Durant quatre jours, une partie de la rocade de Jonzac (à partir du rond-point d’Intermarché) a été interdite à la circulation. Les raisons ? Des fissures, repérées par le service départemental des infrastructures en janvier 2024, risquaient de s’agrandir, entraînant une détérioration de cette voie largement empruntée si elles n’étaient pas traitées.
Des fissures importantes (@Service départemental des Infrastructures 17) |
Ces jours derniers, les équipes ont enlevé 6 centimètres de surface sur toute la largeur de la chaussée et 11 centimètres en plus du côté des lézardes (la photo montre leur importance). Par la suite, une géogrille a été noyée dans une couche de grave-bitume ; ont suivi l’enrobé et la peinture des lignes.
L’état de cette portion, d’environ 800 mètres, était vraisemblablement dû aux eaux de ruissellement. Répondant aux remarques qui ont été faites, Christophe Cabri est réaliste : « J'ai lu que le maire ferait mieux d’investir dans la future caserne. Bien sûr que nous attendons tous ce nouveau bâtiment, mais l’état du réseau routier est une priorité. Dans le cas qui nous intéresse, l’intervention évitera sa dégradation et un coût beaucoup plus conséquent dans les années à venir ». L’investissement (pris en charge par le Département) est d’environ 180.000 euros.
Les futurs travaux à Jonzac :
• Cette nuit, la rue Victor Hugo, « victime de malfaçons » verra son enrobé entièrement refait. Demain matin, tout sera rentré dans l’ordre avec un enduit coulé à chaud !
• La route qui se dirige du rond-point du Casino vers Champagnac sera refaite. En 2025, l’avenue Monseigneur Chauvin est inscrite au programme.
• Trottoirs : La ville va dépenser 450.000 euros et 500.000 euros en deux tranches pour leur réfection : Avenue Thiers, Rue Félix Faure, Cité de la Garenne, Rue du pas de la Garenne, La Marronnerie, Le Cluzelet, Cité Mignonneau. « En 2024, nous avons dépensé un million d’euros pour l’accessibilité de la voirie » souligne Christophe Cabri.
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