Art roman et artistes : rendez-vous au Douhet, Corme Royal, Saint-Sauvant

Jusqu'au dimanche 20 novembre, le Syndicat Mixte du Pays de Saintonge Romane vous invite à venir découvrir la 1ère édition « Résonance : Art Roman / Art Contemporain ». Il s’agit de mettre en valeur et en réseau les églises romanes du territoire en leur donnant une vision d’artistes contemporains.

• Trois parcours permettent aux visiteurs de découvrir des églises romanes emblématiques en offrant une rencontre et une résonance entre œuvres contemporaines et architecture romane. Entrée libre.

→ 6 artistes contemporains aux univers différents offrent au public des œuvres originales et temporaires
→ Une découverte originale de 12 églises romanes
→ Un nouveau regard sur l’art roman
→ Des temps forts et conviviaux avec guides conférenciers et producteurs fermiers
→ Visite des trois parcours en accès libre

• 1er octobre au Douhet

• 8 octobre à Corme Royal

 • 15 octobre à Saint-Sauvant

Les artistes :
• Annie Brunetot, sculpteur et art géométrique
• Isabelle Dessaivre, mosaïste
• Benoit Hapiot, peintre graveur sculpteur
• Laurence Innocenti, peintre
• Anne Lesca, plasticienne
• Patrick Le Tuault, artiste peintre

Les parcours :
• Communauté de Communes Cœur de Saintonge : les églises romanes de Saint-Sulpice d’Arnoult, Sainte-Radegonde, Monthérault et Geay
• Communauté de Communes de Gémozac : les églises romanes de Villars-en-Pons, Thaims, Rétaud et Tesson
• Communauté d’Agglomération de Saintes : les églises romanes de Corme-Royal, La Clisse, Saint-Georges des Côteaux et Écurat

Rayonnements radioactifs : Jean-Marie Matagne, président d'ACDN, interpelle les ministres Ségolène Royal et Marisol Touraine

Jean-Marie Matagne, président de l'Action des Citoyens pour le désarmement nucléaire, s'adresse à Ségolène Royal, ministre de l’environnement, de l’énergie et de la mer, chargée des relations internationales sur le climat et Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé : « Honte à vous, Mesdames les ministres, si vous signez en l’état le décret n°2017 du 01/2017 relatif à la protection sanitaire contre les dangers résultant de l’exposition aux rayonnements ionisants et à la sécurité des sources de rayonnements ionisants contre les actes de malveillances ».
 
Ce décret, qui pour répondre à une demande européenne doit être pris en janvier 2017 par le Premier ministre, « sur le rapport de la ministre de l’environnement, de l’énergie et de la mer, en charge des relations internationales sur le climat », modifie le code de la santé publique. Gravement. Horriblement.
Sa longueur (84 pages), sa technicité, le rendent pratiquement illisible au commun des mortels. Pour y comprendre quelque chose, il faut au moins bénéficier des lumières de la CRIIRAD. En opacité, il ne le cède en rien à un certain projet de constitution européenne qui fut soumis naguère au peuple français et rejeté par lui. Sans doute mériterait-il de subir le même sort.
Car il édicte une flopée de normes auxquelles devront se soumettre les utilisateurs en tous genres du nucléaire, pour continuer à exercer joyeusement leur activité. Les plus sympathiques de ces normes visent à limiter - à défaut de le supprimer - l’impact maléfique du gaz radon dans certains bâtiments publics. Mais au-delà de ces mesures censées protéger la population, le cœur du décret se cache au chapitre 1er, Section 4, intitulée : « Gestion des situations d’urgence radiologique ». L’ignoreriez-vous, Mesdames ?

La catastrophe de Tchernobyl en Ukraine. La France compte de nombreuses centrales nucléaires. Quand on sait que celle du Blayais a échappé de justesse à une tragédie en décembre 1999 (victime d'un raz de marée), on peut se poser légitimement des questions...

