avant de découvrir la forêt presque tout entière.
■ Louise TASCHET-CHENE, Broderie - (France) Les créations de Louise Taschet-Chêne sont des spécimens exceptionnels de fossiles précieux tels des coquillages avec leurs spirales distinctives. Certaines œuvres ressemblent à des êtres primitifs, unicellulaires, minéraux rares desquels des paillettes d’or émergent des pores de la terre.
■ Azélina MICHELET, Broderie - (France) Pour Azélina Michelet les objets inanimés gardent en mémoire des parcelles de leurs vies antérieures. Elle est sensible à l’âme des choses et aux sentiments qui s’en dégagent, et cherche à conserver intact le lien intangible qui passe d’une génération à l’autre au cœur des vêtements sur lesquels elle intervient.
LES ARTISTES INVITÉS À BROUAGE
■ Marie BERTHOULOUX, Broderie - (France) uniquement à Brouage Marie Berthouloux développe la broderie au gré de ses rencontres avec les matières, ou de ses interrogations plastiques et esthétiques. Elle travaille ses broderies comme des « Reportages Textiles » et transforme la matière en un ensemble strié de fils, grimé de perles, souligné d’empiècements, noyé de pigments.
■ Mathilde LEGRAND, Broderie - (France) uniquement à Brouage Mathilde Legrand utilise la broderie pour conserver l’exceptionnelle beauté de la nature et remplacer la matière disparue. La broderie métallique prend une importance toute particulière car l’or possède un caractère durable mettant en évidence une différenciation entre l’éphémère et le pérenne.
La Région Nouvelle-Aquitaine lance son portail grand public www.renoaqt.info pour faciliter la rénovation énergétique de l'habitat
La Région Nouvelle-Aquitaine s'est engagée pour promouvoir et faciliter la rénovation énergétique de l'habitat grâce à son programme Réno'Aqt.
« Le défi est immense : pour atteindre les objectifs de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, il faut multiplier par 4 le nombre de logements rénovés par an d'ici 2017 » explique Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine.
Reno'Aqt a trois atouts majeurs : la Caisse d'Avance pour la Rénovation Thermique et la Transition Energétique[1] (CARTTE), outil financier qui est un fonds dédié aux propriétaires occupants modestes avec une avance plafonnée à 9.000 €, l'expertise du réseau SOLIHA en charge de l'animation et du pilotage du dispositif et le portail grand public www.renoaqt.info, véritable plateforme collaborative.
Ce portail poursuit plusieurs objectifs : tout d'abord permettre au grand public d'identifier les acteurs proches de leurs domiciles (artisans, conseiller info énergie, plateforme locale de la rénovation énergétique), contacter la CARTTE ou encore faire une demande en ligne, à partir de la rentrée. Le portail permet également une communication sur le premier bilan du dispositif mais aussi de découvrir les témoignages des premiers « réno'aqteurs ».
Il s'agit aussi d'un outil de gestion des logements communaux dématérialisé permettant aux maires de suivre l'avancée de leurs dossiers et de constituer progressivement une véritable photographie de leur patrimoine.
« Enfin, il contient un réseau social dédié aux artisans. Réservé à un usage professionnel pour les artisans de la rénovation énergétique, ce dernier a pour objectif de valoriser leur savoir-faire, mais aussi de leur permettre de suivre l'actualité locale, régionale et nationale du bâtiment et de partager les bonnes pratiques de l'éco-rénovation. Ce portail leur permet également, via un système de géolocalisation, de s'informer du lancement des chantiers de rénovation énergétique qui se lancent près de chez eux » précise Françoise Coutant, vice-présidente de Nouvelle-Aquitaine dédiée à la transition énergétique.
« Le défi est immense : pour atteindre les objectifs de la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, il faut multiplier par 4 le nombre de logements rénovés par an d'ici 2017 » explique Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine.
Reno'Aqt a trois atouts majeurs : la Caisse d'Avance pour la Rénovation Thermique et la Transition Energétique[1] (CARTTE), outil financier qui est un fonds dédié aux propriétaires occupants modestes avec une avance plafonnée à 9.000 €, l'expertise du réseau SOLIHA en charge de l'animation et du pilotage du dispositif et le portail grand public www.renoaqt.info, véritable plateforme collaborative.
Ce portail poursuit plusieurs objectifs : tout d'abord permettre au grand public d'identifier les acteurs proches de leurs domiciles (artisans, conseiller info énergie, plateforme locale de la rénovation énergétique), contacter la CARTTE ou encore faire une demande en ligne, à partir de la rentrée. Le portail permet également une communication sur le premier bilan du dispositif mais aussi de découvrir les témoignages des premiers « réno'aqteurs ».
Il s'agit aussi d'un outil de gestion des logements communaux dématérialisé permettant aux maires de suivre l'avancée de leurs dossiers et de constituer progressivement une véritable photographie de leur patrimoine.
« Enfin, il contient un réseau social dédié aux artisans. Réservé à un usage professionnel pour les artisans de la rénovation énergétique, ce dernier a pour objectif de valoriser leur savoir-faire, mais aussi de leur permettre de suivre l'actualité locale, régionale et nationale du bâtiment et de partager les bonnes pratiques de l'éco-rénovation. Ce portail leur permet également, via un système de géolocalisation, de s'informer du lancement des chantiers de rénovation énergétique qui se lancent près de chez eux » précise Françoise Coutant, vice-présidente de Nouvelle-Aquitaine dédiée à la transition énergétique.
Les rendez-vous de l'été
à Jonzac ! Marchés en soirée,
visites nocturnes, instants musicaux
• Visites nocturnes de Jonzac
Tous les lundis soir de l'été, l'office de tourisme de Jonzac propose une visite nocturne du coeur de ville. Ces parcours sont l'occasion de découvrir Jonzac dans le calme, la fraîcheur et des lumières qui mettent en valeur son histoire et son patrimoine. Départ de la visite à 22h !
En partant de la place du château à la nuit tombante, Jonzac révèle de nombreuses facettes à ses visiteurs du soir. Ses ruelles moyenâgeuses, le parvis de son église romane, les illuminations du château ou encore les halles de style Baltard sont autant de passages obligés pour une découverte qui allie les curiosités de l'Histoire et la douceur des soirées d'été.
• 2,80€ adulte / gratuit pour les enfants - 15 ans .
Renseignement et inscription Office de Tourisme 05 46 48 49 29
• Instants Musicaux
Le théâtre du château de Jonzac accueille de nouveau les Instants Musicaux jusqu'au 14 septembre à 17 h 15. Ces rendez-vous du mercredi ponctuent l'après-midi avec un concert de 45 minutes environ et permettent de découvrir des styles musicaux variés tout au long de l'été avec des accents latinos, celtes, traditionnels, jazzy et même un peu de chanson française !
6 juillet 2016 : le Quintet de l'art
13 juillet 2016: Les plus grands airs du cinéma
20 juillet 2016 : Harpe et Flamenco
27 juillet 2016 : Alexis Charrier et Jean-Noël Godard : Poum Chack Bling Bling
3 août 2016 : Manolito : Rumba Gitane
10 août 2016 : Nicolas Moro - Stomping Joe
17 août 2016 : Fireland formation avec cornemuse
24 août 2016 : Maeva Michel
31 août 2016 : Harpe et Flamenco Trio
7 septembre 2016 : Quintet de l'art
14 septembre 2016 : Manolito : Rumba Gitane
•
3,10 € /adulte ; concerts à 17h15
Groupes 2,80 €/personne à partir de 8 personnes, 1,00 €/enfant de 10 à 18 ans
Réservations à l'office de tourisme de Jonzac 05 46 48 49 29
• Les marchés nocturnes
Véritable institution estivale, les marchés nocturnes de Jonzac connaissent un franc succès depuis des années ! La recette est d'une grande simplicité : un bel endroit autour de la place du marché, un large choix de spécialités culinaires pour tous les goûts, une programmation musicale agéable et voici les ingrédients d'une convivialité partagée par toutes les générations entre curistes, vacanciers et habitants ! Les marchés sont une bonne idée de soirée après les instants musicaux du mercredi au théâtre du château de Jonzac ! Le marché débute à 18 h 30 tous les mercredis soir jusqu'au 7 septembre et propose les animations suivantes :
06/07/16 LOLLYPOP Pop-rock
13/07/16 FLORENZA reprises
20/07/16 LE PETIT BARATIN festif
27/07/16 LECON Des MAUX reprises
03/08/16 SOLIALMA Folk-rock, flamenco, jazzy
10/08/16 FLORENZA reprises
17/08/16 LOLLYPOP Pop-rock
24/08/16 Uptodate (ancien SAUCE) Rock-blues
30/08/16 MESENGER'S Folk-rock
07/09/16 KES'TAI Ska punk festif
Les marchés nocturnes de Jonzac sont organisés par l'Union des Commerçants de Jonzac
Tous les lundis soir de l'été, l'office de tourisme de Jonzac propose une visite nocturne du coeur de ville. Ces parcours sont l'occasion de découvrir Jonzac dans le calme, la fraîcheur et des lumières qui mettent en valeur son histoire et son patrimoine. Départ de la visite à 22h !
En partant de la place du château à la nuit tombante, Jonzac révèle de nombreuses facettes à ses visiteurs du soir. Ses ruelles moyenâgeuses, le parvis de son église romane, les illuminations du château ou encore les halles de style Baltard sont autant de passages obligés pour une découverte qui allie les curiosités de l'Histoire et la douceur des soirées d'été.
• 2,80€ adulte / gratuit pour les enfants - 15 ans .
