Ce jour sur la commune de Fouras, un dépôt de matière jaune et mousseuse a été constaté sur le littoral, sur une longueur de 1,5 kilomètres, entre le port et la pointe de la Fumée, avec une concentration particulière sur le port.
La procédure de levée de doute anti-pollution a été mise en œuvre, en engageant les moyens spécialisés du Service départemental d’incendie et de secours de la Charente-Maritime.
Les analyses effectuées par les sapeurs-pompiers du SDIS avec un spectromètre permettent d’écarter l’hypothèse d’une pollution par hydrocarbure. Les relevés effectués sur site n’indiquent également à ce stade aucune toxicité de ces composés. Des prélèvements ont été réalisés pour examen complémentaire par un laboratoire agréé, dont les résultats seront connus dans la journée de lundi. Il n’est pas à exclure que ces dépôts soient d’origine naturelle.
En lien avec les services de la commune de Fouras, les sapeurs-pompiers ont entrepris une action de récupération des dépôts relevés sur site. Des moyens de pompage et de récupération manuelle ont été déployés. 15 sapeurs-spécialisés ont été en action sur site.
dimanche 31 mars 2019
Européennes : Joëlle de Corte, présidente de Renaissance Citoyenne, souhaite un rapprochement avec d'autres listes
Communiqué :
« Nous n’avons pas l’étiquette Gilets Jaunes, nous sommes 100 % citoyens, nous sommes du peuple, nous sommes de toute la France et d’Outremer, de tous corps de métiers, représentatifs de la vraie France y compris celle que certains appellent la France d’en bas. Nous ne sommes actuellement que 40 et n’avons absolument aucun financement, mais notre programme lui est prêt depuis de longues semaines !
Les différentes discussions avec d’autres listes, qui auraient pu aboutir à des accords, se sont soldées par des échecs.
Nous ne sommes pas tous des gens beaux, nous ne sommes pas tous médiatiques, nous ne sommes pas tous des gens riches ni n’avons tous des situations professionnelles enviables, nous sommes comme la majorité des Français des personnes normales.
Aujourd’hui, c’est l’appel de la dernière chance. Nous tendons une énième fois la main aux financeurs, aux listes citoyennes, aux personnes défendant les mêmes idéaux : l’avenir de la France et de l’Europe, que nous en sortions ou que nous y restions ! Mais tant que nous sommes dedans, il faut aussi être à Bruxelles pour pouvoir modifier, faire avancer, faire grandir, supprimer toute discrimination, avoir une Europe unifiée qui permettra à notre pays et tous ses citoyens de vivre et non plus de survivre !
Si cet appel n’est pas entendu, nous nous préparerons pour les élections municipales de 2020, les élections départementales de 2021 et les élections régionales elles aussi de 2021. J’envisagerai de me présenter à la mairie de Fontcouverte (Charente-Maritime) si les Européennes me restent inaccessibles ».
« Nous n’avons pas l’étiquette Gilets Jaunes, nous sommes 100 % citoyens, nous sommes du peuple, nous sommes de toute la France et d’Outremer, de tous corps de métiers, représentatifs de la vraie France y compris celle que certains appellent la France d’en bas. Nous ne sommes actuellement que 40 et n’avons absolument aucun financement, mais notre programme lui est prêt depuis de longues semaines !
Les différentes discussions avec d’autres listes, qui auraient pu aboutir à des accords, se sont soldées par des échecs.
Nous ne sommes pas tous des gens beaux, nous ne sommes pas tous médiatiques, nous ne sommes pas tous des gens riches ni n’avons tous des situations professionnelles enviables, nous sommes comme la majorité des Français des personnes normales.
Aujourd’hui, c’est l’appel de la dernière chance. Nous tendons une énième fois la main aux financeurs, aux listes citoyennes, aux personnes défendant les mêmes idéaux : l’avenir de la France et de l’Europe, que nous en sortions ou que nous y restions ! Mais tant que nous sommes dedans, il faut aussi être à Bruxelles pour pouvoir modifier, faire avancer, faire grandir, supprimer toute discrimination, avoir une Europe unifiée qui permettra à notre pays et tous ses citoyens de vivre et non plus de survivre !
Si cet appel n’est pas entendu, nous nous préparerons pour les élections municipales de 2020, les élections départementales de 2021 et les élections régionales elles aussi de 2021. J’envisagerai de me présenter à la mairie de Fontcouverte (Charente-Maritime) si les Européennes me restent inaccessibles ».
Joëlle de Corte (Charente-Maritime) Présidente RC
Cyril Mauchaussé (Côte d’Or) Secrétaire Général RC
Opposition résolue à l'édification d'éoliennes sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde...
De nombreux élus et responsables d'associations se sont retrouvés vendredi 29 mars en fin d'après-midi, à la salle des fêtes de Saint Sorlin de Conac, pour échanger sur leur opposition résolue à l'édification d'éoliennes sur la rive droite de l'estuaire de la Gironde. Une réunion organisée par la DDME (association pour la Défense Des Marais de l'Estuaire), forte de près de 500 adhérents un an après sa création.
A la suite de Guillaume Boraud, président de la DDME, les intervenants ont expliqué, à tour de rôle, leur rejet du projet d'EDF Renouvelable d'implanter entre 30 et 40 aérogénérateurs industriels de 180 m de hauteur le long de l'estuaire.
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| Guillaume Boraud, président de la DDME |
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| Raphaël Musseau, ingénieur en écologie Biosphère Environnement |
Maire de Gémozac et conseiller départemental de Charente-Maritime, Loïc Girard a présenté les objectifs et rendu compte des travaux de l'Observatoire de l'éolien, récemment mis en place par Dominique Bussereau. Cette initiative du président du Conseil départemental, tout comme le vote par cette assemblée, à son instigation, d'un moratoire de deux ans sur les futures implantations d'éoliennes ont été unanimement salués par l'assistance. Pour celle-ci, l'engagement de Dominique Bussereau, foncièrement hostile à l'implantation d'éoliennes le long de l’estuaire, s’inscrit dans le cadre du ras-le-bol qui monte face à la multiplication anarchique des aérogénérateurs industriels. Une prolifération qui menace gravement l'activité touristique du département, pourtant l'un de ses atouts majeurs.
Maire de Saint-Sorlin de Conac, Véronique Piasecki a fait le point sur l'élaboration en cours du SCOT, le Schéma de cohérence territoriale de la Communauté de communes de la Haute-Saintonge (CDCHS). Ce document d’urbanisme, qui définit les orientations qui vont s'imposer à l'ensemble des communes de la CDCHS, sera achevé et opérationnel à la fin de l'année 2019. Il s'attache à articuler le développement nécessaire des énergies renouvelables avec la préservation des paysages, de l'environnement et des espaces remarquables. A ce titre, il prévoit d'exclure toute éolienne le long de l'estuaire… A moins que l'Etat ne se plie à la volonté d'EDF.
Jean-François Mazzocchi, maire de Saint-Dizant-du-Gua, a fait la genèse de la mobilisation des maires du secteur concerné, tous hostiles au projet, devant une assistance qui ne comptait pas moins de 12 d'entre eux. Ces élus solidaires ont trouvé des oreilles attentives auprès d'interlocuteurs tels que Dominique Bussereau et Claude Belot, le président de la CDCHS. Côté préfecture de Charente-Maritime, l'accueil fut nettement plus froid. Au point que les maires vont se tourner, à l'avenir, vers la nouvelle préfète de Gironde pour lui exprimer leur intransigeance face au projet d'EDF R.
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| Véronique Hammerer, députée |
Aussi, tout comme Raphaël Gérard, son homologue de la 4° circonscription de Charente-Maritime, elle s'est rendue au ministère de François de Rugy, qui détient le portefeuille de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, pour faire part à un conseiller du ministre de son opposition à ce projet. Une démarche appréciable, mais dont nombre de personnes présentes doutent qu'elle suffise, en l'état, à peser sur l'attitude d'un ministre qui n'a pas hésité en novembre 2018 à signer un décret qui porte atteinte aux capacités de contestations des opposants aux éoliennes. Il fait d'ailleurs l'objet d'un recours devant le Conseil d'Etat.
De nombreux responsables d'associations telles que Stop éolien 17, Epargnes-mon-village, la Fédération des chasseurs de Gironde comme celle de Charente-Maritime, l'association des chasseurs de gibier d'eau et celle des pêcheurs au carrelet ont témoigné avec force des multiples raisons qui les poussent à rejeter sans appel ce projet d'EDF R.
Personnage bien connu dans ce pays, conseiller municipal, pêcheur et grand amoureux de l'estuaire qui est toute sa vie, Sébastien Lys a témoigné avec fougue de la colère sous-jacente qui gagne les esprits. Il s'est fait le porte-parole de ceux qui éprouvent un mépris d'EDF R qui, bafouant les principes démocratiques élémentaires, avance masquée depuis des années par crainte de l'hostilité à son projet qui fait fi des cadres juridiques adoptés au fil des ans pour protéger ce site remarquable. « S'ils persistent dans leur projet, a-t-il lancé, ce sera pire ici qu'avec les gilets jaunes ». Ce qui lui a valu des applaudissements nourris.
Cette réunion, qui a visiblement conforté les participants dans leur détermination, s’est achevée sur la signature par nombre d’élus d’une lettre adressée à Fabienne Buccio, la nouvelle préfète de région, pour la sensibiliser à ce dossier. La tonalité des échanges devrait l'inciter à ne pas prendre cette correspondance à la légère.