Il tient en trois lignes : 
« Art. R. 1333-55. – I. – Pour l’application du principe d’optimisation prévu à l’article L. 1333-3, est fixé un niveau de référence à 100 mSv [milliSievert] en dose efficace reçue pendant la durée de la situation d’urgence radiologique, comprenant tout type d’exposition. » 
(Projet de décret, p. 24.) Admirons au passage la langue de bois.
Concrètement, les « situations d’urgence radiologique » dont il s’agit ici, ce sont les effets d’un accident majeur du type Tchernobyl ou Fukushima, survenu sur un ou plusieurs réacteurs nucléaires par suite d’une défaillance humaine ou matérielle, d’un événement naturel extrême, d’un attentat ou d’un « acte de malveillance ». Ou résultant d’une explosion atomique.
Ce décret nous prépare donc à la catastrophe. Comment ? En décrétant que la dose moyenne d’exposition aux radiations, jugée tolérable par l’administration pour une personne pendant les premières semaines de la « situation d’urgence », sera 100 fois plus élevée que la dose limite d’exposition annuelle (1mSv) tolérable en temps normal. Cent fois plus, rien que ça. Que les personnes exposées ne la tolèrent pas et qu’elles en crèvent, ce n’est pas le problème de l’administration.
On aurait pourtant cru, Mesdames, que c’était le problème d’une ministre de l’Environnement et d’une ministre de la Santé. Cherchez l’erreur.

Et ce n’est pas fini. Quand la situation ne sera plus « urgente » mais que des personnes continueront à être exposées à la contamination ou à l’irradiation, la « dose de référence » dont elles profiteront à leur corps défendant (dose qui n’a rien de limitatif, précise la CRIIRAD) restera 20 fois plus élevée que ne l’est actuellement la « dose limite » (impérative, elle).
En effet : 
Art. R. 1333-67. – Par application de l’article L. 1333-3, est fixé un niveau de référence à 20 mSv en dose efficace pour toute personne exposée à ces situations sur une année afin de définir la stratégie initiale de gestion des parcelles polluées.  (Projet de décret, p. 28)
Ainsi, les personnes qui auront eu le malheur de se trouver dans la zone initiale d’exposition et de subir 100 fois plus de rayonnements ionisants que n’en supporte un humain normalement constitué, pourront continuer, si elles se trouvent sur une « parcelle polluée », à en supporter 20 fois plus pendant un an (ensuite, ce sera laissé à l’appréciation des « responsables » locaux).
Evidemment, les « parcelles » en question ne sont pas prévisibles et n’ont d’autre limite que les frontières françaises qui, comme on sait, sont étanches à la radioactivité.
Mais comment expliquez-vous, Mesdames, que dans la fourchette proposée par la circulaire européenne : de 20 à 100 mSv en « situation d’urgence », puis de 1 à 20 mSv pendant l’année qui suit, la France choisisse la « dose de référence » maximale ?
Ce choix est criminel. Il condamne à vivre et à mourir en zone contaminée des millions de personnes. Si vous avez à coeur de défendre l’environnement et la santé, à supposer même qu’il faille accepter la perspective inacceptable d’une catastrophe nucléaire, c’est la norme la plus basse qu’il vous fallait choisir ».

Jean-Marie Matagne
, Président de l’Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire (ACDN)

Les rendez-vous de l'office de tourisme de Montendre : Rallye équestre, trophée moto-cross, point d'accueil des Bateleurs, Rail multisports Sérial Saintongeais

• A noter sur vos tablettes :

Le safran est bientôt en fleur, pensez à réserver votre découverte auprès de l'office de tourisme de Montendre. Gratuit. A partir de 7 octobre les vendredis et samedis à 16 h à Vanzac.

• Les Antilles de Jonzac rouvrent samedi 1er octobre, infos site internet.

• Sentiers des Arts : Regards hors saison sur les rives de la Gironde vous propose ce week-end au parc ornithologique de Terres d'oiseaux, commune de Braud-et-Saint-Louis, de 15 h à 17 h des ateliers d'écritures et dessins autour de l’œuvre "Les ailes de la Gironde" de Lo Delaunay. Renseignements : 05 57 32 88 80
Retrouvez tous les sites en accès libre : Sentiers des Arts de Vitrezay, Johan Sitz faiseur d'images. Djotof est en exposition au pôle nature de Vitrezay jusqu'au 30 octobre. Du lundi au vendredi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h. Le week-end de 10 h à 12 h et de 13 h à 18 h.