Renseignement et inscription Office de Tourisme 05 46 48 49 29
• Instants Musicaux
Le théâtre du château de Jonzac accueille de nouveau les Instants Musicaux jusqu'au 14 septembre à 17 h 15. Ces rendez-vous du mercredi ponctuent l'après-midi avec un concert de 45 minutes environ et permettent de découvrir des styles musicaux variés tout au long de l'été avec des accents latinos, celtes, traditionnels, jazzy et même un peu de chanson française !
6 juillet 2016 : le Quintet de l'art
13 juillet 2016: Les plus grands airs du cinéma
20 juillet 2016 : Harpe et Flamenco
27 juillet 2016 : Alexis Charrier et Jean-Noël Godard : Poum Chack Bling Bling
3 août 2016 : Manolito : Rumba Gitane
10 août 2016 : Nicolas Moro - Stomping Joe
17 août 2016 : Fireland formation avec cornemuse
24 août 2016 : Maeva Michel
31 août 2016 : Harpe et Flamenco Trio
7 septembre 2016 : Quintet de l'art
14 septembre 2016 : Manolito : Rumba Gitane
•
3,10 € /adulte ; concerts à 17h15
Groupes 2,80 €/personne à partir de 8 personnes, 1,00 €/enfant de 10 à 18 ans
Réservations à l'office de tourisme de Jonzac 05 46 48 49 29
• Les marchés nocturnes
Véritable institution estivale, les marchés nocturnes de Jonzac connaissent un franc succès depuis des années ! La recette est d'une grande simplicité : un bel endroit autour de la place du marché, un large choix de spécialités culinaires pour tous les goûts, une programmation musicale agéable et voici les ingrédients d'une convivialité partagée par toutes les générations entre curistes, vacanciers et habitants ! Les marchés sont une bonne idée de soirée après les instants musicaux du mercredi au théâtre du château de Jonzac ! Le marché débute à 18 h 30 tous les mercredis soir jusqu'au 7 septembre et propose les animations suivantes :
06/07/16 LOLLYPOP Pop-rock
13/07/16 FLORENZA reprises
20/07/16 LE PETIT BARATIN festif
27/07/16 LECON Des MAUX reprises
03/08/16 SOLIALMA Folk-rock, flamenco, jazzy
10/08/16 FLORENZA reprises
17/08/16 LOLLYPOP Pop-rock
24/08/16 Uptodate (ancien SAUCE) Rock-blues
30/08/16 MESENGER'S Folk-rock
07/09/16 KES'TAI Ska punk festif
Les marchés nocturnes de Jonzac sont organisés par l'Union des Commerçants de Jonzac
Ligne 17 Ter Bordeaux/Saintes :
un comité de ligne se tiendra
lundi 4 juillet à Saint-André-de-Cubzac
Jacky Emon, conseiller régional de la Région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes délégué aux Ter et à l'intermodalité, animera le comité de ligne Bordeaux - Saint-Mariens lundi 4 juillet à 18 h 15 au lycée Philippe Cousteau à Saint-André-de-Cubzac (13, rue Arnaudin).
Cette instance porte sur la partie périurbaine de la ligne ferroviaire Ter 17 Bordeaux/Saint-André-de-Cubzac/Saintes.
La ligne sera traitée dans son intégralité lors du comité de ligne La Rochelle/Niort/Bordeaux qui aura lieu vendredi 8 juillet à 17 h 30 à Saintes (Antenne Conseil départemental de la Charente-Maritime, 37 rue de l'Alma).
Lieu d'échanges et d'information, la réunion du 4 juillet, ouverte aux usagers, sera l'occasion de présenter la nouvelle configuration du comité de ligne, de dresser un état de la situation sur l'axe Bordeaux - Saint-Mariens et d'évoquer l'actualité de la ligne. Cette réunion sera l'occasion de présenter le projet de service annuel 2017 (horaires de la ligne) et de dévoiler la mise en place, dès l'été, de trois produits tarifaires communs à l'échelle de la Région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes : Pass Océan, Fest'Ter et tarif Tribu.
Ces trois tarifs permettront des prix très attractifs, allant jusqu'à 70% de réduction. L'échange concernera également les sujets touchant de près les usagers tels que la qualité de service et les travaux d'infrastructures. Aller à la rencontre des usagers et recenser leurs besoins font aussi partie des objectifs de cette réunion. Autorité Organisatrice des Transports régionaux de voyageurs, la Région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes veille à améliorer le service offert aux usagers, notamment grâce à une politique de concertation qui s'appuie sur 19 comités de ligne et se tiennent au moins une fois par an sur les territoires concernés.
Le Conseil régional Aquitaine Limousin Poitou-Charentes consacrera en 2016 un budget de près de 550 millions d'euros aux transports et à la mobilité dont notamment : les contributions d'exploitation (310 M€) et de soutien à la mobilité (10 M€) les programmes d'investissements (230 M€) avec :
- le programme pluriannuel de remplacement du matériel roulant (acquisition 37 rames Régiolis et 24 rames Régio 2N) et de modernisation des centres de maintenance à Bordeaux et Saintes
- la modernisation des infrastructures (CPER 2015-2020), des gares et du réseau Ter
- le soutien aux projets et politiques de mobilités tous modes.
La ligne sera traitée dans son intégralité lors du comité de ligne La Rochelle/Niort/Bordeaux qui aura lieu vendredi 8 juillet à 17 h 30 à Saintes (Antenne Conseil départemental de la Charente-Maritime, 37 rue de l'Alma).
Lieu d'échanges et d'information, la réunion du 4 juillet, ouverte aux usagers, sera l'occasion de présenter la nouvelle configuration du comité de ligne, de dresser un état de la situation sur l'axe Bordeaux - Saint-Mariens et d'évoquer l'actualité de la ligne. Cette réunion sera l'occasion de présenter le projet de service annuel 2017 (horaires de la ligne) et de dévoiler la mise en place, dès l'été, de trois produits tarifaires communs à l'échelle de la Région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes : Pass Océan, Fest'Ter et tarif Tribu.
Ces trois tarifs permettront des prix très attractifs, allant jusqu'à 70% de réduction. L'échange concernera également les sujets touchant de près les usagers tels que la qualité de service et les travaux d'infrastructures. Aller à la rencontre des usagers et recenser leurs besoins font aussi partie des objectifs de cette réunion. Autorité Organisatrice des Transports régionaux de voyageurs, la Région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes veille à améliorer le service offert aux usagers, notamment grâce à une politique de concertation qui s'appuie sur 19 comités de ligne et se tiennent au moins une fois par an sur les territoires concernés.
Le Conseil régional Aquitaine Limousin Poitou-Charentes consacrera en 2016 un budget de près de 550 millions d'euros aux transports et à la mobilité dont notamment : les contributions d'exploitation (310 M€) et de soutien à la mobilité (10 M€) les programmes d'investissements (230 M€) avec :
- le programme pluriannuel de remplacement du matériel roulant (acquisition 37 rames Régiolis et 24 rames Régio 2N) et de modernisation des centres de maintenance à Bordeaux et Saintes
- la modernisation des infrastructures (CPER 2015-2020), des gares et du réseau Ter
- le soutien aux projets et politiques de mobilités tous modes.
Incendie devant les locaux de la CFDT à Bordeaux : « Rien ne saurait justifier le recours à la violence »
Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, tient à condamner avec force la dégradation des locaux subie par la CFDT Interco à Bordeaux la nuit dernière.
« Rien ne saurait justifier le recours à la violence et nul ne peut expliquer que des locaux d'organisation syndicale soient ainsi vandalisés. Ces actes sont le fait d'individus isolés et n'ont rien à voir avec le débat démocratique qui permet d'exprimer naturellement des divergences d'opinion. Toute contestation doit se dérouler de façon démocratique et dans le respect des biens d'autrui. La violence contre les organisations syndicales est inacceptable : elle touche de plein fouet notre démocratie sociale. Elle frappe les militants syndicaux, dont chaque jour leur mission est de défendre les droits des salariés. S'agissant d'actes de vandalisme, il appartient à la CFDT de juger de l'opportunité de saisir la justice pour que les auteurs soient dûment condamnés. »
« Rien ne saurait justifier le recours à la violence et nul ne peut expliquer que des locaux d'organisation syndicale soient ainsi vandalisés. Ces actes sont le fait d'individus isolés et n'ont rien à voir avec le débat démocratique qui permet d'exprimer naturellement des divergences d'opinion. Toute contestation doit se dérouler de façon démocratique et dans le respect des biens d'autrui. La violence contre les organisations syndicales est inacceptable : elle touche de plein fouet notre démocratie sociale. Elle frappe les militants syndicaux, dont chaque jour leur mission est de défendre les droits des salariés. S'agissant d'actes de vandalisme, il appartient à la CFDT de juger de l'opportunité de saisir la justice pour que les auteurs soient dûment condamnés. »
Bientôt, des tailleurs de pierre
au château de Montendre
Animations les 14 et 15 juillet
Dans l'esprit des Lapidiales de Port d'Envaux où des tailleurs de
pierre viennent chaque année sculpter la carrière - ayant ainsi créé un
lieu unique et original - le château de Montendre s'apprête à accueillir
des artistes, cinq au total. Peu à peu, les gros blocs de calcaire vont
prendre forme et devenir des sculptures qui orneront le promontoire
montendrais. En effet, dès l'époque romaine, s'y était établi un camp,
renforcé au Moyen Age par la fameuse tour carrée et le château. Un lieu
habité de longue date que ces œuvres, qui s'inscrivent dans le projet "pierres en dédales" empliront d'un nouvel élan sur les traces du futur labyrinthe !
Non
loin les visiteurs découvert les 108 "dés" de bois offerts par le maire
de Sulz an Neckar en Allemagne à Montendre à l'occasion des 40 ans du
jumelage qui unit les deux villes. Ils ont été installés comme gradins
de verdure devant la scène et les éléments restaurés de la façade du
château (table rase a été faite des autres vestiges se situant à
l'arrière). L'escalier, qui part du bas de la tour carrée pour atteindre
l'esplanade est également en restauration.