J.L. R
La liste des participants :
Les associations
• Défense des marais de l’estuaire
o Guillaume Boraud, Président
o Membres du groupe de pilotage
• Association des Chasseurs de Gibiers d’Eau
o Sébastien Lys, Président
• Stop éolien 17,
o Dominique Bruchet, Président
o Bertrand Vincent
• Fédération des Chasseurs de la Gironde
o Jacky Jonchère, Vice-président
• Fédération des Chasseurs de Charente-Maritime
o Christophe Bouyer, Président
• Association des Pêcheurs au Carrelet de l’Estuaire de la Gironde
o Serge Carrère, Président
o Jean-Michel, Audoire, secrétaire
• Epargnes-mon-Village
o Jean-Patrick Moreau, Président
Les élus
• Députés
o Evelyne Delaunay, suppléante de Raphaël Gérard, 4ème circonscription de Charente-Maritime
o Véronique Hammerer, 11ème circonscription de Gironde
• Conseiller régional (vidéo)
o Eddy Puyjalon
• Conseillers départementaux
o Valérie Ducout (Gironde)
o Loïc Girard (Charente-Maritime)
o Bernard Louis-Joseph (Charente-Maritime)
• Maires des communes directement concernées
o Valérie Ducout, Saint-Ciers-sur-Gironde
o Jean-François Mazzocchi, Saint-Dizant-du-Gua
o Laurent Nivard, Saint-Bonnet-sur-Gironde
o Véronique Piasecki, Saint-Sorlin-de-Conac
o Daniel Rousseau, Saint-Thomas-de-Conac
• Maires des communes en proximité
o Marc Bertrand, Semoussac
o Patrick Chérat, Saint-Ciers-du-Taillon
o Evrard Garnier, Lorignac
o Jean-Pierre Gervreau, Saint-Fort-sur-Gironde
o Bernard Louis-Joseph, Soubran
o Fabrice Olivier, Sainte-Ramée
o Michel Vallée, Floirac
o Anne-Marie Vérit, Pleine-Selve
La CNDP
• Les garants
o Walter Acchiardi
o Julie Dumont
L’expert avifaune invité par la DDME
• BioSphère Environnement
o Raphaël Musseau, ingénieur de recherche en écologie
Les cahiers de doléances consultables aux Archives départementales
En Charente-Maritime comme partout en France, les maires ont été invités à clôturer les cahiers citoyens ouverts dans le cadre du Grand débat national le 20 février dernier et à les transmettre à la préfecture. Sur les 463 communes qui composent le Département, 451 avaient ouvert un cahier
Les cahiers originaux ont été remis le 28 mars 2019 aux Archives du Département de la Charente-Maritime afin de permettre à tous ceux qui le souhaitent de consulter ces documents. Auparavant, les cahiers ont tous été photocopiés et envoyés à la bibliothèque nationale de France qui procède à leur numérisation pour permettre également leur consultation en ligne (https://granddebat.fr). Les cahiers sont des archives publiques, au sens de l'article L 211-4 du code du patrimoine, et des documents administratifs au sens de l'article L. 300-2 du code des relations entre le public et l'administration (CRPA). Ils sont communicables à toute personne qui en fait la demande en salle de lecture des archives départementales.
Les archives départementales sont ouvertes tous les jours de la semaine : Le lundi (10h-17h30) et du mardi au vendredi (9h-17h30). La consultation s'effectue sans rendez-vous 35, rue François de Vaux de Foletier à La Rochelle (pour les cahiers de l'ensemble des communes du département). L'inscription est gratuite et nécessite la présentation d'une carte d'identité. Pour tout renseignement, les archives départementales sont joignables par téléphone au 05 46 45 17 77 ou par courriel à l'adresse suivante : archives@charente-maritime.fr et sur leur site internet : https://archives.charente-maritime.fr/
Les cahiers originaux ont été remis le 28 mars 2019 aux Archives du Département de la Charente-Maritime afin de permettre à tous ceux qui le souhaitent de consulter ces documents. Auparavant, les cahiers ont tous été photocopiés et envoyés à la bibliothèque nationale de France qui procède à leur numérisation pour permettre également leur consultation en ligne (https://granddebat.fr). Les cahiers sont des archives publiques, au sens de l'article L 211-4 du code du patrimoine, et des documents administratifs au sens de l'article L. 300-2 du code des relations entre le public et l'administration (CRPA). Ils sont communicables à toute personne qui en fait la demande en salle de lecture des archives départementales.
Les archives départementales sont ouvertes tous les jours de la semaine : Le lundi (10h-17h30) et du mardi au vendredi (9h-17h30). La consultation s'effectue sans rendez-vous 35, rue François de Vaux de Foletier à La Rochelle (pour les cahiers de l'ensemble des communes du département). L'inscription est gratuite et nécessite la présentation d'une carte d'identité. Pour tout renseignement, les archives départementales sont joignables par téléphone au 05 46 45 17 77 ou par courriel à l'adresse suivante : archives@charente-maritime.fr et sur leur site internet : https://archives.charente-maritime.fr/
Saintes/6 avril : Marchez, pédalez et gardez la santé !
Dans le cadre de son programme d’actions « Territoire à Energie Positive », la Communauté d’Agglomération de Saintes et ses partenaires organisent, samedi 6 avril, un après-midi d’animations orienté sur les thématiques de la santé et de la mobilité. Intitulé « Marchez, pédalez… et gardez la santé ». L’évènement se déroule de 14 h à 18 h place du Maréchal Foch à Saintes (face au tribunal). Objectif : sensibiliser le public à la mobilité douce et à ses bienfaits sur la santé et sur l’environnement.
Tout au long de l’après-midi, de nombreuses activités sont proposées au public.
• Des ateliers
Par l’association Les Petits Débrouillards :
- Se bouger pour garder la forme : comment le sport entretient-il la santé ?
- Ecomobilité : quels impacts ont les différents modes de déplacement sur votre santé ?
Par l’association Saintes à vélo :
« Mon vélo est-il en bon état ? » : comment vérifier et réparer votre vélo ?
Des expériences collectives
Par la Communauté d’Agglomération de Saintes :
Marche de 1 km au départ du stand de la CDA de Saintes (sur inscription le Jour J), à 14 h 30, 15 h 30 et 16 h 30 pour découvrir les bienfaits de la randonnée sur la santé.
Par l’entreprise S’cool Bus :
Test du nouveau moyen de locomotion ludique, fun et écologique : le S’cool bus
Des espaces d’informations et de découvertes
Par Cycle Elec, Décathlon et Vélo Saintes
Découverte des nouveaux modes de déplacements urbains : vélos à assistance électrique, trottinettes, hoverboard, monocyles, etc.
Au cours de la journée, le public sera invité à remplir un quizz « santé et mobilité » pour tenter de gagner des kits vélos ou marche. Le quizz est à retirer et remplir au stand de la Communauté d’Agglomération entre 9 h et 12 h au marché place Saint-Pierre, ou entre 14 h et 17 h, place du Maréchal Foch à Saintes. Le tirage au sort a lieu à 17 h au stand de la CDA.
L’accès à l’événement est libre et gratuit. Informations sur www.agglo-saintes.fr.
Tout au long de l’après-midi, de nombreuses activités sont proposées au public.
• Des ateliers
Par l’association Les Petits Débrouillards :
- Se bouger pour garder la forme : comment le sport entretient-il la santé ?
- Ecomobilité : quels impacts ont les différents modes de déplacement sur votre santé ?
Par l’association Saintes à vélo :
« Mon vélo est-il en bon état ? » : comment vérifier et réparer votre vélo ?
Des expériences collectives
Par la Communauté d’Agglomération de Saintes :
Marche de 1 km au départ du stand de la CDA de Saintes (sur inscription le Jour J), à 14 h 30, 15 h 30 et 16 h 30 pour découvrir les bienfaits de la randonnée sur la santé.
Par l’entreprise S’cool Bus :
Test du nouveau moyen de locomotion ludique, fun et écologique : le S’cool bus
Des espaces d’informations et de découvertes
Par Cycle Elec, Décathlon et Vélo Saintes
Découverte des nouveaux modes de déplacements urbains : vélos à assistance électrique, trottinettes, hoverboard, monocyles, etc.
Au cours de la journée, le public sera invité à remplir un quizz « santé et mobilité » pour tenter de gagner des kits vélos ou marche. Le quizz est à retirer et remplir au stand de la Communauté d’Agglomération entre 9 h et 12 h au marché place Saint-Pierre, ou entre 14 h et 17 h, place du Maréchal Foch à Saintes. Le tirage au sort a lieu à 17 h au stand de la CDA.
L’accès à l’événement est libre et gratuit. Informations sur www.agglo-saintes.fr.
vendredi 29 mars 2019
Barzan/Site du Fâ : Créatures fantastiques, journées romaines et nuit des musées
LE DÉPARTEMENT DE LA CHARENTE-MARITIME
VOUS FAIT VIVRE UNE EXPÉRIENCE À L’ÉPOQUE GALLO-ROMAINE
Filière "Cuir, luxe, textile et métiers d'art" : la Région Nouvelle-Aquitaine lance la feuille de route
Le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine organise la 2e édition des "Rendez-vous des savoir-faire d'excellence en Nouvelle-Aquitaine", mardi 2 avril à La Rochefoucauld-en-Angoumois en Charente
Initiés en 2018, ces rendez-vous sont un temps annuel d'échange des professionnels de la filière "Cuir, luxe, textile et métiers d'art" (CLTMA) afin de créer des synergies et une dynamique collective au service de développements individuels.