 Infos utiles pharmacie de garde : Le site ARS ne communique pas encore les pharmacies pour le mois d'octobre. Si besoin consulter le site ARS ou composer le 15.

Rendez-vous à Mortagne du 6 au 9 octobre

Du 6 au 9 octobre prochain, Mortagne vibre à l'heure des Sentiers des Arts, lors d'un long weekend d'échanges et de partages autour de l'Art. 

L'inauguration de "l'Art est dans le Pré" aura lieu jeudi 6 octobre à 19 heures, quai des Sabliers sur le port de Mortagne. Partage d'un moment de convivialité autour d'une "sculpture-apéro" de l'artiste Denis Tricot. Les papilles ne seront pas en reste avec la découverte des saveurs de l'agneau bio de l'estuaire.
Pendant quatre jours, le "Space Auditorium" attend le public sur le quai, point de rencontre pour des ateliers et animations créés pour l'occasion, mais surtout écrin futuriste d'une exposition étonnante offrant une sélection d’œuvres de deux artistes de talent : Philippe Robert et Claude Thiéfine qui nous font l'honneur d'accompagner ce weekend insolite. Les Grands Livres nous font également le plaisir d'être parmi nous.
Cette opération est organisée par les Associations de Mortagne, l'Office du Tourisme et la mairie de Mortagne sur Gironde.

Poésie à l'Abbaye de Trizay

Un moment de poésie à l'Abbaye de Trizay avec "Les passeurs du temps" de l'artiste Sophie Zina-O...

L'abbaye de Trizay organise un beau moment de poésie avec « Les passeurs du temps », interprété par Sophie Zina-O, sculpteur et conteur : « Pièce de théâtre, temps philosophique et spirituel. Voyage conté, offrant une fragrance de la Terre, la musique de l’eau, le balancier du Temps, la Liberté des Mots, l’éternité du Souffle et la lumière de l’Autre ».

• Samedi 8 octobre à 18 heures à l’Abbaye de Trizay ; à 17 h visite de l'exposition par l'artiste.

•  Tarif : 10 euros - gratuit pour les enfants jusqu’à 13 ans. Réservation obligatoire Abbaye de Trizay - Tel. : 05 46 82 34 25 tourisme.trizay@wanadoo.fr - www.abbayedetrizay17.fr

Mirambeau : Michel Rigou nous a quittés

Les obsèques de Michel Rigou, ancien maire de Mirambeau, seront célébrées samedi 1er octobre à 15 h en l'église de Mirambeau, commune dont il fut maire de 1989 à 1995. Radical de gauche à la grande époque de Michel Crépeau, Josy Moinet, Stéphane Bonduel et Pierre-Jean Daviaud, il occupa le siège de conseiller général de 1988 à 2008 et celui de sénateur de 1980 à 1989.
Originaire du Sud Saintonge, ce vétérinaire s'était lancé dans la politique avec le souci de développer tant son territoire que l'esprit d'équipe. Il a vu, entre autres, le renouveau du château de Mirambeau, édifice vendu par l'Armée qui connut plusieurs acquéreurs dont le Département, et surtout le développement de la communauté de communes de Haute Saintonge présidée par Claude Belot.
Avec le départ de Michel Rigou, c'est une génération qui s'en va, celle des Radicaux héritée d'Emile Combes…
Nous adressons nos sincères condoléances à sa famille.

Inauguration du pont de l'Ile de Ré. Lunettes noires, chevelure argentée, Michel Rigou est au centre de cette photo d'archives. A ses côtés, des disparus : Francis Bouygues, Xavier de Roux, maire de Chaniers, Michel Crépeau, maire de La Rochelle, et Jean Noël de Lipkowski, maire de Royan...