Une grande fête est prévue le 15 juillet pour saluer la renaissance du château, précédée la veille, 14 juillet, d'animations diverses et variées.
Au
programme à 20 h, apéro-concert, bienvenue sur la compagnie Airline
music burlekse des Make@noise ! A 22 h, Etincelles Romanes par la Cie
Akouma. Il s'agit d'une succession de performances proposées par des
personnages drôles et poétiques, accompagnés de musiques aux influences
africaines (percussion, violon et balafon). A 23 h, bal populaire animé
par Myriam et son Orchestre pour danser jusqu'au bout de la nuit. Entrée
libre et gratuite. Restauration et buvette sur place.
• Sont invités les sculpteurs : Sylvie Berry, Mathieu Harzo, Nicolas petit, Caroline Grassiot et Cédric Hennion
L'esplanade du château de Montendre (© Nicole Bertin) |
Blocs de pierre à sculpter |
La façade de l'ancien château des La Rochefoucauld |
Une grande fête est prévue le 15 juillet pour saluer la renaissance du château, précédée la veille, 14 juillet, d'animations diverses et variées.
L'escalier de la Tour carrée |
• Sont invités les sculpteurs : Sylvie Berry, Mathieu Harzo, Nicolas petit, Caroline Grassiot et Cédric Hennion
Les dés de bois offerts à Montendre par leurs amis de Sulz an Neckar |
Jonzac : le château au cœur
d'une vaste restauration,
zone d'activités près de la nouvelle rocade,
installations photovoltaïques en ville
Le conseil municipal de Jonzac s'est réuni mercredi sous la présidence de Claude Belot. Une minute de silence a été observée en mémoire de Claude Benayoun. L'ancien chef de file de l'opposition, disparu dernièrement, a été « le fer de lance d'une médecine psychiatrique ouverte » souligna le docteur Clavel. Philippe Tavaux nous a également quittés. Proche du club de rugby, il avait effectué deux mandats au sein du conseil municipal.
• En 2017, des travaux du châtelet complèteront le Triangle d'or
Après les restaurations du cloître des Carmes (déjà ancienne), du tribunal qui restituera prochainement à la ville sa partie administrative (autrement dit des parties du cloître libérant ainsi les arcades manquantes), l'église dont la façade illuminée la nuit est à souligner, le temps est venu de "rajeunir" l'aspect extérieur du château datant du XVe siècle. Après le Petit Théâtre, la Tour nord et les toitures, le châtelet, ses grosses tours ainsi que l'enceinte, ses sculptures, son zodiaque et des menuiseries feront l'objet d'une rénovation. Le diagnostic a été confié à Marie Pierre Niguès, architecte du patrimoine. Le projet global, approchant les 1500.000 euros, pourrait bénéficier de subventions. Avec cette nouvelle étape, le Triangle d'or de Jonzac (Carmes, église, château) sera ainsi réalisé. Fin du chantier estimé à 2018.
Jack Ros fit remarquer que cet embellissement serait complet en y incluant la sous-préfecture. Le mur séparant les différents occupants a été construit après 1847. Claude Belot est d'accord sur le principe, mais l'Etat manquerait de financement. Les bâtiments appartenant au Conseil départemental, peut-être sera-t-il plus propice à harmoniser la renaissance complète de l'ancienne demeure des Sainte-Maure !
• Demain, les Antilles pourront quasiment se passer de chauffage urbain
Un appel à projets pour mobiliser 200 « Territoires à énergie positive pour la croissance verte » a été lancé par le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie afin de donner une impulsion forte pour encourager les actions concrètes contribuant à atténuer les effets du changement climatique. Selon la Conférence climat de Paris 2015, il faut encourager la réduction des besoins énergétiques, le développement des énergies renouvelables locales et faciliter l’implantation de filières vertes pour créer 100.000 emplois sur trois ans.
Peuvent bénéficier d’un financement au titre de ce programme les actions relatives à la diminution des émissions de gaz à effet de serre et la production d’énergies renouvelables locales. La modification de la production de chaleur du complexe aquatique « Les Antilles » entre dans cette stratégie. Aujourd’hui, l’eau géothermique est rejetée dans la lagune des Antilles à une température comprise entre 28° et 32°. Ce gaspillage oblige à recourir trop souvent au chauffage urbain, particulièrement lorsque la température extérieure est basse, de sorte que le fioul lourd représente 10% environ du bouquet énergétique des Antilles, soit 1.000 à 1.200 MWh suivant la rigueur climatique.
Demain, grâce à la mise en place de deux pompes à chaleur d’une puissance cumulée de 1.200 kW, l’eau géothermique sera rejetée à 17° environ et les Antilles pourront quasiment se dispenser du chauffage urbain.
Le coût de ces travaux, réalisés par la ville dans le cadre de création de la boucle géothermique basse température, est estimé à 486.000 €. La subvention qui peut être demandée est de 80% des travaux, soit 388.800 €.
• Acquisition d’une réserve foncière pour une future zone d’activités
L’achèvement du contournement sud-est de Jonzac permet d’envisager le développement de l’urbanisation de la ville dans le secteur de la Mouillère et des Cravetteries. Pour poursuivre cet objectif, il faut constituer des réserves foncières. Or, la ville a l’opportunité d’acquérir la parcelle cadastrée section ZR n°10, d’une surface de 44.480 m2, appartenant à M. et Mme Testaud. Le Maire signera les actes nécessaires à l’aboutissement de cette transaction.
• Il faut ouvrir à l’urbanisation une partie des terrains classés en zone 2AU dans le plan local d’urbanisme, pour les basculer en zone 1AUx.
Dans le cadre de cette procédure de modification n°5 du PLU, deux modifications mineures seraient apportées : Secteur « Au Plaisir » : transformer en zone UD une petite zone d’habitat actuellement classée en zone UX : Zone d’habitat à basculer en zone UD ; Secteur « La Frémigère » : transformer en zone UD une petite zone d’habitat actuellement classée en zone UX : Zone d’habitat à basculer en zone UD
• Etablissement Public Foncier Poitou-Charentes
Le 15 décembre 2014, le conseil municipal a approuvé une convention avec l’Etablissement Public Foncier et la Communauté des Communes de la Haute-Saintonge. Dans le cadre de cette convention, l’EPF Poitou- Charentes assiste la communauté de communes et ses communes membres dans la conduite sur le long terme d’une politique foncière active sur le territoire. Il est proposé de modifier cette convention pour permettre à l’EPF d’intervenir dans le secteur de la Mouillère et des Cravetteries, dont l’urbanisation peut désormais être envisagée avec l’achèvement du contournement sud-est de la rocade.
• Palais des congrès :
Le chantier sera visité par Alain Juppé le 13 juillet prochain (sauf changement de programme). Les travaux vont bon train et l'ouverture est prévue pour avril 2018. La salle de spectacle offrira 550 places.
• Un nouvel investisseur hôtelier près du centre des congrès
Dans le cadre de la procédure de modification n°5 du plan local d’urbanisme inscrite à l’ordre du jour, il est proposé d’ajouter l’harmonisation de certains points du règlement de la zone UZA1 et de la zone UD du secteur de Beaulieu, enclavée au cœur de la ZAC, avec ceux des zones voisines UZA2 et 1AUza.
Cette harmonisation est nécessaire pour faciliter la construction d’équipements commerciaux, hôteliers et para-hôteliers dans ce pôle de développement et d’essor de la ville et de la Haute-Saintonge, dont l’attractivité sera renforcée par l’ouverture prochaine du centre de congrès. En clair, le premier projet hôtelier situé près des Antilles ayant été écarté, Claude Belot a trouvé un autre investisseur qui souhaite réaliser 92 appartements livrables en avril 2018. « Avec le centre des congrès, nous avons besoin d'une capacité d'hébergement » explique le maire. Il faut donc aller vite. Jusqu'à présent, les nouveaux immeubles construits sur la commune étaient limités à une hauteur de 13 mètres. Des modifications ont été prises pour les Antilles (35 mètres), le centre des congrès (25 mètres) et pour ce futur hôtel (25 mètres).
• Nouvelle caserne des pompiers :
Elle devrait être installée non loin du premier rond-point de la route d'Ozillac (pour des raisons de commodité dont la proximité de l'hôpital). Or, le terrain retenu devra faire l'objet d'une expropriation, ce qui va prendre du temps. Claude Belot ne comprend pas l'attitude du propriétaire, celui-ci ayant mis dans un premier temps son terrain en vente sur "Le Bon Coin"…
Eau minérale en bouteilles :
A la question de Gilles Clavel « avez-vous trouvé une société pour l'embouteillage ? », Claude Belot se voulut prudent estimant que si l'eau minérale de Jonzac (son futur nom) marche, ce sera un bon coup... avec une exigence « trouver un partenaire crédible ». Et d'ajouter : « je reste optimiste, on en saura plus après l'été. Oser ne doit pas nous faire peur ! Regardez les Thermes, c'est une réussite ! ». A ce sujet, Claude Belot donnera une conférence sur la naissance de la station thermale de Jonzac, aux côtés de Serge Espin, en septembre dans le cadre de l'Université d'Eté.
• Cinéma : convention avec la Communauté des communes de la Haute-Saintonge
Le cinéma est soutenu par la CDCHS qui s’engage à verser une subvention de 25 000 € à la commune de Jonzac au titre du fonctionnement du cinéma Familia, pour l’année 2016. En contrepartie, la ville de Jonzac doit s’engager, d’une part, à poursuivre ses efforts pour permettre et encourager une vie cinématographique attractive et diversifiée et, d’autre part, à diffuser à les documents de communication fournis par la Communauté des Communes de la Haute Saintonge concernant les évènements du territoire. Le Conseil Municipal approuver la convention. Coût 1293.000 euros.