Cette filière regroupe des secteurs importants en Nouvelle-Aquitaine, comme celui du "Cuir-Chaussure" (3900 salariés), du textile (1500 salariés) ou de l'habillement (2400 salariés).
Alain Rousset, président du Conseil régional, lancera matinée la feuille de route CLTMA en Nouvelle-Aquitaine, et avec elle une première phase de concertation (jusqu'à mi-juin), afin de co-construire d'ici la fin d'année une stratégie et un plan d'actions sur trois ans.
Cette filière est en effet l'une des filières prioritaires définies dans le Schéma régional de développement économique d'innovation et d'internationalisation (SRDEII), adopté par le Conseil régional en séance plénière fin 2016.
Alain Rousset interviendra sur le thème suivant : "Dessinons l'avenir de la filière CLTMA", puis échangera avec la salle dans un jeu de questions-réponses organisé autour de trois thèmes : "Pourquoi une feuille de route pour la filière CLTMA ?" ; "En quoi un accompagnement du développement de la filière CLTMA contribue-t-il à l'équilibre du développement des territoires, au maintien et à la création d'emploi sur les territoires plus ruraux ?" ; "Que peut apporter l'approche-design aux acteurs et professionnels de la filière ?".
Cette 2e édition sera en effet aussi l'occasion du lancement de l'appel à manifestation d'intérêt "Design, savoir-faire d'excellence et innovation", où il est proposé d'accompagner les projets d'entreprises qui souhaitent intégrer une approche design afin d'aboutir à de nouveaux produits ou services.
Cette édition verra par ailleurs la participation de nombreuses "Entreprises du patrimoine vivant" (EPV) - label qui était le thème de l'édition précédente - et la pause-déjeuner sera l'occasion de découvrir des produits proposés par des entreprises au label EPV.
Initiés en 2018, ces rendez-vous sont un temps annuel d'échange des professionnels de la filière "Cuir, luxe, textile et métiers d'art" (CLTMA) afin de créer des synergies et une dynamique collective au service de développements individuels.
Cette filière regroupe des secteurs importants en Nouvelle-Aquitaine, comme celui du "Cuir-Chaussure" (3900 salariés), du textile (1500 salariés) ou de l'habillement (2400 salariés).
Alain Rousset, président du Conseil régional, lancera matinée la feuille de route CLTMA en Nouvelle-Aquitaine, et avec elle une première phase de concertation (jusqu'à mi-juin), afin de co-construire d'ici la fin d'année une stratégie et un plan d'actions sur trois ans.
Cette filière est en effet l'une des filières prioritaires définies dans le Schéma régional de développement économique d'innovation et d'internationalisation (SRDEII), adopté par le Conseil régional en séance plénière fin 2016.
Alain Rousset interviendra sur le thème suivant : "Dessinons l'avenir de la filière CLTMA", puis échangera avec la salle dans un jeu de questions-réponses organisé autour de trois thèmes : "Pourquoi une feuille de route pour la filière CLTMA ?" ; "En quoi un accompagnement du développement de la filière CLTMA contribue-t-il à l'équilibre du développement des territoires, au maintien et à la création d'emploi sur les territoires plus ruraux ?" ; "Que peut apporter l'approche-design aux acteurs et professionnels de la filière ?".
Cette 2e édition sera en effet aussi l'occasion du lancement de l'appel à manifestation d'intérêt "Design, savoir-faire d'excellence et innovation", où il est proposé d'accompagner les projets d'entreprises qui souhaitent intégrer une approche design afin d'aboutir à de nouveaux produits ou services.
Cette édition verra par ailleurs la participation de nombreuses "Entreprises du patrimoine vivant" (EPV) - label qui était le thème de l'édition précédente - et la pause-déjeuner sera l'occasion de découvrir des produits proposés par des entreprises au label EPV.
Paléosite de Saint-Césaire : animations autour de Néandertal et reprise des fouilles
Situé sur le lieu même de la découverte de Pierrette, une Néandertalienne retrouvée en 1979 lors d'un chantier de fouilles du professeur Levêque, le Paléosite a été créé avec le soutien de scientifiques de renommée internationale et des plus grands spécialistes mondiaux de l’homme de Neandertal dont Yves Coppens, Bernard Vandermeersche, Jean-Jacques Hublin, Ian Tattersall, etc.
À l'intérieur, bienvenue pour un grand voyage dans le temps ! Spectacles sur écrans géants, reconstitutions, animations 3D, ateliers de comparaison, scanner intégral, bras de fer avec Néandertal.
À ne pas manquer, le morphing facial pour voir le visage que nous aurions eu il y a 35 000 ans.
À l'extérieur, place aux reconstitutions grandeur nature !
Villages Sapiens et Néandertal, cimetière de mammouths, auroch, rennes, animations et ateliers d'initiations aux techniques préhistoriques d'allumage du feu, de taille du silex ou de tir au propulseur.
Profitez d’une nouvelle expérience de visite :
À l’occasion des 40 ans de la découverte de Saint-Césaire, la salle des échos de la science fait « peau neuve » et se consacre exclusivement à la découverte exceptionnelle de Saint-Césaire.
Elle va permettre de comprendre en quoi elle a bouleversé les connaissances sur l’évolution humaine et d'appréhender l’environnement, les outils, les armes et la faune il y a 35 000 ans.
Afin de plonger dans cet univers : maquette et ateliers interactifs, réalité virtuelle, vestiges et Quiz collectif.
Découvrez aussi ces nouvelles expériences :
Un jeu de piste : participez en famille à une aventure unique avec un nouveau jeu de piste immersif auprès de Koumbi et de son loup Amarok.
• Et si vous profitiez de votre visite pour découvrir nos géocaches archéo ?
• AU FIL DES MOIS
Programme des animations préhistoriques d’avril à juin au Paléosite
DES EXPÉRIENCES PRÉHISTORIQUES QUOTIDIENNES
Tous les jours du 1er avril jusqu’au 5 mai, puis du mercredi au dimanche, de 11 h à 18 h (programme journalier distribué à l’accueil du Paléosite), animations comprises dans le billet d’entrée, sans réservation
Faites un saut au temps de la Préhistoire, en vous initiant aux techniques des premiers hommes :
- allumage du feu,
- taille de silex,
- tir au propulseur,
- art pariétal
- aire de jeux en bois préhistoriques
Sans oublier la visite du gisement archéologique « La Roche à Pierrot », lieu de la découverte de Pierrette.
PARCOURS AUX PIEDS DES GÉANTS DE LA PRÉHISTOIRE !
Tout au long de la saison, venez découvrir et rencontrer des animaux pas comme les autres : bison des steppes, mammouth, tigre à dents de sabre, rhinocéros laineux et son mégalocéros de plus de 2 m de haut !
AU MOIS D’AVRIL, LA PRÉHISTOIRE AU FIL DE TROIS ÉVÉNEMENTS
Ensemble des événements, compris dans le billet d’entrée au site et sans réservation
• PRÉHISTO-PÂQUES AU PALÉOSITE
Dimanche 21 et lundi 22 avril – toute la journée
Le Paléosite organise une chasse aux œufs géante sur son parcours extérieur. Déambulez parmi les reconstitutions préhistoriques grandeur nature et ouvrez l'œil pour découvrir les œufs préhistoriques. Une chasse au trésor grandeur nature pour toute la famille !
• PRÉHISTO’MIAM
Mardi 16 avril - Atelier animé par Stéphanie Roumegous, toutes les heures de 14 h 30 à 18 h 30.
100 % PALEO - Atelier participatif : mettez la main à la pâte pour apprendre la cuisine néolithique !
Présentation de l’évolution de l’alimentation préhistorique et des changements engendrés par les débuts de la sédentarisation puis réalisation de recettes néolithiques avec l'animatrice à partir des aliments à disposition : insectes, rayon de miel, baies, plantes, céréales...
• PRÉHISTO’DOC
Mercredi 17 avril - Atelier animé par Stéphanie Roumegous, toutes les heures de 14 h 30 à 18 h 30.
Atelier participatif pour découvrir les origines de la médecine préhistorique et les remèdes utilisés par nos ancêtres.
Présentation de nombreux extraits de plantes et objets en tout genre avec les explications de Stéphanie. Préparez vos propres tisanes et découvrez les vertus des plantes.
PENDANT LES VACANCES DE PRINTEMPS DU 6 AVRIL AU 5 MAI,
LES ENFANTS PEUVENT DÉCOUVRIR D’AUTRES FACETTES DE LA PRÉHISTOIRE
Activités vacances, en complément des animations quotidiennes – comprises dans le billet d’entrée au site accessibles sur réservation : Initiation aux fouilles archéologiques, parcours du chasseur, modelage d'argile et art pariétal, vis ma vie, feu participatif
• INITIATION À LA FOUILLE ARCHÉOLOGIQUE
Atelier encadré par un animateur - durée 1 h à partir de 6 ans
Le temps d’un atelier, petits et grands pourront se mettre dans la peau d’un archéologue et reproduire les gestes et les techniques de fouilles sur des fac-similés.