Octobre rose à Saintes : 3 cancers du sein sur 4 sont guéris... à condition d'être dépistés à temps

Sportez-vous bien à Saintes samedi 1er octobre : Rendez-vous place Bassompierre avec le Centre hospitalier de Saintonge et les associations

Les bienfaits du sport ou plus globalement de l'activité physique dans la prise en charge des cancers sont démontrés, tant avec un objectif de prévention qu'en soutien au cours de la maladie. C'est pourquoi dans le cadre d'Octobre Rose, mois international de sensibilisation et de lutte contre les cancers du sein, les professionnels du centre hospitalier de Saintonge en collaboration avec la CPAM de Charente-Maritime, et le soutien de nombreux partenaires institutionnels et associatifs, ont choisi de mettre cette thématique à l’honneur de la manifestation qu’ils organisent samedi 1er octobre.

Mercredi dernier, une présentation de la manifestation avait lieu au CH de Saintes en présence d'Henriette Nouzille, déléguée de l'Assurance Maladie, Jean-Luc Gensac, cadre référent d'Octobre rose et Thérèse Auguin, cadre de santé. L'opération Octobre rose est symbolisée par un petit ruban apposé sur le revers de la veste. Ce "signe" témoigne de la solidarité que chacun d'entre nous porte aux femmes qui ont eu un jour à souffrir (ou souffriront) du cancer du sein. Un choc quand la tumeur est révélée par la mammographie (d'où la nécessité de faire un dépistage régulier), puis les analyses, la prise en charge médicale et le traitement, forcément contraignant. Il s'agit d'une épreuve douloureuse, c'est pourquoi les équipes médicales sont particulièrement attentives, l'aspect psychologique de la patiente étant pris en compte. Aider à faire face parce que ce parcours du combattant n'arrive pas qu'aux autres...

Jean-Luc Gensac, Henriette Nouzille, Thérèse Auguin. Ce tee-shirt rose sera offert aux 300 premiers inscrits aux randonnées du 1er octobre prochain

Mobilisé, le CH de Saintonge propose samedi prochain un grand rendez-vous baptisé "Sportez-vous bien", le sport ou plutôt l'activité physique ayant une importance tant pour le corps que pour le moral des malades. « Durant un an, le groupe a travaillé à élaborer cette journée de mobilisation où nous défendons des valeurs. Elles représentent le fil rouge » explique Jean-Luc Gensac. Les organisateurs espèrent une participation massive à cette rencontre basée sur la sensibilisation et le partage. Deux randonnées pédestres de 6 et 12 kilomètres auront lieu durant l'après-midi. Ce sera l'occasion d'être ensemble et d'échanger en parcourant la ville (avec passage au CH).
Sur la place Bassompierre, lieu de ralliement, des conseils seront donnés par professionnels et étudiants infirmiers aux personnes qui recherchent des informations. « Depuis des années, le ministère de la Santé s'investit dans le dépistage du cancer du sein. Malheureusement, pour diverses raisons, peur de l'examen, de la maladie, précarité, de nombreuses femmes hésitent encore à franchir le pas. Or, s'il est pris à temps, ce cancer peut être traité avec succès. Aujourd'hui, trois cancers du sein sur quatre sont guéris. Le sport peut venir en prévention ou éviter les récidives  » souligne Henriette Nouzille.

Outre la manifestation du 1er octobre, l'association Lucide 17, soutenue par le Département,  sera présente le 13 octobre prochain dans le hall de l'hôpital de Saintes aux côtés des praticiens. « L'opération "Octobre rose" permet de sauver des vies » explique Thérèse Auguin. Plusieurs intervenants seront présents pour répondre aux questions du public (ateliers pratiques, façon de se palper les seins pour y détecter une anomalie, soins du corps, etc). Blanchard, peintre bien connu, apportera sa touche en présentant un tableau en rapport avec cette action de prévention. Si vous vous posez des questions sur le cancer du sein, venez à cette journée où vous rencontrerez des interlocuteurs soucieux de vos préoccupations qui vous guideront et vous éclaireront. La maladie n'est pas une fatalité. Oser en parler et rompre un silence pesant est une première étape...
Durant le mois d'octobre, l'arc de triomphe de Saintes sera illuminé en rose ainsi que la façade du centre hospitalier.