Installations photovoltaïques à Jonzac
Considérant que l’activité de production d’électricité par les panneaux photovoltaïques intégrés, ainsi que la vente de l’énergie ainsi produite, constitue une activité au sein d’un budget dédié, le conseil municipal a décidé de créer un nouveau budget lors de sa réunion du 31 mars dernier. Des ombrières vont être installées Résidence Philippe, sur le parking de la gare, sur le parking du stade municipal, sur les toitures du tennis couvert et de la nouvelle halte garderie.
D'autres projets sont prévus le territoire : des serres à Bougneau (production de tomates et légumes), un parc photovoltaïque au Fouilloux, six hectares de panneaux à la Barde.
• Attention, château dangereux ?
La question "émeut" Claude Belot qui s'est rendu, avec le sous-préfet, à la Rochelle devant la commission de sécurité au sujet du plus illustre édifice jonzacais, le château. Cette dernière a demandé que soient mieux définies les conditions d’utilisation des salles dans le cadre d’un règlement intérieur devant être porté à la connaissance du Conseil Municipal. Qu'on se rassure, le château ne sera pas fermé, mais il faut apporter des améliorations au cas il se produirait des événements graves (incendies, attaques). Ainsi sera fait !
• Effectifs
L’éducatrice de jeunes enfants dernièrement recrutée à la structure multi-accueil va devoir rompre son contrat pour des raisons familiales. Il faut prévoir son remplacement à compter du 1er septembre 2016 par une personne titulaire du diplôme d’éducateur de jeunes enfants.
Deux cas peuvent se présenter :
- soit la personne recrutée a le grade d’éducateur de jeunes enfants territorial : elle pourra être nommée sur l’emploi vacant d’éducateur de jeunes enfants territorial créé en décembre 2015 ;
- soit la personne recrutée n’est pas titulaire de la fonction publique territoriale : il faut alors créer un poste d’agent social de 2ème classe.
Il est donc proposé de modifier le tableau des effectifs, à compter du 1er septembre 2016 en créant un poste d’agent social de 2ème classe.
En fonction du grade de la personne recrutée, le tableau des effectifs sera mis à jour en supprimant soit le poste d’éducateur de jeunes enfants territorial, soit le poste d’agent social de 2ème classe.
• Cession gratuite d’un terrain à la commune rue Guiffier
Mme Cellou propose de céder à la commune à titre gratuit une partie de la parcelle AK n°146, située rue Guiffier. Cette cession facilitera les travaux de réaménagement de cette rue.
• Tout pour la musique !
Tarifs pour la vente de produits culturels : Prix pour le CD « Cédric Burgelin aux orgues de Jonzac », seul : 12 € ; Prix pour le CD « Cédric Burgelin aux orgues de Jonzac » avec le fascicule « Visiter Jonzac » : 14 €
• En 2017, des travaux du châtelet complèteront le Triangle d'or
Après les restaurations du cloître des Carmes (déjà ancienne), du tribunal qui restituera prochainement à la ville sa partie administrative (autrement dit des parties du cloître libérant ainsi les arcades manquantes), l'église dont la façade illuminée la nuit est à souligner, le temps est venu de "rajeunir" l'aspect extérieur du château datant du XVe siècle. Après le Petit Théâtre, la Tour nord et les toitures, le châtelet, ses grosses tours ainsi que l'enceinte, ses sculptures, son zodiaque et des menuiseries feront l'objet d'une rénovation. Le diagnostic a été confié à Marie Pierre Niguès, architecte du patrimoine. Le projet global, approchant les 1500.000 euros, pourrait bénéficier de subventions. Avec cette nouvelle étape, le Triangle d'or de Jonzac (Carmes, église, château) sera ainsi réalisé. Fin du chantier estimé à 2018.
Jack Ros fit remarquer que cet embellissement serait complet en y incluant la sous-préfecture. Le mur séparant les différents occupants a été construit après 1847. Claude Belot est d'accord sur le principe, mais l'Etat manquerait de financement. Les bâtiments appartenant au Conseil départemental, peut-être sera-t-il plus propice à harmoniser la renaissance complète de l'ancienne demeure des Sainte-Maure !
• Demain, les Antilles pourront quasiment se passer de chauffage urbain
Un appel à projets pour mobiliser 200 « Territoires à énergie positive pour la croissance verte » a été lancé par le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie afin de donner une impulsion forte pour encourager les actions concrètes contribuant à atténuer les effets du changement climatique. Selon la Conférence climat de Paris 2015, il faut encourager la réduction des besoins énergétiques, le développement des énergies renouvelables locales et faciliter l’implantation de filières vertes pour créer 100.000 emplois sur trois ans.
Peuvent bénéficier d’un financement au titre de ce programme les actions relatives à la diminution des émissions de gaz à effet de serre et la production d’énergies renouvelables locales. La modification de la production de chaleur du complexe aquatique « Les Antilles » entre dans cette stratégie. Aujourd’hui, l’eau géothermique est rejetée dans la lagune des Antilles à une température comprise entre 28° et 32°. Ce gaspillage oblige à recourir trop souvent au chauffage urbain, particulièrement lorsque la température extérieure est basse, de sorte que le fioul lourd représente 10% environ du bouquet énergétique des Antilles, soit 1.000 à 1.200 MWh suivant la rigueur climatique.
Demain, grâce à la mise en place de deux pompes à chaleur d’une puissance cumulée de 1.200 kW, l’eau géothermique sera rejetée à 17° environ et les Antilles pourront quasiment se dispenser du chauffage urbain.
Le coût de ces travaux, réalisés par la ville dans le cadre de création de la boucle géothermique basse température, est estimé à 486.000 €. La subvention qui peut être demandée est de 80% des travaux, soit 388.800 €.
• Acquisition d’une réserve foncière pour une future zone d’activités
L’achèvement du contournement sud-est de Jonzac permet d’envisager le développement de l’urbanisation de la ville dans le secteur de la Mouillère et des Cravetteries. Pour poursuivre cet objectif, il faut constituer des réserves foncières. Or, la ville a l’opportunité d’acquérir la parcelle cadastrée section ZR n°10, d’une surface de 44.480 m2, appartenant à M. et Mme Testaud. Le Maire signera les actes nécessaires à l’aboutissement de cette transaction.
• Il faut ouvrir à l’urbanisation une partie des terrains classés en zone 2AU dans le plan local d’urbanisme, pour les basculer en zone 1AUx.
Dans le cadre de cette procédure de modification n°5 du PLU, deux modifications mineures seraient apportées : Secteur « Au Plaisir » : transformer en zone UD une petite zone d’habitat actuellement classée en zone UX : Zone d’habitat à basculer en zone UD ; Secteur « La Frémigère » : transformer en zone UD une petite zone d’habitat actuellement classée en zone UX : Zone d’habitat à basculer en zone UD
• Etablissement Public Foncier Poitou-Charentes
Le 15 décembre 2014, le conseil municipal a approuvé une convention avec l’Etablissement Public Foncier et la Communauté des Communes de la Haute-Saintonge. Dans le cadre de cette convention, l’EPF Poitou- Charentes assiste la communauté de communes et ses communes membres dans la conduite sur le long terme d’une politique foncière active sur le territoire. Il est proposé de modifier cette convention pour permettre à l’EPF d’intervenir dans le secteur de la Mouillère et des Cravetteries, dont l’urbanisation peut désormais être envisagée avec l’achèvement du contournement sud-est de la rocade.
• Palais des congrès :
Le chantier sera visité par Alain Juppé le 13 juillet prochain (sauf changement de programme). Les travaux vont bon train et l'ouverture est prévue pour avril 2018. La salle de spectacle offrira 550 places.
La future salle de spectacle |
Le centre des congrès en cours de réalisation |
• Un nouvel investisseur hôtelier près du centre des congrès
Dans le cadre de la procédure de modification n°5 du plan local d’urbanisme inscrite à l’ordre du jour, il est proposé d’ajouter l’harmonisation de certains points du règlement de la zone UZA1 et de la zone UD du secteur de Beaulieu, enclavée au cœur de la ZAC, avec ceux des zones voisines UZA2 et 1AUza.
Cette harmonisation est nécessaire pour faciliter la construction d’équipements commerciaux, hôteliers et para-hôteliers dans ce pôle de développement et d’essor de la ville et de la Haute-Saintonge, dont l’attractivité sera renforcée par l’ouverture prochaine du centre de congrès. En clair, le premier projet hôtelier situé près des Antilles ayant été écarté, Claude Belot a trouvé un autre investisseur qui souhaite réaliser 92 appartements livrables en avril 2018. « Avec le centre des congrès, nous avons besoin d'une capacité d'hébergement » explique le maire. Il faut donc aller vite. Jusqu'à présent, les nouveaux immeubles construits sur la commune étaient limités à une hauteur de 13 mètres. Des modifications ont été prises pour les Antilles (35 mètres), le centre des congrès (25 mètres) et pour ce futur hôtel (25 mètres).
• Nouvelle caserne des pompiers :
Elle devrait être installée non loin du premier rond-point de la route d'Ozillac (pour des raisons de commodité dont la proximité de l'hôpital). Or, le terrain retenu devra faire l'objet d'une expropriation, ce qui va prendre du temps. Claude Belot ne comprend pas l'attitude du propriétaire, celui-ci ayant mis dans un premier temps son terrain en vente sur "Le Bon Coin"…
Eau minérale en bouteilles :
A la question de Gilles Clavel « avez-vous trouvé une société pour l'embouteillage ? », Claude Belot se voulut prudent estimant que si l'eau minérale de Jonzac (son futur nom) marche, ce sera un bon coup... avec une exigence « trouver un partenaire crédible ». Et d'ajouter : « je reste optimiste, on en saura plus après l'été. Oser ne doit pas nous faire peur ! Regardez les Thermes, c'est une réussite ! ». A ce sujet, Claude Belot donnera une conférence sur la naissance de la station thermale de Jonzac, aux côtés de Serge Espin, en septembre dans le cadre de l'Université d'Eté.