L'atelier du lundi
||| VIS MA VIE DE NÉANDERTALIEN
Atelier encadré par un animateur - durée 1 h 30, à partir de 6 ans
Le temps d'un après-midi, partez à la rencontre de nos lointains cousins
pour revivre les gestes et les techniques de ces hominidés : atelier participatif d'allumage du feu, taille de silex, visite commentée...Et pour vivre à fond l'expérience, quittez jeans et baskets et enfilez votre peau d'bête !
L’atelier du mardi, jeudi et samedi
||| LE PARCOURS DU CHASSEUR
Atelier encadré par un animateur - durée 1h30 à partir de 6 ans
Avec votre tribu, partez à la chasse en forêt armé d’un propulseur et accompagnés d’un animateur sur un des tronçons du parcours du championnat de tir au propulseur organisé chaque année au Paléosite.
L'atelier du mercredi
|||ATELIER DE MODELAGE D'ARGILE ET D’ART PARIÉTAL
Atelier encadré par un animateur – durée 1h à partir de 4 ans
Fabriquez un mammouth, une Vénus ou laissez faire votre inspiration et repartez avec votre création.
L'atelier du vendredi
||| ATELIER DE FEU PARTICIPATIF
Atelier encadré par un animateur – durée 1h à partir de 6 ans
Découvrez et expérimentez les techniques d'allumage du feu par friction et par percussion.
OUVERTURE DU CYCLE DES CONFÉRENCES DE SAINT-CÉSAIRE
• CONFÉRENCE DU JEUDI 4 AVRIL À 19 H
Conférence gratuite, sur réservation, places limitées (05.46.97.90.90 et reservation@paleosite.fr), suivie d’un repas convivial à thème, 16€ par personne, accessible également sur réservation.
La soirée du jeudi 4 avril marquera l’ouverture du cycle de conférences scientifiques du Paléosite avec la projection du film de Pauline Coste, « Looking for Sapiens » en présence de la réalisatrice.
« Looking for Sapiens » explore les clichés que nous avons sur l’Homme préhistorique, issus du XIXème siècle, et interroge préhistoriens et passionnés sur ce qui pourrait être une vision plus juste de ces populations paléolithiques, sur la base des recherches scientifiques.
||| LES JOURNÉES NATIONALES DE L’ARCHÉOLOGIE AU PALÉOSITE DU 15 AU 16 JUIN - VENEZ À LA RENCONTRE DES MÉTIERS DE L’ARCHÉOLOGIE ET DE L’ÉQUIPE DE FOUILLEURS
Accès compris dans le billet d’entrée du site, sans réservation, tarif réduit du 14 au 16 juin à l'occasion des JNA (8€/ adulte au lieu de 10€ - 4.50 €/enfant au lieu de 6€-gratuit pour les - 6 ans.
• Du mercredi 14 au jeudi 16 juin
Visites guidées du site archéologique de la Roche à Pierrot depuis le Paléosite.
Vendredi 15 juin
À l’occasion des JNA 2019, venez découvrir le site archéologique de la Roche à Pierrot en cours de fouilles et rencontrer les archéologues sur le terrain.
Le Paléosite organise une ronde des métiers de l’archéologie en association avec les archéologues qui seront présents pour la campagne de fouilles archéologiques 2019 sur le site de la Roche à Pierrot. Vous découvrirez les différentes disciplines existantes en archéologie : les scientifiques parleront de leur formation, de leur métier et de leur spécialité (anthropologie, faune, géomorphologie, lithique, etc). Familles, passionnés, curieux, vous pourrez ainsi échanger directement avec les archéologues. Rencontres conviviales garanties, en accès libre.
Des courts-métrages sur « les gestes de la Préhistoire » seront également diffusés dans la salle de conférence pour l’occasion.
||| REPRISE DES FOUILLES ARCHÉOLOGIQUES DU 15 JUIN AU 21 JUILLET !
Le gisement de La Roche à Pierrot au Paléosite est un site archéologique mondialement connu : en 1979, celui-ci a livré les restes d'un squelette néandertalien surnommé Pierrette qui a bouleversé les acquis scientifiques de l'époque (puisqu'on s'est aperçu que Néandertaliens et Sapiens avaient cohabité). Les fouilles archéologiques de la Roche à Pierrot sont menées par Isabelle Crèvecœur, paléoanthropologue au CNRS - Centre national de la recherche scientifique - à l'Université de Bordeaux.
En 2019, les fouilles continuent et seront assurées par une équipe d’une vingtaine de fouilleurs sur une durée de 5 semaines. Comme chaque année depuis la reprise des fouilles en 2013, les archéologues échangent avec les visiteurs, expliquent leur métier, leurs recherches et leurs découvertes. Venez les rencontrer !
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| • Dans les années 90, une universitaire américaine Anna Baker a conduit des fouilles à la Roche à Pierrot. Sur l'une des photos, on reconnaît le propriétaire du site René Boucher, ancien maire de Saint-Césaire (© archives Nicole Bertin) |
||| CHAMPIONNAT EUROPÉEN DE TIR AUX ARMES PRÉHISTORIQUES
Samedi 22 et dimanche 23 juin - ouvert aux initiés comme aux débutants (prêt de matériel possible) Inscription sur paleosite.fr (formulaire) ou au 05.46.97.90.90 / reservation@paleosite.fr.
Départs pour les épreuves de tir à l'arc et tir au propulseur le samedi de 13h30 à 15h00 et le dimanche de 9h à 10h30.
Pour la quatorzième année consécutive, le Paléosite accueille une des manches de ce championnat (vingt-neuvième manche) comprenant deux épreuves : le tir à l’arc et le tir au propulseur.
Plus de 160 compétiteurs arpenteront la « brousse » de Saint-Césaire munis d’armes préhistoriques comme de vrais hommes du Paléolithique à la recherche de leur gibier !
Un vrai moment de convivialité qui se poursuit autour d’un repas (cochons de lait grillés à la broche) en compagnie de tous les compétiteurs le samedi soir.
• Le Paléosite est un espace muséographique et un centre d'interprétation de la Préhistoire situé dans la commune de Saint-Césaire, entre Saintes et Cognac - Téléphone : 05 46 97 90 90
Croix-Gente : « Que va devenir ce lieu ? » s'interrogent Jean-Yves et Danielle Citeau
« Croix-Gente : Ce qui s'y est vécu, pourquoi et comment...
Notre arrivée, suite à l'appel fait à la Communauté du Pain de Vie, par Monseigneur Pontier, alors évêque de notre diocèse, pour prendre la suite des Capucins, pour faire vivre ce lieu mis gracieusement à notre disposition, charge à nous de le réhabiliter. Le 9 juillet 1998, il a rédigé notre lettre de mission rappelant l'importance des initiatives à prendre pour que ceux qui vivent et passent en Charente-Maritime puissent découvrir Jésus-Christ d'une manière qui les rejoigne personnellement. Cette lettre insistait sur l'importance de ce lieu pour la vie de l'Eglise diocésaine dans le sud du diocèse. Importance à cause de ses pèlerinages, de la place symbolique de ce lieu pour ses habitants, des rencontres pastorales qui peuvent s'y vivre.
A la communauté qui s'installait, il était mis l'accent sur la place faite à l'eucharistie, source d'une vie vécue dans le don et l'abandon et gratuitement sur l'accueil des personnes en difficulté et la vie avec elles.
Les scissions internes de la Communauté du Pain de Vie ont amené le diocèse à considérer la communauté qui vivait à Croix-Gente comme une communauté diocésaine. Notre accueil était destiné à tous, hommes, femmes, croyants ou non croyants qui, après un essai de huit jours, décidaient, avec accord des responsables, de vivre la règle qui imposait des horaires précis pour les temps de repas, de travailler en fonction des capacités de chacun et un office de prière par jour selon leur choix. Durant vingt ans, des personnes en difficulté ont partagé notre vie, le temps qu'elles désiraient et, grâce à Dieu, ont retrouvé ou découvert la foi et se sont reconstruit. Nous vivions en grande partie de la providence et aussi d'une subvention du diocèse pour réaliser les travaux de réfection des différentes maisons et en premier de la chapelle. Tous ces travaux ont contribué à une vraie réinsertion pour nos frères et sœurs accueillis. Puis l'âge avançant, nous n'avons plus fait l'accueil initial. Etant membres de l'association PADF (Présence Auprès des Détenus et de leurs Familles) et de l'aumônerie Catholique du Centre de Détention de Bédenac, l'aumônier François Bouchet et nous-mêmes, avec l'autorisation du diocèse et après enquête et l'autorisation de la justice nous avons fait l'accueil de permissionnaires de la prison, dans une de nos maisons pour une somme modique afin que ce soit accessible à tous. Cette maison a fait l'unanimité auprès des bénéficiaires et nous a permis des rencontres appréciées de tous.
Tout ceci s'est terminé brutalement fin octobre 2018 suite à une réflexion d'un membre du Conseil Episcopal : N'ayez aucun scrupule, après tout le travail que vous avez effectué, si vous avez une opportunité, n'hésitez pas, partez ! La providence a fait qu'un ami nous a proposé la location de sa maison sans que nous ayons la moindre recherche à effectuer. Sachant qu'un jour, il aurait été nécessaire que nous partions, nous demandons au Seigneur d'apaiser notre peine chaque fois que nous retournons à Croix-Gente et, aussi, de permettre que nous trouvions pour Serge un lieu de vie qui lui convienne. Que va devenir ce lieu ? ».