Et maintenant, rendez-vous samedi 1er octobre, on compte sur vous !

• Infos pratiques : 

Samedi 1er octobre prochain au cœur de la ville de Saintes de 12 h 30 à 18 h place Bassompierre
Deux randonnées pédestres sont organisées :
• Premier départ à 14 heures pour 12 kms en partenariat avec le comité départemental de randonnée pédestre
• Second départ à 15 h pour 6 kms (retour centre-ville prévu vers 17h). Un tee-shirt rose sera offert aux 300 premiers inscrits !
Inscriptions randonnées obligatoires par e.mail à : octobrerose2016@ch-saintonge.fr (pensez à préciser la randonnée choisie et le nombre de participants).
Sur place, stands, informations et animations avec les professionnels de santé du centre hospitalier et de nombreux partenaires institutionnels et associatifs.

• Séances d'activité physique au CH de Saintes : Grâce à l'action combinée de plusieurs médecins, les drs Araujo, néphrologue, Borde et Sarda, oncologues, Marouby, praticien en éducation thérapeutique des patients, Herbin, pharmacien, M. Rigaud, cadre de santé, M. Bernard, cadre supérieur de santé et M. Dorez, professeur d'APA, une activité physique adaptée, destinée aux patients, a été mise en place au CH de Saintes. La première séance a eu lieu le 28 septembre.
  
• Autres rendez-vous d'Octobre rose : La Rochelle 2 octobre, Royan 7 octobre, Rochefort 15 octobre, Saint Jean d'Angély 18 octobre.

• Le cancer du sein en France

Avec environ 53 000 nouvelles personnes touchées chaque année, le cancer du sein est le plus répandu des cancers féminins. Près d'une femme sur neuf sera concernée au cours de sa vie, le risque augmentant avec l'âge. Moins de 10% des cancers du sein surviennent avant 40 ans. L’incidence augmente ensuite régulièrement jusqu’à 65 ans. Ceci, associé au fait que la densité de la glande mammaire est moins importante à cet âge, justifie le choix de la tranche d’âge de 50 à 74 ans retenue pour le dépistage organisé.
Après avoir doublé entre 1980 et 2005, l'incidence semble désormais en phase de stabilisation. Plus encourageant encore, la mortalité (nombre de décès/an) n'a, elle, pas augmenté depuis les années 80. Le résultat d'énormes progrès, tant au niveau du dépistage que de la prise en charge médicale de la maladie. Pour preuve, aujourd'hui, plus de 3 cancers du sein sur 4 sont guéris en sachant que tous les types de cancers n’ont pas le même pronostic !
Les hommes peuvent également développer un cancer du sein. Ces cas sont cependant rares, puisqu'ils représentent seulement 1% du nombre total de cancers du sein et 0,5% des cancers masculins.
Le cancer du sein en chiffres* chez la femme
    •    53 000 nouveaux cas annuels
    •    1er rang des cancers en terme de fréquence (33,5% de l'ensemble des nouveaux cas de cancer)
    •    11 500 décès annuels
    •    75% des cancers du sein se déclarent après 50 ans
    •    âge moyen au diagnostic = 61 ans
* données France 2005 et 2011, sur base de projection

• Sur-diagnostic du cancer du sein : La mise en place du dépistage organisé du cancer du sein entre 50 et 74 ans aurait causé le traitement de cancers qui ne présentaient a priori pas de danger pour les patientes. C'est ce qu'on appelle le sur-diagnostic. Une étude européenne précise que ce risque reste limité et ne remet pas en cause les bénéfices de cette politique de dépistage. Les efforts de recherche se poursuivent pour affiner les méthodes de diagnostic.