• Cinéma : convention avec la Communauté des communes de la Haute-Saintonge
Le cinéma est soutenu par la CDCHS qui s’engage à verser une subvention de 25 000 € à la commune de Jonzac au titre du fonctionnement du cinéma Familia, pour l’année 2016. En contrepartie, la ville de Jonzac doit s’engager, d’une part, à poursuivre ses efforts pour permettre et encourager une vie cinématographique attractive et diversifiée et, d’autre part, à diffuser à les documents de communication fournis par la Communauté des Communes de la Haute Saintonge concernant les évènements du territoire. Le Conseil Municipal approuver la convention. Coût 1293.000 euros.
Installations photovoltaïques à Jonzac
Considérant que l’activité de production d’électricité par les panneaux photovoltaïques intégrés, ainsi que la vente de l’énergie ainsi produite, constitue une activité au sein d’un budget dédié, le conseil municipal a décidé de créer un nouveau budget lors de sa réunion du 31 mars dernier. Des ombrières vont être installées Résidence Philippe, sur le parking de la gare, sur le parking du stade municipal, sur les toitures du tennis couvert et de la nouvelle halte garderie.
D'autres projets sont prévus le territoire : des serres à Bougneau (production de tomates et légumes), un parc photovoltaïque au Fouilloux, six hectares de panneaux à la Barde.
• Attention, château dangereux ?
La question "émeut" Claude Belot qui s'est rendu, avec le sous-préfet, à la Rochelle devant la commission de sécurité au sujet du plus illustre édifice jonzacais, le château. Cette dernière a demandé que soient mieux définies les conditions d’utilisation des salles dans le cadre d’un règlement intérieur devant être porté à la connaissance du Conseil Municipal. Qu'on se rassure, le château ne sera pas fermé, mais il faut apporter des améliorations au cas il se produirait des événements graves (incendies, attaques). Ainsi sera fait !
• Effectifs
L’éducatrice de jeunes enfants dernièrement recrutée à la structure multi-accueil va devoir rompre son contrat pour des raisons familiales. Il faut prévoir son remplacement à compter du 1er septembre 2016 par une personne titulaire du diplôme d’éducateur de jeunes enfants.
Deux cas peuvent se présenter :
- soit la personne recrutée a le grade d’éducateur de jeunes enfants territorial : elle pourra être nommée sur l’emploi vacant d’éducateur de jeunes enfants territorial créé en décembre 2015 ;
- soit la personne recrutée n’est pas titulaire de la fonction publique territoriale : il faut alors créer un poste d’agent social de 2ème classe.
Il est donc proposé de modifier le tableau des effectifs, à compter du 1er septembre 2016 en créant un poste d’agent social de 2ème classe.
En fonction du grade de la personne recrutée, le tableau des effectifs sera mis à jour en supprimant soit le poste d’éducateur de jeunes enfants territorial, soit le poste d’agent social de 2ème classe.
• Cession gratuite d’un terrain à la commune rue Guiffier
Mme Cellou propose de céder à la commune à titre gratuit une partie de la parcelle AK n°146, située rue Guiffier. Cette cession facilitera les travaux de réaménagement de cette rue.
• Tout pour la musique !
Tarifs pour la vente de produits culturels : Prix pour le CD « Cédric Burgelin aux orgues de Jonzac », seul : 12 € ; Prix pour le CD « Cédric Burgelin aux orgues de Jonzac » avec le fascicule « Visiter Jonzac » : 14 €
mercredi 29 juin 2016
Montendre : Nathalie Lanzi inaugure
le Free Music, premier festival
de l'été labellisé Fest'Ter
Vendredi dernier, Nathalie Lanzi, vice-présidente du Conseil régional en charge de la jeunesse, du sport, de la culture et du patrimoine était accueillie au Free Music, festival qui se déroule chaque année à Montendre. Aux côtés de Bernard Lalande, sénateur maire et Samuel Vincent, directeur du Free, elle a présenté les quelque 300 manifestations culturelles soutenues par la Région ainsi que le dispositif Fest'Ter qui permet de se rendre à ces événements sans se ruiner.
Avant de faire découvrir le site à Nathalie Lanzi, Samuel Vincent rappela les efforts réalisés pour pérenniser le Free Music, premier festival de l'été sur le calendrier : « innover et inventer, tout en conjuguant groupes confirmés et jeunes formations ». Il espérait une bonne fréquentation pour cette édition, ce fut le cas avec 18000 spectateurs. Son souhait ? Que d'autres tranches d'âge viennent se greffer aux festivaliers habituels, élargissant la palette des entrées.
Bernard Lalande remercia le directeur du Free « avec qui il partage l'organisation ». Au départ, une bande de copains, la Rock School, l'envie de créer, des bénévoles et la volonté de Montendre de donner carte blanche au monde associatif. Le Free est devenu un rendez-vous incontournable et il était important, pour l'élu, d'y recevoir l'élue régionale, ambassadrice de la Nouvelle Aquitaine !
Au milieu des espaces boisés, elle aurait pu se croire dans un espace originel entre les eaux du lac et les pins si présents qu'ils ont fini par donner à la ville son nom de baptême "Montendre les Pins" ! Après avoir pris dimanche dernier à Saintes une superbe bouffée d'air musicale, elle s'est retrouvée en pleine nature, sans fadets des laîches, mais avec des décibels dont l'étonnante hauteur aurait forcément chasser les papillons ! En effet, les groupes se préparaient et les premiers arrivants avaient installé leurs tentes, prêts à s'éclater pendant deux jours.
La vice-présidente de la Région souligna l'importance de la culture ou plutôt de toutes les formes de culture. « Alain Rousset a une obsession » dit-elle, celle d'unir les territoires et créer des liens en favorisant le bien vivre ensemble : « Ce que vous faites ici en matière de festival est un modèle vertueux. On parle de Montendre loin à la ronde ». La Nouvelle Aquitaine fourmille de « pépites de projets. Nous ne sommes pas qu'un guichet, nous voulons travailler avec vous ». Aux dernières nouvelles, la Région plancherait sur un grand projet qui viendrait combler le vide laissé par la fin des Nuits Romanes.
• Budget du Free Music 700.000 euros dont 46000 euros de la Région, 30.000 euros du Département, et 45.000 euros de la CDCHS.
• Nathalie Lanzi a visité les différents espaces du Free Music ainsi que les coulisses avant que les portes ne soient officiellement ouvertes au public !
Evidemment, le sort des Nuits Romanes n'est pas passé inaperçu et nombreux se demandent - dont le président de la CDCHS de Haute Saintonge Claude Belot - s'il faudra ou non compter sur la Région pour participer au financement de la culture, l'avenir leur semblant opaque. Le président Rousset rappelle qu'il n'abandonne pas ce domaine, mais les choix pourront être différents des lignes dressées dans le passé en Poitou-Charentes (par Ségolène Royal). Pour preuve, la Région ALPC apporte son soutien à 290 festivals, au titre des crédits « culture » à hauteur de 5.580.000 €.
100 festivals sont également aidés dans le cadre des contrats régionaux de développement durable, à hauteur de 900.000 €. La Région mobilise 6.480.000 € pour 390 festivals et manifestations en 2016. Ces événements participent à la richesse culturelle de la région et au dynamisme des territoires.
Quant aux transports en commun, ils sont les moyens de transport faciles pour se rendre sur des manifestations culturelles et sur des festivals régionaux. Proposée par le Conseil régional, la formule Fest'Ter offre 50 % de réduction pour se rendre à ces événements, quel que soit son lieu de départ dans la région. Cette opération s'inscrit dans le cadre de la politique régionale en faveur du développement durable, du développement des transports collectifs et de l'éco-mobilité.
Les billets de cette formules sont en vente aux guichets des gares, sur les automates de vente des gares équipées et sur les trois espaces de vente en ligne suivants : aquitaine.ter.sncf.com ; limousin.ter.sncf.com et poitou-charentes.ter.sncf.com. Les billets Fest'Ter sont mis en vente 7 jours avant la date de l'événement et peuvent être utilisés de la veille jusqu'au lendemain de l'événement.
Avant de faire découvrir le site à Nathalie Lanzi, Samuel Vincent rappela les efforts réalisés pour pérenniser le Free Music, premier festival de l'été sur le calendrier : « innover et inventer, tout en conjuguant groupes confirmés et jeunes formations ». Il espérait une bonne fréquentation pour cette édition, ce fut le cas avec 18000 spectateurs. Son souhait ? Que d'autres tranches d'âge viennent se greffer aux festivaliers habituels, élargissant la palette des entrées.
Bernard Lalande remercia le directeur du Free « avec qui il partage l'organisation ». Au départ, une bande de copains, la Rock School, l'envie de créer, des bénévoles et la volonté de Montendre de donner carte blanche au monde associatif. Le Free est devenu un rendez-vous incontournable et il était important, pour l'élu, d'y recevoir l'élue régionale, ambassadrice de la Nouvelle Aquitaine !
Au milieu des espaces boisés, elle aurait pu se croire dans un espace originel entre les eaux du lac et les pins si présents qu'ils ont fini par donner à la ville son nom de baptême "Montendre les Pins" ! Après avoir pris dimanche dernier à Saintes une superbe bouffée d'air musicale, elle s'est retrouvée en pleine nature, sans fadets des laîches, mais avec des décibels dont l'étonnante hauteur aurait forcément chasser les papillons ! En effet, les groupes se préparaient et les premiers arrivants avaient installé leurs tentes, prêts à s'éclater pendant deux jours.
