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Il sait que cette belle réussite est le résultat d’un savoir-faire
propre au terroir et du partage de la richesse créée entre les
différentes professions concernées.
Le parlementaire l’a donc alerté sur la mise en danger régulière de ce fragile équilibre par des pratiques spéculatives peu scrupuleuses. Il avait interpellé son prédécesseur concernant les « vautours » qui achetaient des vignes à bas coûts dans des vignobles en crise, pour arracher les pieds et ainsi planter dans le vignoble cognaçais. Une réunion au Ministère avait permis de mettre en place des outils de protection.
Aujourd’hui, ceux qui sont surnommés « les rapaces » divisent leur exploitation en plusieurs sociétés, afin d’obtenir plus de droits de plantation que ce à quoi ils pourraient prétendre avec une seule entité.
L’Union générale des viticulteurs pour l’AOC Cognac (UGVC) condamne ces pratiques et en a informé ses adhérents.
Bernard Lalande a rappelé à Didier Guillaume que si la liberté d’entreprendre doit être respectée, il est urgent de trouver le moyen de dissuader ceux qui, par ces méthodes, ne cherchent que le gain à court terme, sans se soucier de l’équilibre de la filière.
Il a recommandé, a minima, une déclaration du demandeur de droits de plantation des fonctions qu’il exerce dans d’autres sociétés, pour permettre un contrôle avant de statuer sur la répartition des droits disponibles.
Aujourd’hui, aucun risque de sanction ne pèse sur ces « rapaces ». Il conviendrait de mettre au plus vite en place un dispositif, même si il ne peut être que déclaratif, qui permettrait de sanctionner sévèrement (retrait des droits, arrachage des pieds de vigne, amende) toute fausse déclaration concernant le demandeur des droits.
Le sénateur reste en relation avec le ministre pour envisager tous les moyens possibles de préservation du vignoble et de la filière.
Le parlementaire l’a donc alerté sur la mise en danger régulière de ce fragile équilibre par des pratiques spéculatives peu scrupuleuses. Il avait interpellé son prédécesseur concernant les « vautours » qui achetaient des vignes à bas coûts dans des vignobles en crise, pour arracher les pieds et ainsi planter dans le vignoble cognaçais. Une réunion au Ministère avait permis de mettre en place des outils de protection.
Aujourd’hui, ceux qui sont surnommés « les rapaces » divisent leur exploitation en plusieurs sociétés, afin d’obtenir plus de droits de plantation que ce à quoi ils pourraient prétendre avec une seule entité.
L’Union générale des viticulteurs pour l’AOC Cognac (UGVC) condamne ces pratiques et en a informé ses adhérents.
Bernard Lalande a rappelé à Didier Guillaume que si la liberté d’entreprendre doit être respectée, il est urgent de trouver le moyen de dissuader ceux qui, par ces méthodes, ne cherchent que le gain à court terme, sans se soucier de l’équilibre de la filière.
Il a recommandé, a minima, une déclaration du demandeur de droits de plantation des fonctions qu’il exerce dans d’autres sociétés, pour permettre un contrôle avant de statuer sur la répartition des droits disponibles.
Aujourd’hui, aucun risque de sanction ne pèse sur ces « rapaces ». Il conviendrait de mettre au plus vite en place un dispositif, même si il ne peut être que déclaratif, qui permettrait de sanctionner sévèrement (retrait des droits, arrachage des pieds de vigne, amende) toute fausse déclaration concernant le demandeur des droits.
Le sénateur reste en relation avec le ministre pour envisager tous les moyens possibles de préservation du vignoble et de la filière.
Extrait de la lettre de communication du sénateur Bernard Lalande
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