Les 1er et 2 octobre, exposition vente de minéraux à Chaniers

Le 2 octobre, poussons les barrières avec Emmaüs Saintes, le CAES et la Comédie de l'Eperon

La Communauté Emmaüs Saintes, la Comédie de l'Eperon et le CAES vous invitent au Domaine de la Barrière (à côté de Saint-Jean d'Angély) pour un après-midi « de mobilisation citoyenne pour une transition sociale, solidaire, écologique et culturelle ». Il s'agira également de porter sur ceux que l'on nomme migrants, réfugiés, sans-papiers, un regard éclairé par les témoignages des associations locales, départementales ou régionales qui ont été conviées à ce rendez-vous.

Saintes : Bien vivre avec une insuffisance cardiaque

Portes ouvertes à Cardiosaintonge jeudi 29 septembre de 9 h à 17 h, 86 rue Courbiac, à Saintes 

Comme chaque année, à l’occasion de la Journée mondiale du Cœur, Cardiosaintonge ouvre ses portes à tous : aux patients, à leurs accompagnants, aux professionnels de santé et à toute personne intéressée par la prévention active pour sa santé. 
De nombreux ateliers pratiques seront proposés : test de 6 minutes de marche, tension artérielle et oxygène pour faire le point sur son endurance personnelle, ateliers diététiques : jeux de cartes, décodage des étiquettes alimentaires, mes p’tites idées pour bien manger parce que la santé commence dans notre assiette, parcours personnalisé de santé, gestion de son classeur, forum des questions, discours des professionnels de santé, publications... pour connaître les outils et les résultats déjà obtenus.
Chacun pourra y trouver ou y découvrir une nouvelle manière d’être acteur de sa santé.

• NOUVEAU : « Bien vivre avec l’insuffisance cardiaque » le 7 octobre de 14 h 30 à 17 h pour tout public. Manifestation organisée par Cardiosaintonge en avant-première des rencontres de l’Insuffisance Cardiaque prévues pour les professionnels de santé à l’Abbaye aux Dames, salle Marguerite à Saintes (près du petit Leclerc). Le programme, spécialement étudié pour un très large public, abordera l’autonomie et l’amélioration de la qualité de vie, afin de savoir agir pour son cœur. Il permettra aussi de se familiariser avec les gestes d’urgence et d’utilisation d’un défibrillateur automatique comparable à ceux installés dans les lieux publics (stades, grands magasins). Toutes ces conférences sont animées par des professionnels de santé qualifiés. Une initiative utile pour tous afin de conserver ou d’améliorer la santé de son cœur.

• Contact : Cardiosaintonge 86 rue de courbiac 17100 Saintes 05 46 94 04 25 cardiosaintonge@wanadoo.fr www.cardiosaintonge.fr

Avis aux amateurs de spécialités alsaciennes : Soirée choucroute samedi 15 octobre !

L’Association « Arts et Spectacles en Haute-Saintonge » en partenariat avec le Comité des fêtes « Au fil de la Seugne » de St Germain de Lusignan organise une soirée alsacienne spéciale choucroute préparée dans la tradition.

Cette soirée, placée sous le signe de la bonne humeur et de la convivialité, aura lieu le samedi 15 octobre à partir de 20h à la salle polyvalente de St Germain de Lusignan. L’ambiance sera assurée par un orchestre traditionnel de 18 musiciens, dirigé par Claude Révolte, président de l’association. De la musique, au décor, rien n’est laissé au hasard, le but de cette soirée est de vous proposer une réelle ambiance bavaroise ! Nous vous encourageons à venir costumés, des prix seront attribués aux plus beaux costumes !

Menu proposé : verre de Riesling, choucroute garnie, choppe/50cl, fromage, dessert/café. Tarifs : 28€ pour les adultes et 10€ pour les enfants (de moins de 10 ans)

• Pour participer à cette soirée, les inscriptions sont dès à présent ouvertes.
Contacts : « Arts et Spectacles » en Haute Saintonge ou le Comité des fêtes Tél. 05 46 48 25 30 / 05 46 70 02 95. Inscriptions jusqu'au 12 octobre.