Jean-Yves et Danielle
• Extrait du Thabor
Bulletin paroissial de Montendre avril 2019
Bulletin paroissial de Montendre avril 2019
Anniversaire de la mort de Michel Crépeau : « On ne gouverne un peuple que les pieds par terre et le cœur dans les étoiles ! »
Cette semaine, lors de la séance des questions au gouvernement, le député Olivier Falorni a rendu hommage à Michel Crépeau, ancien ministre, député et maire de La Rochelle, décédé il y a vingt ans dans l’hémicycle de l'Assemblée Nationale. L'anniversaire de sa disparition sera commémoré samedi 30 mars au cimetière Saint-Maurice à La Rochelle.
• Olivier Falorni : « Il y a tout juste vingt ans, ici, dans cet hémicycle, cœur battant de la République, le cœur d’un grand Républicain s’est brutalement arrêté de battre. C’était celui d’un député réputé, redouté, respecté. C’était celui d’un maire hors pair, tant il était visionnaire. C’était celui de Michel Crépeau.
Monsieur le ministre d’État, ministre de la transition énergétique et solidaire, vous occupez aujourd’hui le ministère dont il a eu la charge en 1981, car Michel Crépeau était bien sûr un radical, pétri d’humanisme, mais c’était en même temps un écologiste avant-gardiste.
Michel Crépeau, ce fut le maillot jaune du deux-roues, avec la création à La Rochelle des vélos en libre service, trente ans avant le Vélib’. Michel Crépeau, ce fut le pionnier du piétonnier, avec la création à La Rochelle du premier secteur piétonnier en France. Michel Crépeau, ce fut aussi la pédagogie de l’écologie, avec l’invention à La Rochelle de la journée sans voiture, journée aujourd’hui devenue mondiale.
« On ne gouverne un peuple que les pieds par terre et le cœur dans les étoiles ! » clamait-il à cette tribune. La terre, le cœur et les étoiles.
La terre qu’il n’a jamais cessé de vouloir protéger. Ce cœur généreux, qui s’est arrêté de battre ici, un sombre jour de mars 1999. Cette étoile, son étoile, qui n’a jamais cessé de briller dans le cœur de tant de gens.
La terre, le cœur, les étoiles, c’était Michel Crépeau, et je tenais ici et maintenant à le saluer avec respect, admiration, émotion et affection ».
L’émotion populaire qui a tant marqué son décès a montré combien il avait tissé un lien humain profond avec ses concitoyens. En tant que maire. En tant que député. En tant qu’homme.
À l’occasion du vingtième anniversaire de sa disparition, l’association « Les amis de Michel Crépeau » vous propose de les retrouver afin de lui rendre hommage le samedi 30 mars à 10 h au cimetière Saint-Maurice où il repose. Des fleurs seront disponibles afin de les déposer sur sa tombe.
Pour rappel, le petit cimetière Saint-Maurice, parfois méconnu (à ne pas confondre avec le cimetière de La Rossignolette) est situé derrière La Passerelle (la mairie de proximité de Mireuil) et il est possible de se stationner sur le parking rue de Quatrefages.
En espérant vous compter à nos côtés pour ce moment d’hommage et de recueillement,
Avec toute notre amitié.
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| Michel Crépeau à la Rochelle avec la journaliste Christine Ocrent, Xavier de Roux et le préfet Gillard (© archives Nicole Bertin) |
Monsieur le ministre d’État, ministre de la transition énergétique et solidaire, vous occupez aujourd’hui le ministère dont il a eu la charge en 1981, car Michel Crépeau était bien sûr un radical, pétri d’humanisme, mais c’était en même temps un écologiste avant-gardiste.
Michel Crépeau, ce fut le maillot jaune du deux-roues, avec la création à La Rochelle des vélos en libre service, trente ans avant le Vélib’. Michel Crépeau, ce fut le pionnier du piétonnier, avec la création à La Rochelle du premier secteur piétonnier en France. Michel Crépeau, ce fut aussi la pédagogie de l’écologie, avec l’invention à La Rochelle de la journée sans voiture, journée aujourd’hui devenue mondiale.
« On ne gouverne un peuple que les pieds par terre et le cœur dans les étoiles ! » clamait-il à cette tribune. La terre, le cœur et les étoiles.
La terre qu’il n’a jamais cessé de vouloir protéger. Ce cœur généreux, qui s’est arrêté de battre ici, un sombre jour de mars 1999. Cette étoile, son étoile, qui n’a jamais cessé de briller dans le cœur de tant de gens.
La terre, le cœur, les étoiles, c’était Michel Crépeau, et je tenais ici et maintenant à le saluer avec respect, admiration, émotion et affection ».
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| Michel Crépeau (© archives Nicole Bertin) • Les amis de Michel Crépeau se souviennent |
À l’occasion du vingtième anniversaire de sa disparition, l’association « Les amis de Michel Crépeau » vous propose de les retrouver afin de lui rendre hommage le samedi 30 mars à 10 h au cimetière Saint-Maurice où il repose. Des fleurs seront disponibles afin de les déposer sur sa tombe.
Pour rappel, le petit cimetière Saint-Maurice, parfois méconnu (à ne pas confondre avec le cimetière de La Rossignolette) est situé derrière La Passerelle (la mairie de proximité de Mireuil) et il est possible de se stationner sur le parking rue de Quatrefages.
En espérant vous compter à nos côtés pour ce moment d’hommage et de recueillement,
Avec toute notre amitié.
Colette Chaigneau
Présidente de l’association « Les amis de Michel Crépeau »
Ancienne députée de la Charente-Maritime (La Rochelle-Ré)
Olivier Falorni
Président d’honneur de l’association « Les amis de Michel Crépeau »
Député de la Charente-Maritime (La Rochelle-Ré)
mercredi 27 mars 2019
Saintes/Cathédrale Saint-Pierre : la grande oubliée ?
Dans une lettre ouverte, l'association ACMSantonum, que préside Jean-Michel Méchain, attire l'attention de la mairie de Saintes sur l'état de la cathédrale Saint-Pierre. En effet, ce monument devrait faire l'objet de travaux nécessaires...
Jonzac : Roger Lenglet, parrain de l'assemblée du comité Saintes-Jonzac de la Légion d'Honneur
L’organisation de l'assemblée annuelle est confiée, à tour de rôle, à l’un des cinq comités qui constituent la section (La Rochelle-Ré, Royan, Rochefort, St Jean d’Angély et Saintes-Jonzac). En 2019, c’était au tour du comité de Saintes-Jonzac d’assurer cette mission. Le choix s’est porté sur Jonzac où les participants ont été accueillis par le maire Claude Belot, et le premier adjoint Christophe Cabri au théâtre du château. Petit écrin, tout de rouge habillé, couleur de la Légion d’Honneur !
Cette rencontre, qui avait réuni 80 personnes environ, a connu des temps forts. La séance a été ouverte par le président de la section, l’ambassadeur Francis Lott, qui a demandé une minute de silence en mémoire des disparus depuis l’assemblée précédente. Henri Weill, vice-président national, rédacteur en chef du trimestriel de la SMLH « la Cohorte », a insisté sur l’importance des sections et comités qui « sont » la SMLH et la font vivre concrètement. Sa participation se voulait un témoignage fort de l’intérêt du siège pour la vie locale.
Le parrain 2019 de l'assemblée était Roger Lenglet, désigné sur proposition du comité de Saintes-Jonzac. Alain Philippe, président du comité de Saintes-Jonzac, l'a présenté : homme aux qualités humaines et personnelles remarquables ; implication sans faille dans la vie de la SMLH ; carrière militaire exemplaire au service de la Nation.
Roger Lenglet a souhaité associer, à l’honneur qui lui était rendu, la grande fratrie des pilotes et mécaniciens, son père et ses frères. Il a rappelé la recommandation de son père, lorsqu’il est parti à l’armée : « la loyauté fait la force ! ». Renée était, bien sûr, présente, ainsi que leur fille Christine (médecin général inspecteur, équivalent de général 3 étoiles/officier de la LH) et de leur gendre Guy (médecin en chef, équivalent de colonel/chevalier de la LH), ces deux derniers étant également membres du comité de Saintes-Jonzac.
Les responsables du bureau de section sont intervenus dans le cadre des traditionnels rapports moral et financier, ainsi que du bilan d’activités : Erik Rondeau (secrétaire) : rapport moral (effectifs, données statistiques et bilan d’activités) ; Annie Le Nouën (2ème vice-présidente) : solidarité ; François Jaunay (3ème vice-président) : éléments de communication ; Philippe Marion (trésorier) : rapport financier. Tous ces rapports ont été adoptés à l’unanimité.
En tant qu’organisateur, Alain Philippe a tenu à associer son bureau à la réussite de la manifestation et mentionné quelques actions notables du comité. En 4 ans, le comité a été récompensé trois fois par le siège national dans le cadre de la démarche « Honneur en Action » : lauréat en 2014, pour le reboisement de la vallée de Marbial en Haïti, en appui de l’Association humanitaire ELISA ; lauréat en 2015, pour la mise en place du Prix d’Excellence de la Légion d’Honneur avec le Centre des Apprentis de St-Germain-de-Lusignan (le 4ème Prix sera remis le 8 avril 2019) ; label en 2017 : édition d’un ouvrage « mémorial de la Légion d’Honneur à Courcoury », consacré aux habitants de cette commune saintongeaise (700 habitants) qui ont été décorés de l'Ordre ; le comité participe à la démarche « un Avenir ensemble » : parrainage d’un lycéen (bon élève/milieu défavorisé) pour l’accompagner jusqu’à sa vie professionnelle.
