Devant le lycée |
Didier Guilloton (FO) a regretté « cette attaque qui pénalisera tous les salariés. Nous manifestons pour nous, mais aussi pour les générations à venir ». Devant l’hôpital, Ali Tham (CGT Hospitaliers) a déploré les conditions de travail des salariés qui évoluent dans un contexte de plus en plus difficile. Le manque de personnel alourdit la tâche des titulaires qui cumulent heures supplémentaires et fatigue. Propos confirmés par Christine Garnier, infirmière.
Difficulté pour les mois à avenir au CH de Jonzac, la responsable de l’UCC (unité cognito comportementale créée par l’ARS) a demandé une disponibilité à partir de la mi-décembre. A ce jour, aucun gériatre remplaçant n’a été trouvé et si aucune solution n'apparaît, les malades seront alors orientés vers d’autres services.
La troisième étape était la sous-préfecture où Alain Girard (CGT) a demandé aux participants de poursuivre la mobilisation. Et d’y glisser une citation de George Orwell où il était question du langage politique et « de donner à du vent l'apparence de la solidité ». A suivre...
• A Pôle Emploi, une prise de parole des gilets jaunes a eu lieu pour dire non à la précarité
• A l'hôpital pour dire « stop à la casse des service publics »
• Au lycée pour dire que tous sont concernés
• A la sous-préfecture pour exiger le retrait du projet de réforme des retraites Macron-Delevoye, revendication remise au sous-préfet.
• Une cinquantaine de personnes se sont rassemblées en assemblée générale à Jonzac après la manifestation.
Ils appellent l'ensemble des citoyens à rejoindre ceux qui sont déjà en lutte. Rassemblement samedi 7 décembre au rond-point de l’Intermarché à Montendre à 10 h pour échanger et décider de l’organisation de la lutte.
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