La photo de famille |
Réception avant le lancement officiel du festival |
• Budget du Free Music 700.000 euros dont 46000 euros de la Région, 30.000 euros du Département, et 45.000 euros de la CDCHS.
Samuel Vincent et Bernard Lalande |
La galette du Poitou ! Les produits du terroir à l'honneur |
Nathalie Lanzi, Bernard Lalande, Samuel Vincent |
Photos Nicole Bertin
La Région rappelle son engagement
pour la culture quand d'autres
craignent pour les lendemains...
Evidemment, le sort des Nuits Romanes n'est pas passé inaperçu et nombreux se demandent - dont le président de la CDCHS de Haute Saintonge Claude Belot - s'il faudra ou non compter sur la Région pour participer au financement de la culture, l'avenir leur semblant opaque. Le président Rousset rappelle qu'il n'abandonne pas ce domaine, mais les choix pourront être différents des lignes dressées dans le passé en Poitou-Charentes (par Ségolène Royal). Pour preuve, la Région ALPC apporte son soutien à 290 festivals, au titre des crédits « culture » à hauteur de 5.580.000 €.
100 festivals sont également aidés dans le cadre des contrats régionaux de développement durable, à hauteur de 900.000 €. La Région mobilise 6.480.000 € pour 390 festivals et manifestations en 2016. Ces événements participent à la richesse culturelle de la région et au dynamisme des territoires.
Quant aux transports en commun, ils sont les moyens de transport faciles pour se rendre sur des manifestations culturelles et sur des festivals régionaux. Proposée par le Conseil régional, la formule Fest'Ter offre 50 % de réduction pour se rendre à ces événements, quel que soit son lieu de départ dans la région. Cette opération s'inscrit dans le cadre de la politique régionale en faveur du développement durable, du développement des transports collectifs et de l'éco-mobilité.
Les billets de cette formules sont en vente aux guichets des gares, sur les automates de vente des gares équipées et sur les trois espaces de vente en ligne suivants : aquitaine.ter.sncf.com ; limousin.ter.sncf.com et poitou-charentes.ter.sncf.com. Les billets Fest'Ter sont mis en vente 7 jours avant la date de l'événement et peuvent être utilisés de la veille jusqu'au lendemain de l'événement.
Alain Rousset
au Cognac Blues Passions le 6 juillet
Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, se rendra au festival Cognac Blues Passions mercredi 6 juillet à 20 h à Cognac à l'occasion de la soirée partenaire du Bureau National Interprofessionnel du Cognac (BNIC) et la remise du Prix Cognac Passions.
Cognac Blues Passions, qui fait partie des 290 festivals soutenus par la Région en 2016, se déroulera du 5 au 9 juillet prochains au cœur de la ville de Cognac. Située au sein de son jardin public, cette manifestation offre aux festivaliers un environnement convivial leur permettant de profiter au maximum des concerts mais aussi de flâner tout au long de la journée dans les allées boisées.
Alain Rousset sera accueilli par Michel Rolland, directeur et programmateur du festival, et rencontrera Gaëtan Brochard, directeur de West Rock, la salle musiques actuelles de Cognac, et Stéphane Jouan, directeur de l'Avant-Scène et du festival Coup de Chauffe. Cognac Blues Passions est également d'une manifestation engagée, qui a acquis le label « Eco-Manifestation » (tri sélectif des déchets, toilettes sèches, papier écologique, éco-cup, incitation au co-voiturage). Ce festival est soutenu à hauteur de 100.000 € par la Région Nouvelle-Aquitaine pour l'année 2016.
En 2016, la Région apporte son soutien à 290 festivals, au titre des crédits « culture » à hauteur de 5.580.000 €. 100 festivals sont également aidés dans le cadre des contrats régionaux de développement durable, à hauteur de 900.000 €. Ainsi la Région mobilise 6.480.000 € pour 390 festivals et manifestations cette année. Ces événements participent à la richesse culturelle de la région et au dynamisme des territoires.
Cognac Blues Passions, qui fait partie des 290 festivals soutenus par la Région en 2016, se déroulera du 5 au 9 juillet prochains au cœur de la ville de Cognac. Située au sein de son jardin public, cette manifestation offre aux festivaliers un environnement convivial leur permettant de profiter au maximum des concerts mais aussi de flâner tout au long de la journée dans les allées boisées.
Alain Rousset sera accueilli par Michel Rolland, directeur et programmateur du festival, et rencontrera Gaëtan Brochard, directeur de West Rock, la salle musiques actuelles de Cognac, et Stéphane Jouan, directeur de l'Avant-Scène et du festival Coup de Chauffe. Cognac Blues Passions est également d'une manifestation engagée, qui a acquis le label « Eco-Manifestation » (tri sélectif des déchets, toilettes sèches, papier écologique, éco-cup, incitation au co-voiturage). Ce festival est soutenu à hauteur de 100.000 € par la Région Nouvelle-Aquitaine pour l'année 2016.
En 2016, la Région apporte son soutien à 290 festivals, au titre des crédits « culture » à hauteur de 5.580.000 €. 100 festivals sont également aidés dans le cadre des contrats régionaux de développement durable, à hauteur de 900.000 €. Ainsi la Région mobilise 6.480.000 € pour 390 festivals et manifestations cette année. Ces événements participent à la richesse culturelle de la région et au dynamisme des territoires.
Orange au ban des accusés
Les maires du canton de Jonzac/Archiac
veulent un réseau opérationnel
Réunis lundi dernier, les maires du canton de Jonzac/Archiac viennent d'adresser une lettre ouverte à
Stéphane Richard, président d’Orange, l'informant des « carences d’entretien du réseau fixe Orange » et autres problèmes...
« Les maires du canton de Jonzac/Archiac réunis en assemblée sous la présidence de Dominique Bussereau, président du département de Charente-Maritime, à l’initiative des vices-présidents, conseillers départementaux Chantal Guimberteau et Jean-Claude Beaulieu, en présence du président de la Communauté de Communes de la Haute-Saintonge, Claude Belot et du sénateur Daniel Laurent, ont constaté à l’unanimité les carences d’entretien du réseau fixe Orange.
Ils déplorent notamment des délais de réparation excessifs allant de plusieurs semaines à plusieurs mois pour remettre en services des lignes, des difficultés pour ouvrir de nouvelles lignes lors de nouvelles implantations et l’absence de réponse aux élus du correspondant pour les collectivités locales.
Ces difficultés conjuguées à d’importantes carences de couverture du réseau mobile génèrent de graves problèmes de sécurité en cas d’urgences, pour les personnes âgées, handicapées ou les personnes malades à domicile et l’ensemble de la population. Ils soulignent également l’aspect dissuasif de cette situation pour les entreprises souhaitant s’implanter alors que celles en places sont déjà gravement pénalisées. Ils vous demandent de rapidement prendre les mesures nécessaires pour revenir à une situation normale d’entretien du réseau et de continuer au plus vite les actions permettant de supprimer les zones blanches en matière de téléphonie mobile. Ils souhaitent à cet effet rencontrer, au plus vite, un de vos représentants afin d’évoquer avec lui ces problèmes concrets et envisager ensemble les correctifs indispensables à y apporter ».
« Les maires du canton de Jonzac/Archiac réunis en assemblée sous la présidence de Dominique Bussereau, président du département de Charente-Maritime, à l’initiative des vices-présidents, conseillers départementaux Chantal Guimberteau et Jean-Claude Beaulieu, en présence du président de la Communauté de Communes de la Haute-Saintonge, Claude Belot et du sénateur Daniel Laurent, ont constaté à l’unanimité les carences d’entretien du réseau fixe Orange.
Ils déplorent notamment des délais de réparation excessifs allant de plusieurs semaines à plusieurs mois pour remettre en services des lignes, des difficultés pour ouvrir de nouvelles lignes lors de nouvelles implantations et l’absence de réponse aux élus du correspondant pour les collectivités locales.
Ces difficultés conjuguées à d’importantes carences de couverture du réseau mobile génèrent de graves problèmes de sécurité en cas d’urgences, pour les personnes âgées, handicapées ou les personnes malades à domicile et l’ensemble de la population. Ils soulignent également l’aspect dissuasif de cette situation pour les entreprises souhaitant s’implanter alors que celles en places sont déjà gravement pénalisées. Ils vous demandent de rapidement prendre les mesures nécessaires pour revenir à une situation normale d’entretien du réseau et de continuer au plus vite les actions permettant de supprimer les zones blanches en matière de téléphonie mobile. Ils souhaitent à cet effet rencontrer, au plus vite, un de vos représentants afin d’évoquer avec lui ces problèmes concrets et envisager ensemble les correctifs indispensables à y apporter ».
mardi 28 juin 2016
Brexit : Merci, Messieurs les Anglais
d’avoir tiré les premiers !
• Point de vue
Vous seuls pouviez le faire.
Pourquoi vous seuls ?
D’abord, parce que l’Union européenne n’a jamais été à votre goût, ni avant 1973, date de votre adhésion réticente, ni après. Vous vous tenez toujours sur la réserve, c’est votre style, votre place, votre talent. Surtout, ne changez pas ! Vous êtes toujours « à côté », c’est là qu’on vous attend.
Ensuite, parce que vous avez un sens inégalable du faux semblant, du coup diplomatique à quadruple fond, ce que nous appelons aimablement « l’entourloupette ». Ce n’est pas une critique, c’est un compliment.
Enfin, pour oser faire ce coup de Trafalgar aux Américains, il n’y avait que vous.
Oui, bravo les British ! Bravo Monsieur Cameron ! Bravo le parti conservateur ! Et, surtout, bravo Her Majesty the Queen ! Le coup du Brexit, chapeau ! Il fallait oser l’imaginer, d’abord, savoir le mettre en scène, ensuite. De la très grande politique. Cela est digne de Sa Majesté et de sa lignée d’ancêtres.