Il a laissé Thérèse Montois, elle-même marraine, présenter cette action dans le détail. Son filleul, actuellement en Hongrie dans le cadre de son cursus universitaire (Erasmus), a tenu à témoigner, via une vidéo enregistrée, pour évoquer son parcours et l’aide importante apportée par sa marraine dans la réussite de ses études.
La conclusion a été faite par le préfet de Charente-Maritime, Fabrice Rigoulet-Roze, qui a rappelé son attachement fort avec la SMLH 17.
L’ensemble des participants s’est ensuite déplacé vers le monument aux morts pour une cérémonie des couleurs, suivie d’un dépôt de gerbe et d’une Marseillaise chantée a cappella.
La mairie de Jonzac a offert un verre de l’amitié, dans la salle des mariages, avant que les participants ne participent, dans la salle des fêtes, au déjeuner concocté par le chef Philippe Guillaud (restaurant l’Amaryllis à Courcoury).
• Pendant la réunion, les accompagnants ont visité la Maison de l’Energie et la ville.
Cette rencontre, qui avait réuni 80 personnes environ, a connu des temps forts. La séance a été ouverte par le président de la section, l’ambassadeur Francis Lott, qui a demandé une minute de silence en mémoire des disparus depuis l’assemblée précédente. Henri Weill, vice-président national, rédacteur en chef du trimestriel de la SMLH « la Cohorte », a insisté sur l’importance des sections et comités qui « sont » la SMLH et la font vivre concrètement. Sa participation se voulait un témoignage fort de l’intérêt du siège pour la vie locale.
Le parrain 2019 de l'assemblée était Roger Lenglet, désigné sur proposition du comité de Saintes-Jonzac. Alain Philippe, président du comité de Saintes-Jonzac, l'a présenté : homme aux qualités humaines et personnelles remarquables ; implication sans faille dans la vie de la SMLH ; carrière militaire exemplaire au service de la Nation.
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| Réunion au Théâtre du Château |
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| Roger Lenglet et son épouse |
En tant qu’organisateur, Alain Philippe a tenu à associer son bureau à la réussite de la manifestation et mentionné quelques actions notables du comité. En 4 ans, le comité a été récompensé trois fois par le siège national dans le cadre de la démarche « Honneur en Action » : lauréat en 2014, pour le reboisement de la vallée de Marbial en Haïti, en appui de l’Association humanitaire ELISA ; lauréat en 2015, pour la mise en place du Prix d’Excellence de la Légion d’Honneur avec le Centre des Apprentis de St-Germain-de-Lusignan (le 4ème Prix sera remis le 8 avril 2019) ; label en 2017 : édition d’un ouvrage « mémorial de la Légion d’Honneur à Courcoury », consacré aux habitants de cette commune saintongeaise (700 habitants) qui ont été décorés de l'Ordre ; le comité participe à la démarche « un Avenir ensemble » : parrainage d’un lycéen (bon élève/milieu défavorisé) pour l’accompagner jusqu’à sa vie professionnelle.
Il a laissé Thérèse Montois, elle-même marraine, présenter cette action dans le détail. Son filleul, actuellement en Hongrie dans le cadre de son cursus universitaire (Erasmus), a tenu à témoigner, via une vidéo enregistrée, pour évoquer son parcours et l’aide importante apportée par sa marraine dans la réussite de ses études.
La conclusion a été faite par le préfet de Charente-Maritime, Fabrice Rigoulet-Roze, qui a rappelé son attachement fort avec la SMLH 17.
L’ensemble des participants s’est ensuite déplacé vers le monument aux morts pour une cérémonie des couleurs, suivie d’un dépôt de gerbe et d’une Marseillaise chantée a cappella.
La mairie de Jonzac a offert un verre de l’amitié, dans la salle des mariages, avant que les participants ne participent, dans la salle des fêtes, au déjeuner concocté par le chef Philippe Guillaud (restaurant l’Amaryllis à Courcoury).
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| Le verre de l'amitié dans la salle des mariages |
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| Remise de médailles au Préfet et à Christophe Cabri, premier adjoint |
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| M. Lenglet à l'honneur |
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| Alain Philippe aux côtés de M. et Mme Lenglet |
Donner le nom de Philippe Marchand au centre hospitalier de Saintes : une idée d'Alain Philippe
Alain Philippe, président du comité Saintes-Jonzac de la Société des
membres de la Légion d’honneur (SMLH) suggère l'idée de donner le nom de Philippe Marchand au CH de Saintes. Il argumente sa proposition :
« Comme vous le savez sans doute, Philippe Marchand, ancien Ministre, était Officier de le Légion d'Honneur et membre du comité de Saintes-Jonzac de la SMLH.
Un groupe de ses amis et de personnalités a souhaité que le nom de Philippe Marchand soit associé à celui du Centre Hospitalier de Saintonge, pour lequel il s'est investi sans compter. A cet effet, une sollicitation formelle a été adressée au Président du Conseil de Surveillance de cet établissement. Philippe Marchand a été avocat au barreau de Saintes, conseiller municipal de Saintes, conseiller général et président du Conseil Général de la Charente-Maritime, conseiller régional de Poitou-Charentes, député, vice-président de l'Assemblée Nationale, Ministre délégué aux Collectivités Locales, ministre de l'Intérieur, conseiller d'Etat. Il a présidé, par délégation du maire, le Conseil d'Administration du Centre Hospitalier de Saintes de 1997 à 2001.
Il s'est toujours beaucoup investi sur tous les dossiers concernant le Centre Hospitalier afin que l'hôpital soit doté des meilleurs équipements, à la disposition du corps médical, en vue d'une offre de soins de qualité. Il a su, en outre, faciliter le dialogue social en entretenant des relations de confiance avec l'ensemble du personnel, médical et non médical.
Dès le lancement du projet de construction d'un nouvel hôpital, il s'est totalement investi pour que le dossier progresse dans les meilleures conditions. Au-delà de son mandat, il a continué à œuvrer, en appuyant l'action de la nouvelle présidente du Conseil d'Administration, Bernadette Schmitt. C'est ainsi que l'établissement a reçu une subvention de l'Etat pour la création de l'hospitalisation psychiatrique.
Au mois de février dernier, un courrier formalisant notre demande a été remis à Jean-Philippe Machon, Président du Conseil de Surveillance et Maire de Saintes.
Aujourd'hui, le vice-président de ce Conseil de Surveillance a été chargé de recueillir des courriers de soutien à la proposition d'accoler le nom de Philippe Marchand à l'appellation "Centre Hospitalier de Saintonge" ».
• Contact : Alain Philippe Courcoury 05 46 94 40 31
« Comme vous le savez sans doute, Philippe Marchand, ancien Ministre, était Officier de le Légion d'Honneur et membre du comité de Saintes-Jonzac de la SMLH.
Un groupe de ses amis et de personnalités a souhaité que le nom de Philippe Marchand soit associé à celui du Centre Hospitalier de Saintonge, pour lequel il s'est investi sans compter. A cet effet, une sollicitation formelle a été adressée au Président du Conseil de Surveillance de cet établissement. Philippe Marchand a été avocat au barreau de Saintes, conseiller municipal de Saintes, conseiller général et président du Conseil Général de la Charente-Maritime, conseiller régional de Poitou-Charentes, député, vice-président de l'Assemblée Nationale, Ministre délégué aux Collectivités Locales, ministre de l'Intérieur, conseiller d'Etat. Il a présidé, par délégation du maire, le Conseil d'Administration du Centre Hospitalier de Saintes de 1997 à 2001.
Il s'est toujours beaucoup investi sur tous les dossiers concernant le Centre Hospitalier afin que l'hôpital soit doté des meilleurs équipements, à la disposition du corps médical, en vue d'une offre de soins de qualité. Il a su, en outre, faciliter le dialogue social en entretenant des relations de confiance avec l'ensemble du personnel, médical et non médical.
Dès le lancement du projet de construction d'un nouvel hôpital, il s'est totalement investi pour que le dossier progresse dans les meilleures conditions. Au-delà de son mandat, il a continué à œuvrer, en appuyant l'action de la nouvelle présidente du Conseil d'Administration, Bernadette Schmitt. C'est ainsi que l'établissement a reçu une subvention de l'Etat pour la création de l'hospitalisation psychiatrique.
Au mois de février dernier, un courrier formalisant notre demande a été remis à Jean-Philippe Machon, Président du Conseil de Surveillance et Maire de Saintes.
Aujourd'hui, le vice-président de ce Conseil de Surveillance a été chargé de recueillir des courriers de soutien à la proposition d'accoler le nom de Philippe Marchand à l'appellation "Centre Hospitalier de Saintonge" ».
• Contact : Alain Philippe Courcoury 05 46 94 40 31
Château de Panloy : chasse aux œufs et soirées hantées...
Le Château de Panloy ouvre ses portes le 2 avril après la trêve hivernale habituelle. Le printemps amène avec lui son lot d'animations !
