Cette lutte est cause nationale. Que les langues se délient est une avancée considérable car les violences au sein des familles ont longtemps été un sujet tabou. Souvent, les victimes ne voulaient pas porter plainte. Il existe aujourd’hui toute une chaîne qui peut les aider : l’hôpital, la gendarmerie, la mairie, les assistances sociales, le centre médico psychologique, les associations. Une prise en charge médicale est assurée et des informations juridiques peuvent être délivrées.
Le commandant Hoarau souligne une augmentation importante des violences intrafamiliales sur le territoire de la Haute-Saintonge depuis trois ans. Les réseaux d’accompagnement font un travail énorme. Regret, que la gendarmerie ne dispose pas d’un intervenant social qui serait bien utile.
Pour Claude Belot, l’intercommunalité ne peut pas financer ce poste, le social ne faisant pas partie des compétences de la CDCHS. Il conseille de s’adresser plutôt au Département et à Jonzac, existe une cellule de proximité, résidence Philippe, qui compte de nombreux agents.
En certaines circonstances, l’Etat et la collectivité partagent les charges liées à cet emploi. Une solution sera trouvée, à n’en pas douter.
Ce document, réalisé par la sous-préfecture, recense les adresses utiles |
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