Journée mondiale des soins palliatifs, conférences à l'Abbaye aux Dames de Saintes

Dans le cadre de la journée mondiale des soins palliatifs, l’équipe mobile de soins palliatifs du centre hospitalier de Saintonge se mobilise le 7 octobre prochain de 9 h à 17 h 30
 • Conférence-débat « Accompagnement à domicile : entre souhaits, limites et réalité » à l’Abbaye aux dames, 11 place de l’abbaye à Saintes.
 Intervenants pluri-professionnels
 Modérateur : Eric Fourneret, docteur en philosophie, spécialisé en philosophie morale, membre de la Commission présidentielle relative à la fin de vie en France.
 En présence de : dr Caroline Alberque, médecin conseiller technique ARS Aquitaine, Limousin, Poitou-Charentes.
Tout public, entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles
Renseignements : 05 46 95 15 39

Concert baroque à la médiathèque de Pons

Concert samedi 8 octobre à partir de 10 h, musique de chambre des XVIIe et XVIIIe siècles pour traverso, flûte à bec, violoncelle et clavecin.
• Avec Suzanne Emery-Simon, clavecin ; Josée Quillet, violoncelle et Pascal Désier, flûtes

Saint-Genis : Chevalier farceur va se marier

Deuxième saison de la Tête en friche avec des résidences, des spectacles et une exposition jeune public

L’association la Tête en friche propose aux enfants, de 3 ans et plus, de découvrir, en Haute-Saintonge, les spectacles de cinq compagnies venues des quatre coins de la France. L’association s’agrandit, cette année avec des résidences dans les écoles, des partenariats.
Cirque nouveau, théâtre, marionnettes... tous les deux mois, la Haute-Saintonge devient un espace de divertissement jeune public. Après le triomphe de Sorcière Gribouillis, la Tête en friche a souhaité inviter de nouveau la compagnie Paragraphe et son auteur Nathalie Javelle pour une suite haute en couleur. Dimanche 9 octobre à 16 h, le public aura rendez-vous avec le Chevalier farceur !

•  La princesse Mélanie et ce farceur de chevalier Fred vont se marier ! Mais le papillon de la princesse a disparu... Venez vite les aider à le retrouver ! La princesse Mélanie et le chevalier Fred sont en pleine préparation de leur mariage. Le porte-bonheur de la princesse, un magnifique papillon magique sera placé au centre de la salle de bal. Pendant que la princesse fait la liste des invités, le chevalier s’amuse à lui faire des farces. Quel coquin ce chevalier ! La sorcière Gribouillis était cachée derrière un arbre et a tout entendu. Elle décide d’être invitée et de ruiner le mariage. Une seule solution pour arriver à ses fins : voler le papillon magique de la princesse ! Elle pourra ainsi lui demander d’exaucer tous ses voeux les plus abominables. La princesse et le chevalier sont désemparés. Avec l'aide des enfants, ils doivent mener l'enquête et récupérer le papillon avant qu'il ne soit trop tard.

La grande fête médiévale de Clion !

Un grand moment de convivialité dimanche dernier à Clion avec un retour remarqué à l'époque médiévale ! Gentes dames et farouches guerriers étaient au rendez-vous armés jusqu'aux dents. Bravo à tous ceux et celles qui ont animé cette journée haute en couleurs, sans oublier les nombreux stands qui ont apporté à cette rencontre un éclairage sur les produits du terroir ! Et en plus, le temps était de la partie...

Le chevalier sur son destrier

Sous l'arbre de Saint-Louis !

Le bonheur est dans le pré !

Respect, chevaliers !

A minuit, les citrouilles se transforment en carrosses !

Une petite confession ?

Birolut et Jackie Isambert

Un forgeron dans la plus pure lignée

Vêtements d'époque !

Pas facile de mettre un heaume...

A travers les stands

Le tirage de la tombola par Caroline !