• Chasse au œufs au Château de Panloy les 19 - 20 - 21 et 22 avril :
Venez fêter Pâques au Château de Panloy ! Comme chaque année, Panloy organise une grande chasse aux trésors animée par des personnages en costume et les animaux du domaine dans les différents espaces du site, en intérieur et en extérieur selon la météo. Chaque enfant repartira avec son lot de chocolat. Entre deux aventures, faites une pause aux ateliers créatifs. Un goûter de Pâques récompensera ensuite tous les participants La chasse aux trésors est accessibles aux enfants à partir de 4 ans. A partir de 14h. Les enfants doivent être accompagnés d'un adulte Adulte (à partir de 15 ans) : 7€ Enfant (de 4 à 14 ans inclus) : 9€ Réservation obligatoire : http://panloy.com/chasseauxoeufs/ Informations : contact@panloy.com
• Soirées hantées les 20 et 21 avril :
Le soir venu, les fantômes du Château reviennent à la vie et hantent les couloirs de la vieille demeure. En déambulant dans l’obscurité des couloirs du château, vous aurez pour mission de reconstituer la généalogie de la famille, en partant à la rencontre de personnages étranges, drôles, effrayants, qui vous conteront, s’ils le veulent bien, leur vie passée. Aurez-vous le courage de venir découvrir Panloy la nuit ? Un cocktail convivial vous permettra de vous remettre ensuite de vos émotions. Pour les Soirées Hantées, vous entrez dans le château par groupe d'une vingtaine de personnes.
La réservation est obligatoire ici : http://panloy.com/soireeshantees/
Renseignements : contact@panloy.com /!\
Les enfants peuvent être impressionnés, nous déconseillons fortement les Soirées Hantées pour les moins de 7 ans /!\ Adultes : 15€ Enfants (0 à 12 ans) : 12€
• Chasse au œufs au Château de Panloy les 19 - 20 - 21 et 22 avril :
Venez fêter Pâques au Château de Panloy ! Comme chaque année, Panloy organise une grande chasse aux trésors animée par des personnages en costume et les animaux du domaine dans les différents espaces du site, en intérieur et en extérieur selon la météo. Chaque enfant repartira avec son lot de chocolat. Entre deux aventures, faites une pause aux ateliers créatifs. Un goûter de Pâques récompensera ensuite tous les participants La chasse aux trésors est accessibles aux enfants à partir de 4 ans. A partir de 14h. Les enfants doivent être accompagnés d'un adulte Adulte (à partir de 15 ans) : 7€ Enfant (de 4 à 14 ans inclus) : 9€ Réservation obligatoire : http://panloy.com/chasseauxoeufs/ Informations : contact@panloy.com
• Soirées hantées les 20 et 21 avril :
Le soir venu, les fantômes du Château reviennent à la vie et hantent les couloirs de la vieille demeure. En déambulant dans l’obscurité des couloirs du château, vous aurez pour mission de reconstituer la généalogie de la famille, en partant à la rencontre de personnages étranges, drôles, effrayants, qui vous conteront, s’ils le veulent bien, leur vie passée. Aurez-vous le courage de venir découvrir Panloy la nuit ? Un cocktail convivial vous permettra de vous remettre ensuite de vos émotions. Pour les Soirées Hantées, vous entrez dans le château par groupe d'une vingtaine de personnes.
La réservation est obligatoire ici : http://panloy.com/soireeshantees/
Renseignements : contact@panloy.com /!\
Les enfants peuvent être impressionnés, nous déconseillons fortement les Soirées Hantées pour les moins de 7 ans /!\ Adultes : 15€ Enfants (0 à 12 ans) : 12€
Saintes : faire parler les vestiges archéologiques tout en découvrant l'histoire de Mediolanum...
Parmi les rencontres culturelles de l'association Médiactions, la conférence du 26 avril offrira un autre concept. En effet, c'est le public, au regard d'une image, qui interviendra. Les participants s'interrogeront ensemble sur la provenance d'un fragment lapidaire ou sur la symbolique d'une statue. Certains raconteront comment et où la pierre a été trouvée. L'objectif est de réunir un collectif culturel ! Le 26 avril devrait être une soirée exceptionnelle, permettant de comprendre la réalité et la richesse de la collection lapidaire de Saintes exposée autrefois au musée place Bassompierre. Venez nombreux !
• Vendredi 26 avril à 18 h 30 salle Saintonge 5. Entrée libre, participation au chapeau. Rencontre et animation interactive : « Saintes, cité romaine - Les trésors cachés de la collection lapidaire ». Culte impérial, éléments religieux, monuments et habitats urbains : provenances et significations ? Débat collectif autour des photographies des pièces importantes de la collection lapidaire. De façon vivante et interactive, avec intervention de l’ensemble du public.
• Dimanche 19 mai de 10 h à 16 h. Balade romane : « De l’Abbaye-aux-Dames au prieuré Saint-
Eutrope ». Panier déjeuner au jardin Chapsal. Rendez-vous sur le grand parking de l’Abbaye-aux-Dames à 10 heures. Balade gratuite, sur inscription préalable : tel 06 82 50 86 46 ou par mail : mediactions@laposte.net. Possibilité de rejoindre le groupe sur l’un des trois rendez-vous.
Balade co-animée par Alain Michaud, historien, Cécile Trébuche, guide conférencière, Guy Puyastier, guide accompagnateur (sous réserve pour la visite des clochers. Tarif dégressif pour un tour de carrousel en option)
- 10 h /Abbaye-aux-Dames : histoire et iconographie. Programme de protection du clocher. 2h/Qui est Fernand-Chapsal ? Panier déjeuner au jardin (sous réserve du temps).
- 14h30/ Prieuré Saint-Eutrope, histoire et architecture. Des nouvelles du Programme Collectif de Recherches. Alternance des groupes entre le clocher et la présentation. Débat : « Saint-Eutrope, étape sur les chemins de Saint- Jacques de Compostelle ».
• Samedi 8 juin à 19 heures, salle Saintonge 5. Conférence débat : « Liberté chérie » « Des symboles de la République à la colonne de Saintes, de l’arbre de la liberté à l’arbre urbain ». Comment préserver et valoriser la colonne de la place Blair ? Animée par Harry Duverger, auteur, Cécile Trébuchet, guide conférencière. Entrée libre - participation au chapeau.
• Samedi 6 juillet : Balade gothique « Racontez-moi ma Cathédrale » de 10 h à
12 h, suivie d’un panier apéro au jardin Chapsal (jardin public). Rendez-vous à 10 h devant la sous-préfecture.
La Cathédrale Saint-Pierre et le quartier épiscopal : les prévisions des restaurations et des mises en protection (visite du cloître sous réserve). Animée par Alain Michaud, historien, Cécile Trébuchet, guide conférencière, Guy Puyastier , guide accompagnateur. Balade gratuite, sur inscription préalable. Tel : 06 82 50 86 46 ou par mail / mediactions@laposte.net
• Septembre , date en attente sur l'Hermione : Conférence- débat. « L’Hermione : l’exemple de réussite du patrimoine à la mise en tourisme »
• En Juin et septembre, apéro-débat autour de l’actualité patrimoniale de Saintes. Soirées réservées aux adhérents. Sur inscription préalable (10 € env)
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| Souhaitez-vous connaître l'histoire de ces colonnes qui devaient orner un temple de Mediolanum ? Mediactions vous propose d'éclairer le passé gallo-romain de Saintes par une réflexion commune... |
• Vendredi 26 avril à 18 h 30 salle Saintonge 5. Entrée libre, participation au chapeau. Rencontre et animation interactive : « Saintes, cité romaine - Les trésors cachés de la collection lapidaire ». Culte impérial, éléments religieux, monuments et habitats urbains : provenances et significations ? Débat collectif autour des photographies des pièces importantes de la collection lapidaire. De façon vivante et interactive, avec intervention de l’ensemble du public.
• Dimanche 19 mai de 10 h à 16 h. Balade romane : « De l’Abbaye-aux-Dames au prieuré Saint-
Eutrope ». Panier déjeuner au jardin Chapsal. Rendez-vous sur le grand parking de l’Abbaye-aux-Dames à 10 heures. Balade gratuite, sur inscription préalable : tel 06 82 50 86 46 ou par mail : mediactions@laposte.net. Possibilité de rejoindre le groupe sur l’un des trois rendez-vous.
Balade co-animée par Alain Michaud, historien, Cécile Trébuche, guide conférencière, Guy Puyastier, guide accompagnateur (sous réserve pour la visite des clochers. Tarif dégressif pour un tour de carrousel en option)
- 10 h /Abbaye-aux-Dames : histoire et iconographie. Programme de protection du clocher. 2h/Qui est Fernand-Chapsal ? Panier déjeuner au jardin (sous réserve du temps).
- 14h30/ Prieuré Saint-Eutrope, histoire et architecture. Des nouvelles du Programme Collectif de Recherches. Alternance des groupes entre le clocher et la présentation. Débat : « Saint-Eutrope, étape sur les chemins de Saint- Jacques de Compostelle ».
• Samedi 8 juin à 19 heures, salle Saintonge 5. Conférence débat : « Liberté chérie » « Des symboles de la République à la colonne de Saintes, de l’arbre de la liberté à l’arbre urbain ». Comment préserver et valoriser la colonne de la place Blair ? Animée par Harry Duverger, auteur, Cécile Trébuchet, guide conférencière. Entrée libre - participation au chapeau.
• Samedi 6 juillet : Balade gothique « Racontez-moi ma Cathédrale » de 10 h à
12 h, suivie d’un panier apéro au jardin Chapsal (jardin public). Rendez-vous à 10 h devant la sous-préfecture.