Il faut la comprendre : Mamie Elisabeth en avait un peu assez, depuis deux-cent quarante ans, d’apparaître constamment à la remorque de son ancienne colonie américaine. Elle trouvait même très agaçant que son royaume soit regardé – de travers – comme le cinquante-deuxième état des Etats-Unis, le sous-marin américain en Europe, la succursale de Wall Street, le vassal de l’oncle Sam, le supplétif de l’OTAN... Il fallait en finir un jour. Ce jour de gloire est arrivé. Gloire à vous, Majesté !
Grand garçon, Cameron, plutôt doué dans son genre, mais il n’a pas joué seul un coup pareil. Son parti a fomenté habilement l’opération, la reine l’a avalisée, puis Cameron a fait son numéro de clown sur la scène médiatique. Du grand art. Bien vue l’astuce du référendum ! « Attention, Mesdames et Messieurs, ça va commencer, c’est le peuple qui va parler… » Sous-entendu, le méchant idiot, ce sera lui. Quant au sympathique Nigel Farage, il a joué jusqu’au bout son rôle d’auguste, laissant croire que c’était lui qui remportait l’élection… Du grand art, vous dis-je. Ils sont forts ces Anglais.
Résultat : nous assistons en Europe à la chute du deuxième mur. Lequel ? Ce n’est pas seulement « la chute du mur de Bruxelles », comme l’a joliment dit Dupont-Aignan. Ce qui se lézarde et va tomber sous nos yeux comme un vulgaire World Trade Center, c’est la domination américaine en Europe. L’usine à gaz baptisée « Union européenne » n’avait rien d’européen (à part la soumission) ; elle n’était qu’un système de contrôle américain jeté sur l’économie et la politique européennes, avec comme premiers serviteurs l’inconditionnelle Angleterre et l’Allemagne aux ordres façon Merkel. L’Angleterre n’a pas seulement donné le signal de la débandade, mais aussi, et surtout, celui du renversement d’alliance. Her Majesty the Queen vient de loin. Elle voit loin. Elle seule pouvait donner un tel signal. Bravo les Anglais !
Londres l’a décidé : le dollar ne sera plus la monnaie-clé de l’économie mondiale. Le Brexit n’aura été qu’un tour de passe-passe pour amuser la galerie et amener à cette constatation finale. Tout va s’émietter et s’évanouir très vite : l’Union européenne à la sauce américaine, l’OTAN, le TAFTA… De la même façon qu’en 1989, les Russes ébahis ont vu s’effondrer un mur loin de chez eux, à Berlin, sans se douter que l’Union soviétique elle-même allait en faire les frais deux ans plus tard, les Américains voient, en 2016, leur construction hasardeuse s’effondrer en Europe…
Bonne chance pour la suite !
Vous seuls pouviez le faire.
Pourquoi vous seuls ?
D’abord, parce que l’Union européenne n’a jamais été à votre goût, ni avant 1973, date de votre adhésion réticente, ni après. Vous vous tenez toujours sur la réserve, c’est votre style, votre place, votre talent. Surtout, ne changez pas ! Vous êtes toujours « à côté », c’est là qu’on vous attend.
Ensuite, parce que vous avez un sens inégalable du faux semblant, du coup diplomatique à quadruple fond, ce que nous appelons aimablement « l’entourloupette ». Ce n’est pas une critique, c’est un compliment.
Enfin, pour oser faire ce coup de Trafalgar aux Américains, il n’y avait que vous.
Oui, bravo les British ! Bravo Monsieur Cameron ! Bravo le parti conservateur ! Et, surtout, bravo Her Majesty the Queen ! Le coup du Brexit, chapeau ! Il fallait oser l’imaginer, d’abord, savoir le mettre en scène, ensuite. De la très grande politique. Cela est digne de Sa Majesté et de sa lignée d’ancêtres.
Il faut la comprendre : Mamie Elisabeth en avait un peu assez, depuis deux-cent quarante ans, d’apparaître constamment à la remorque de son ancienne colonie américaine. Elle trouvait même très agaçant que son royaume soit regardé – de travers – comme le cinquante-deuxième état des Etats-Unis, le sous-marin américain en Europe, la succursale de Wall Street, le vassal de l’oncle Sam, le supplétif de l’OTAN... Il fallait en finir un jour. Ce jour de gloire est arrivé. Gloire à vous, Majesté !
Grand garçon, Cameron, plutôt doué dans son genre, mais il n’a pas joué seul un coup pareil. Son parti a fomenté habilement l’opération, la reine l’a avalisée, puis Cameron a fait son numéro de clown sur la scène médiatique. Du grand art. Bien vue l’astuce du référendum ! « Attention, Mesdames et Messieurs, ça va commencer, c’est le peuple qui va parler… » Sous-entendu, le méchant idiot, ce sera lui. Quant au sympathique Nigel Farage, il a joué jusqu’au bout son rôle d’auguste, laissant croire que c’était lui qui remportait l’élection… Du grand art, vous dis-je. Ils sont forts ces Anglais.
Résultat : nous assistons en Europe à la chute du deuxième mur. Lequel ? Ce n’est pas seulement « la chute du mur de Bruxelles », comme l’a joliment dit Dupont-Aignan. Ce qui se lézarde et va tomber sous nos yeux comme un vulgaire World Trade Center, c’est la domination américaine en Europe. L’usine à gaz baptisée « Union européenne » n’avait rien d’européen (à part la soumission) ; elle n’était qu’un système de contrôle américain jeté sur l’économie et la politique européennes, avec comme premiers serviteurs l’inconditionnelle Angleterre et l’Allemagne aux ordres façon Merkel. L’Angleterre n’a pas seulement donné le signal de la débandade, mais aussi, et surtout, celui du renversement d’alliance. Her Majesty the Queen vient de loin. Elle voit loin. Elle seule pouvait donner un tel signal. Bravo les Anglais !
Londres l’a décidé : le dollar ne sera plus la monnaie-clé de l’économie mondiale. Le Brexit n’aura été qu’un tour de passe-passe pour amuser la galerie et amener à cette constatation finale. Tout va s’émietter et s’évanouir très vite : l’Union européenne à la sauce américaine, l’OTAN, le TAFTA… De la même façon qu’en 1989, les Russes ébahis ont vu s’effondrer un mur loin de chez eux, à Berlin, sans se douter que l’Union soviétique elle-même allait en faire les frais deux ans plus tard, les Américains voient, en 2016, leur construction hasardeuse s’effondrer en Europe…
Bonne chance pour la suite !
Jacques Perrot
La diversification de la cybercriminalité
est en marche..
Analyse d'Antoine Chéron, avocat spécialisé en propriété intellectuelle et NTIC, fondateur du cabinet ACBM (http://www.acbm-avocats.com)
Les faits divers liés à la cybercriminalité sont toujours plus nombreux et variés. En atteste le vol des données personnelles de 112 000 policiers récemment commis par un employé d’une société sous-traitante de la Mutuelle générale de la police. Ces données étaient stockées sur un « cloud » à l’accès protégé par un simple mot de passe, permettant à l’employé en question d’accéder et de s’approprier sans grandes difficultés des informations confidentielles non seulement sur les policiers mais aussi sur leurs proches. Cette affaire met en lumière que la menace cybercriminelle ne vient pas toujours de l’extérieur, mais peut également être interne aux organismes et entreprises. Le contrôle des risques liés à la perte d’informations se doit alors d’évoluer pour s’adapter à la typologie des différentes cyber-menaces.
Une expertise alarmante
Alors que l’affaire du vol de données des policiers était révélée à la presse, deux experts ont affirmé ce lundi 27 juin que les cyber-attaques visent dans 99% des cas à voler des données, mais que de plus en plus d’intrusions dans les réseaux informatiques des entreprises font craindre des tentatives de sabotage industriel ou des menaces terroristes. Le directeur de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi), Guillaume Poupard a qualifié ce phénomène d’ « inquiétant ». C’est en effet le moins que l’on puisse dire, car si un transfert anormal ou non-autorisé de données est en théorie identifiable, l’absence de captation d’informations rend le contrôle bien plus ardu.
Comme l’Anssi le craint, il se peut que les terroristes ayant des moyens financiers sans compétences techniques en informatique fassent appel à des « mercenaires numériques » pour s’introduire dans des réseaux en vue d’exfiltrer de l’information au moment opportun.
La protection des « opérateurs d’importance vitale », une priorité affirmée
Les deux experts ont présenté les trois premiers arrêtés relatifs à la sécurité des systèmes d’information des opérateurs d’importance vitale (OIV) concernant les produits de santé, la gestion de l’eau et l’alimentation. D’autres arrêtés feront suite pour couvrir l’ensemble des 12 secteurs reconnus d’importance vitale, soit 249 opérateurs publics et privés identifiés comme tels. Ainsi, dans le prolongement de la loi de programmation militaire de 2013, ce nouveau cadre juridique imposera aux OIV de se prémunir contre les risques de cyber-attaque. Ils auront notamment une obligation de notifier les incidents aux autorités compétentes, devront respecter des consignes préétablies de bonnes pratique et seront soumis régulièrement à des contrôles d’application.
Comme l’a souligné M. Poupard, « la France est avec l’Allemagne un pays pionnier dans la protection des OIV », mais l’Europe n’entend pas respect simple spectatrice de ces efforts. En février 2013, la Commission européenne a en effet proposé aux Etats membres et au Parlement d’adopter une directive « Network Security and Information » (NIS) qui a été approuvée en décembre 2015 et adoptée en première lecture par le Conseil de l’Europe en mai 2016. Celle-ci prévoit des mesures visant à assurer un haut niveau de confiance dans les systèmes de réseaux et d’informations de l’Union.