Jeux en bois

Dégustation de pineaux et cognacs

Nouvelle-Aquitaine : Carrefour des métiers de bouche à Niort, filière du nautisme et croissance bleue à La Rochelle

A la croisée des chemins de l'agroalimentaire et de l'apprentissage, la 13ème édition du Carrefour des métiers de bouche se déroulera à Niort, du 1er au 4 octobre, au Parc des Expositions de Noron (6 rue Archimède), et sera inaugurée en présence de Guy Moreau, conseiller régional délégué à la Reprise et à la Transmission d'entreprises et de Nathalie Lanzi, vice-présidente du Conseil régional en charge de la Jeunesse, du Sport, de la Culture et du Patrimoine.  
Pour la Région, c'est d'abord l'occasion de soutenir les productions agroalimentaires de qualité, en proposant des animations assurées par l'Institut régional de la qualité agroalimentaire (Irqua). Ces animations sont prévues au sein d'un "Village des filières" de 300 m2, où seront présents des producteurs locaux et les filières de qualité (Chabichou du Poitou, Parthenaise Label Rouge, huîtres Marenne-Oléron).
Des animations culinaires, réalisées au sein d'un "pôle cuisine", mettront en exergue les produits de la Nouvelle-Aquitaine pendant toute la durée du salon. Un jeu-concours "Passeport des démarches-qualité" sera aussi organisé par l'Irqua. Le Carrefour des métiers de bouche est aussi une opportunité de soutenir et de développer l'apprentissage professionnel, qui fait partie des compétences régionales. Pour cela, un stand présentant le Campus des métiers et des qualifications "Terroirs" et "Gastronomie" sera installé au sein du stand de la Région, et animé par le lycée "Les Grippeaux" (Parthenay, Deux-Sèvres).  

Ce campus a pour objectif de contribuer à créer un pôle d'excellence et de compétences, entre les établissements de formation spécialisés dans cette thématique, et des entreprises. Cela se traduira par plusieurs actions : valoriser des produits-phare du terroir picto-charentais, informer sur l'offre de formation globale, rappeler les bonnes pratiques en matière de biodiversité et de développement durable, et encourager les changements de comportement des consommateurs et des professionnels. 

Filière du nautisme et croissance bleue : deux enjeux économiques majeurs réunis au Grand Pavois

  
Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, sera présent au Grand Pavois, à La Rochelle (Port des Minimes), vendredi 30 septembre.  

Depuis plusieurs années, la Région est en effet un partenaire de cet événement majeur pour la filière du nautisme, et y contribue à hauteur de 100 000 €.  
La Nouvelle-Aquitaine sera cette année présente sur le site du Grand-Pavois - où l'on attend cette année 750 bateaux et 90 000 visiteurs - à travers deux stands : l'un dédié à l'économie, l'autre à l'attractivité du territoire.  
Au stand "Économie" (Hall A, au milieu des entreprises), des agents de la Région et de l'Agence de développement et d'innovation (ADI) seront présents pour présenter les axes forts de la politique régionale.  
Dans le cadre du Grand-Pavois, il s'agit en particulier de deux axes :
- l'Usine du futur (la filière des industries nautiques représente près de 4000 emplois et 400 entreprises dans le seul territoire picto-charentais), qui est un dispositif avec lequel la Région entend aider les Petites et moyennes entreprises (PME) et les Entreprises de taille intermédiaire (ETI) à identifier des marges de progrès pour améliorer leur compétitivité (modernisation des outils de production, innovation, nouveaux modes d'organisation industrielle et du travail) ;  
- la Croissance bleue, qui est un défi relevé par la Région, dans un contexte où les projections à l'horizon 2020 indiquent que les secteurs marins et maritimes sont à même de fournir 7 millions d'emplois en Europe dans les filières traditionnelles (pêche, activités portuaires, tourisme) et les filières émergentes (énergies et bioressources marines).
La Région travaille donc à l'élaboration d'une feuille de route stratégique sur ce thème, qui est totalement connexe avec le thème-phare du Grand-Pavois (cette année : "Protégeons nos océans").  
Au stand "Attractivité", la Région mettra par ailleurs en avant les atouts de la région en matière de tourisme, de cadre de vie et de terroirs.