La Cathédrale Saint-Pierre et le quartier épiscopal : les prévisions des restaurations et des mises en protection (visite du cloître sous réserve). Animée par Alain Michaud, historien, Cécile Trébuchet, guide conférencière, Guy Puyastier , guide accompagnateur. Balade gratuite, sur inscription préalable. Tel : 06 82 50 86 46 ou par mail / mediactions@laposte.net
• Septembre , date en attente sur l'Hermione : Conférence- débat. « L’Hermione : l’exemple de réussite du patrimoine à la mise en tourisme »
• En Juin et septembre, apéro-débat autour de l’actualité patrimoniale de Saintes. Soirées réservées aux adhérents. Sur inscription préalable (10 € env)
mardi 26 mars 2019
Thénac : Quand un Chef papou rencontre Françoise, la cheffe du salon du livre…
Sauver les forêts primaires de la déforestation
Vendredi à Thénac. Salle municipale pleine à craquer pour le salon du livre organisé par Françoise Souan et son équipe. Ce soir, elle accueille Mundiya Kepanga, chef de la tribu des Hulis en Papouasie Nouvelle-Guinée. Il est venu porter la parole des arbres de sa terre natale, victimes de la déforestation.
Quel est le point commun entre un chef de tribu de Papouasie Nouvelle-Guinée et des Européens ? L’un pourrait vivre tranquillement dans son environnement et les autres faire des marches pour le climat en s’inquiétant des bouleversements. Il est pourtant un sujet qui les réunit, celui de l’avenir de l’humanité que Mundiya Kepanga résume par une phrase lourde de sens : « la disparition des forêts primaires entraînera celle de hommes ». En effet, les forêts d’Amazonie, du Congo et de la Papouasie Nouvelle-Guinée contribuent grandement à l’oxygène que nous respirons…
Accueilli par François Souan, « la cheffe du salon du livre de Thénac », Mundiya Kepanga s’installe sur l’estrade aux côtés de son ami et traducteur, Marc Dozier. Devant lui, une salle archicomble intriguée par cet homme qu’ils ne croiseront pas tous les jours. « Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis » a écrit Antoine de Saint-Exupéry.
Pour une fois, « les Blancs ne sont pas pressés » : ils sont venus partager son histoire et écouter son témoignage. Coiffé d’une parure traditionnelle réalisée à partir de plumes d’oiseaux, peau de kangourou et végétaux, il est le représentant d’une culture bien éloignée de la nôtre. Celle où les hommes vivent en symbiose avec la nature. Ils la respectent et considèrent les vieux arbres, qui peuplent cet univers d’une éternelle beauté, comme des entités vivantes, grandissant avec eux, éléments de la Terre-Mère.
Alors que nous taillons les arbres parfois jusqu’aux moignons, ils les laissent s’élever vers le ciel. La nature offre à ces peuples la nourriture et les matériaux nécessaires à la construction des huttes. La forêt primaire n’est pas seulement leur berceau, elle est une cathédrale où vivent des espèces qu’on ne trouve nulle part ailleurs. Signe qui ne trompe pas, c’est là qu’évoluent les fameux oiseaux de paradis !
« On ne donne pas d’ordre au climat, ni à la nature »
C’est à l’occasion de la COP21 qu’il est venu à Paris pour la première fois. Il faisait partie de la délégation des chefs de Papouasie Nouvelle-Guinée invités à s’exprimer. Lutter contre le réchauffement climatique était bien sûr l’objectif ! Mundiya Kepanga, qui vit dans la région de Tari, ne pense pas comme pas les Occidentaux. Il est réaliste sur la situation et sait bien que le nuage de Tchernobyl ne s’est pas arrêté à la frontière française.
Certes, les hommes peuvent changer certaines habitudes, mais ils n’ont aucune influence sur le déroulement des événements : « On ne donne pas d’ordre au climat, ni à la nature. Dans mon village, on sait qu’on ne peut pas arrêter le cours du soleil ! Nous ne savons ni lire, ni écrire et la tradition se transmet oralement. Depuis le tout début, nous prenons soin des arbres qui sont les frères des hommes. Le jour où les arbres ne seront plus là, l’humanité disparaîtra avec eux ». Une belle sagesse loin de nos actualités !
Le film réalisé sur cette déforestation en Papouasie Nouvelle-Guinée est révélateur et surtout il montre à quel point les autochtones se font manipuler. Les sociétés créent des emplois et s’engagent à doter les régions déboisées de routes en bon état et d’hôpitaux. Or, on trouve le plus souvent des pistes rudimentaires et des dispensaires peu fournis. Pendant ce temps-là, le massacre végétal se poursuit, ce commerce enrichissant les investisseurs asiatiques en particulier. Pour en retrouver de cette taille, il faudra moult générations.
« Dans ma tribu, on ne sait pas faire de films » avoue Mundiya, c’est pourquoi l’aide de Marc Dozier a été précieuse : « Je n’avais pas l’intention de participer à la COP 22. Nous avons alors choisi de montrer ce qui se passait sur le terrain ». Pour en faire la promotion, il n’hésite pas se déplacer ! Le message du film étant la préservation de l’environnement, il s’est rendu en Europe à plusieurs occasions (conférences, écoles). Ambassadeur d’un peuple qui tire la sonnette d’alarme, il a rencontré plusieurs personnalités dont des responsables de l’Unesco et Gérard Larcher, président du Sénat. Conscient de la transmission, il a confié sa plus belle coiffe papou au musée du quai Branrly à Paris en 2016. Par ailleurs, il a participé à plusieurs livres et documentaires.
Les questions de la salle
L’échange a été fourni et souvent amusant, les façons de penser étant bien différentes.
- Comment devient-on chef ? « Je suis un petit chef ! Les chefs sont choisis en fonction de ce qu’ils apportent et des conseils qu’ils prodiguent à la communauté. Lorsqu’il y a des conflits par exemple, les chefs se rassemblent pour trouver des solutions ».
- D’où viennent les sociétés qui participent à la déforestation ? « Pour nous, il y a les Blancs et les Noirs. Les Indonésiens et les Chinois sont impliqués. Les arbres de la forêt primaire sont des monuments et c’est pourquoi nous les respectons. On dit que les personnes qui plantent des arbres vivent plus longtemps que les autres ».
- Est-il plus simple de parler à un arbre qu’à un humain ? « Je ne sais pas. Pour nous, les arbres ont précédé l’apparition des hommes, sauf deux espèces dont les branches cassent plus facilement ! Nous vivons sur la même planète et personnellement, je parle à mon arbre de naissance. On peut se dire des choses ». Cette intimité n’empêche pas ce chef papou d’aller à la rencontre du public et de le taquiner, ce qu’il a fait à Thénac.
- Qu’avez-vous éprouvé en arrivant en France ? « En 2003, j’étais impressionné, la tour Eiffel, les voitures, les gens qui marchent à toute vitesse. Maintenant, je me suis habitué et puis j’ai assisté à un spectacle au Moulin Rouge. Je suis même devenu ami avec des danseuses du Lido que j’ai invitées dans mon village. L'objectif était de participer ensemble au plus grand festival tribal du pays, le Hagen Show ».
- L’influence des hommes blancs est-elle positive ou négative ? « Les Blancs apportent un savoir-faire, des infrastructures utiles comme les écoles, les hôpitaux ainsi que des médicaments qui s’ajoutent à notre pharmacopée. Toutefois, comme je le disais, les sociétés ne respectent pas forcément leurs engagements envers les populations. De plus, il y a de la corruption »
- Quels sont les rapports des tribus avec le Gouvernement ? « Officiellement, il nous soutient. Officieusement, je ne sais pas ».
- Les choses ont-elles changé depuis la diffusion du film ? « Apparemment oui puisque le Gouvernement s’est rendu compte de l’impact de la déforestation et de nombreuses concessions n’ont pas été renouvelées ».
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| Marc Dozier et Mundiya |
• Elever des papillons : une façon de vivre autrement avec des fermes à papillons (magnifiques en Papouasie Nouvelle-Guinée). Cette opportunité peut permettre de gagner leur vie aux habitants sans avoir à sacrifier les arbres…
• L’appel de Mundiya aux aînés : « Vous pouvez raconter le monde d’hier et d’aujourd’hui aux jeunes générations, partager le fruit de vos expériences »
• Les femmes dans la tribu des Hulis : Large sujet que celui de la position des femmes dans la société, Mundiya ayant été intrigué par Françoise Souan, la femme cheffe du salon du livre de Thénac ! Evidemment, les femmes papous n’ont pas connu le MLF. Ainsi va la tradition. Certains spectateurs ont été surpris de ne pas apercevoir de femmes dans son film. Mundiya s’est expliqué : « j’ignorais qu’elles étaient aussi importantes chez vous ! » plaisante-t-il. Et d’ajouter : « Dans ma tribu, elles ne vont pas en forêt parce que c’est dangereux et elles n’ont pas accès à la maison des hommes, là où ils se réunissent ». Les papous sont d’ailleurs polygames « et cela ne crée pas de problèmes ». La situation évolue, mais pourquoi vouloir tout uniformiser en s’inspirant des coutumes occidentales ?
• Chef papou originaire de la tribu des Hulis en Papouasie-Nouvelle-Guinée, Mundiya Kepanga est un enfant de la forêt, né sur le tapis de feuilles d’un ficus séculaire.
• Ardent défenseur de l’environnement, Mundiya Kepanga a été invité au Sénat. On l’a également vu aux côtés de l’acteur et activiste Robert Redford.
• Déforester sur de grandes surfaces peut faire disparaître des espèces propres aux zones concernées. Replanter des arbres ne fera pas revenir ces espèces disparues.
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| Des arbres très anciens victimes de la déforestation. |
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