A tous et à toutes, je souhaite une belle année 2022 avec, espérons-le, la fin de cette pandémie qui nous frappe depuis deux ans. Certes, nous avons l’air mal partis mais dans quelques mois, une percée de la brume ambiante pourrait laisser apparaître l’horizon. Il est permis d'imaginer l'avenir car sans le rêve, que serait l’évasion ?
Cette photo a été prise en Guadeloupe au volcan de la Soufrière. Qu’il est loin le sommet quand aux aurores, on commence son ascension ! Ce chemin escarpé, nous le gravissons chaque jour dans vos vies respectives ; certains passages sont aisés, d’autres le sont moins et il arrive parfois de trébucher et de tomber. Sans une main tendue, se relever peut s’avérer ardu.
En cette période de vœux, le premier - s’il est possible d’en formuler trois - est bien sûr la santé, personnes malades à qui nous adressons nos souhaits de bon rétablissement sans oublier les soignants et l’ensemble du personnel médical qui jamais ne faiblissent malgré une situation tendue ; le second est l’entente et la compréhension mutuelle sans lesquelles nous ne pouvons pas vivre une société harmonieuse et entreprenante (sur ce chapitre, il y a du travail !) ; le troisième est le respect de la Terre où nous évoluons, les atteintes à l'environnement mettant en péril les équilibres. Pour beaucoup d’entre nous, s’ajoute une vie meilleure avec un travail stable, une reconnaissance des talents, un vrai partage des connaissances et l’écoute de nos anciens qui possèdent l’expérience de la vie.
Que 2022 soit forte et courageuse, inventive et heureuse, originale et chaleureuse ! Elle sera ce que nous en ferons.
• Extrait de l’Ecclésiaste (Ancien Testament)
« Quel profit l’homme retire-t-il des peines qu’il se donne sous le soleil ? Une génération s’en va ; une génération lui succède ; la terre cependant reste à sa place. Le soleil se lève ; le soleil se couche ; puis il regagne en hâte le point où il doit se lever de nouveau. Tantôt soufflant vers le sud, ensuite passant au nord, le vent tourne, tourne sans cesse, et revient éternellement sur les cercles qu’il a déjà tracés. Tous les fleuves se jettent dans la mer, et la mer ne regorge pas, et les fleuves reviennent au lieu d’où ils coulent pour couler encore.
Tout est difficile à expliquer ; l’homme ne peut rendre compte de rien ; l’œil ne se rassasie pas à force de voir ; l’oreille ne se remplit pas à force d’entendre.
Ce qui a été, c’est ce qui sera ; ce qui est arrivé arrivera encore. Rien de nouveau sous le soleil. Quand on vous dit de quelque chose : « Venez voir, c’est du neuf », n’en croyez rien ; la chose dont il s’agit a déjà existé dans les siècles qui nous ont précédés. Les hommes d’autrefois n’ont plus chez nous de mémoire ; les hommes de l’avenir n’en laisseront pas davantage chez ceux qui viendront après eux ».
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