La stratégie de cybersécurité imposée aux Etats de l’UE d’ici 2018 Cette directive NIS est en fait le support nécessaire du règlement beaucoup plus général relatif à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données.
Le but est à long terme d’obtenir un espace numérique sécurisé et performant au sein duquel les Etats membres coopèrent de manière harmonieuse pour lutter contre la cybercriminalité.
Au niveau national, l’Union prévoit que tous les Etats membres devront créer une « computer emergency response team » (CERT), c’est-à-dire un centre d’alerte et de réaction aux attaques informatiques qui aurait pour mission de surveiller, analyser, avertir des risques et intervenir a posteriori.
Au niveau communautaire, la directive NIS prévoit la mise en place d’un réseau de communication interétatique afin de favoriser la circulation des alertes, la cybercriminalité n’ayant pas de frontières. La coopération paneuropéenne se fera sur la base du volontariat et du partage d’information des différents acteurs. Face à la cyber-menace, notamment de nature terroriste, la solidarité entre Etats apparaît en effet indispensable.
Antoine Chéron, avocat associé, est docteur en droit de la propriété intellectuelle, avocat au barreau de Paris et au barreau de Bruxelles et chargé d’enseignement en Master de droit à l’Université de Assas (Paris II). Il est le fondateur du cabinet d'avocats ACBM (http://www.acbm-avocats.com)
Les faits divers liés à la cybercriminalité sont toujours plus nombreux et variés. En atteste le vol des données personnelles de 112 000 policiers récemment commis par un employé d’une société sous-traitante de la Mutuelle générale de la police. Ces données étaient stockées sur un « cloud » à l’accès protégé par un simple mot de passe, permettant à l’employé en question d’accéder et de s’approprier sans grandes difficultés des informations confidentielles non seulement sur les policiers mais aussi sur leurs proches. Cette affaire met en lumière que la menace cybercriminelle ne vient pas toujours de l’extérieur, mais peut également être interne aux organismes et entreprises. Le contrôle des risques liés à la perte d’informations se doit alors d’évoluer pour s’adapter à la typologie des différentes cyber-menaces.
Une expertise alarmante
Alors que l’affaire du vol de données des policiers était révélée à la presse, deux experts ont affirmé ce lundi 27 juin que les cyber-attaques visent dans 99% des cas à voler des données, mais que de plus en plus d’intrusions dans les réseaux informatiques des entreprises font craindre des tentatives de sabotage industriel ou des menaces terroristes. Le directeur de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi), Guillaume Poupard a qualifié ce phénomène d’ « inquiétant ». C’est en effet le moins que l’on puisse dire, car si un transfert anormal ou non-autorisé de données est en théorie identifiable, l’absence de captation d’informations rend le contrôle bien plus ardu.
Comme l’Anssi le craint, il se peut que les terroristes ayant des moyens financiers sans compétences techniques en informatique fassent appel à des « mercenaires numériques » pour s’introduire dans des réseaux en vue d’exfiltrer de l’information au moment opportun.
La protection des « opérateurs d’importance vitale », une priorité affirmée
Les deux experts ont présenté les trois premiers arrêtés relatifs à la sécurité des systèmes d’information des opérateurs d’importance vitale (OIV) concernant les produits de santé, la gestion de l’eau et l’alimentation. D’autres arrêtés feront suite pour couvrir l’ensemble des 12 secteurs reconnus d’importance vitale, soit 249 opérateurs publics et privés identifiés comme tels. Ainsi, dans le prolongement de la loi de programmation militaire de 2013, ce nouveau cadre juridique imposera aux OIV de se prémunir contre les risques de cyber-attaque. Ils auront notamment une obligation de notifier les incidents aux autorités compétentes, devront respecter des consignes préétablies de bonnes pratique et seront soumis régulièrement à des contrôles d’application.
Comme l’a souligné M. Poupard, « la France est avec l’Allemagne un pays pionnier dans la protection des OIV », mais l’Europe n’entend pas respect simple spectatrice de ces efforts. En février 2013, la Commission européenne a en effet proposé aux Etats membres et au Parlement d’adopter une directive « Network Security and Information » (NIS) qui a été approuvée en décembre 2015 et adoptée en première lecture par le Conseil de l’Europe en mai 2016. Celle-ci prévoit des mesures visant à assurer un haut niveau de confiance dans les systèmes de réseaux et d’informations de l’Union.
La stratégie de cybersécurité imposée aux Etats de l’UE d’ici 2018 Cette directive NIS est en fait le support nécessaire du règlement beaucoup plus général relatif à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données.
Le but est à long terme d’obtenir un espace numérique sécurisé et performant au sein duquel les Etats membres coopèrent de manière harmonieuse pour lutter contre la cybercriminalité.
Au niveau national, l’Union prévoit que tous les Etats membres devront créer une « computer emergency response team » (CERT), c’est-à-dire un centre d’alerte et de réaction aux attaques informatiques qui aurait pour mission de surveiller, analyser, avertir des risques et intervenir a posteriori.
Au niveau communautaire, la directive NIS prévoit la mise en place d’un réseau de communication interétatique afin de favoriser la circulation des alertes, la cybercriminalité n’ayant pas de frontières. La coopération paneuropéenne se fera sur la base du volontariat et du partage d’information des différents acteurs. Face à la cyber-menace, notamment de nature terroriste, la solidarité entre Etats apparaît en effet indispensable.
Antoine Chéron, avocat associé, est docteur en droit de la propriété intellectuelle, avocat au barreau de Paris et au barreau de Bruxelles et chargé d’enseignement en Master de droit à l’Université de Assas (Paris II). Il est le fondateur du cabinet d'avocats ACBM (http://www.acbm-avocats.com)
Alain Rousset : « Faisons tous ensemble
honneur à la Nouvelle-Aquitaine » !
La Région a adopté son nom, Nouvelle-Aquitaine !
La nouvelle région, issue de l'union de l'Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes, a mené une grande consultation sur son futur nom. A son terme, les 183 élus régionaux réunis en séance plénière à Bordeaux ont adopté, lundi matin, le nom de Région Nouvelle-Aquitaine, enrichi de la signature Aquitaine Limousin Poitou-Charentes. « Le changement de nom est un acte fondateur. Nous nous appelons désormais Nouvelle-Aquitaine et à nous tous, ensemble, de lui faire honneur » a indiqué Alain Rousset, président.
Quant à Anne-Marie Cocula - chargée de proposer le nom de la Région au terme d'une longue réflexion et concertation - qui présentait les conclusions de son rapport devant les élus régionaux, elle a tenu à rassurer les habitants : « la nouvelle appellation ne va pas faire disparaître les identités locales ».
Les élus avaient préalablement émis à l'unanimité un avis défavorable au projet de décret du Gouvernement fixant le nom « Aquitaine Limousin Poitou-Charentes ». C'est désormais au Conseil d'Etat de fixer définitivement la nouvelle appellation, avant le 1er octobre.
• Le décompte du vote du nouveau nom
Contre : 11
Abstention : 5
La nouvelle région, issue de l'union de l'Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes, a mené une grande consultation sur son futur nom. A son terme, les 183 élus régionaux réunis en séance plénière à Bordeaux ont adopté, lundi matin, le nom de Région Nouvelle-Aquitaine, enrichi de la signature Aquitaine Limousin Poitou-Charentes. « Le changement de nom est un acte fondateur. Nous nous appelons désormais Nouvelle-Aquitaine et à nous tous, ensemble, de lui faire honneur » a indiqué Alain Rousset, président.
Quant à Anne-Marie Cocula - chargée de proposer le nom de la Région au terme d'une longue réflexion et concertation - qui présentait les conclusions de son rapport devant les élus régionaux, elle a tenu à rassurer les habitants : « la nouvelle appellation ne va pas faire disparaître les identités locales ».
Les élus avaient préalablement émis à l'unanimité un avis défavorable au projet de décret du Gouvernement fixant le nom « Aquitaine Limousin Poitou-Charentes ». C'est désormais au Conseil d'Etat de fixer définitivement la nouvelle appellation, avant le 1er octobre.
• Le décompte du vote du nouveau nom
Contre : 11
Abstention : 5
Crise mytilicole : le Ministre annonce
8 millions d'euros d'aides
Alerté par les mytiliculteurs, Olivier Falorni, député de Charente-Maritime, avait saisi, à deux reprises en avril et mai, le Secrétaire d’Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche, pour l’alerter sur la situation préoccupante que les professionnels de la Charente- Maritime traversent et qui leur rappelle la funeste saison 2014.
« Je me réjouis en partie de la réponse que vient de me faire le Ministre » indique le député. « En effet, Alain Vidalies m’informe que la première enveloppe portée à 6,5 millions d’euros par les crédits du FEAMP pourrait être revue à la hausse en 2017 afin d’atteindre la somme justement demandée par les mytiliculteurs, soit 8 millions d’euros. C’est un bon signe, mais nous devrons rester vigilants au moment de la révision du FEAMP, l’année prochaine, pour que tous les acteurs locaux valident cette revalorisation du programme opérationnel. C’est une condition sine qua non pour sauver nos entreprises et nos emplois ».
D’autre part, le parlementaire a reçu les garanties du Ministre qu’une réflexion sur des mécanismes économiques et financiers pérennes est engagée pour anticiper ce type de situation. « La meilleure des préventions étant l’anticipation, j’attends avec impatience les premières préconisations du coordonnateur national sanitaire » conclut-il.
D’autre part, le parlementaire a reçu les garanties du Ministre qu’une réflexion sur des mécanismes économiques et financiers pérennes est engagée pour anticiper ce type de situation. « La meilleure des préventions étant l’anticipation, j’attends avec impatience les premières préconisations du coordonnateur national sanitaire » conclut-il.
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