jeudi 4 décembre 2025

Jonzac : Vive les illuminations de Noël... en attendant le mapping !

C'est mardi à la tombée de la nuit que les illuminations de Noël ont été dévoilées aux Jonzacais, conviés par la même occasion à un verre de l'amitié offert par la municipalité. Tous les ans, des nouveautés complètent les décorations existantes. En 2025, une famille de Nounours a élu domicile place du château. Un mapping sera proposé sur la façade du châtelet du 23 au 31 décembre tous les soirs de 18 h 30 à 19 h 30. Sur place, crêpes, boissons chaudes. Lancement le 23 décembre à 18 h 30. Vin chaud et chocolat offerts au public. Venez nombreux !

Le sapin place du château
Christophe Cabri orchestre la mise en lumière !
Rendez-vous place du château
Le lancement des illuminations

Majestueux !
Le Père Noël
L'entrée du château

L'église Saint-Gervais
Place des Carmes
Jardin Public et Avenue Gambetta

PHOTOS NICOLE BERTIN

Châtelet, capitale de la truffe dimanche 7 décembre !

Châtenet devient la capitale de la truffe noire de Haute-Saintonge le temps d'une journée, dimanche 7 décembre de 9 h à 17 h

Cet événement sera ponctué par différentes animations : démonstration de cavage (recherche de truffes par un chien spécialisé), dégustation de produits truffés à 13h (planche avec brouillade truffée - brie truffé - brillat savarin truffé et beurre truffé ; conférence autour de la culture de la truffe. Vous pourrez également acheter des truffes, produits truffés ou bien effectuer vos réservations pour Noël. Des producteurs locaux (miel, asperges, canard, pineau-cognac, etc.) seront également présents pour vous présenter leurs spécialités.


Venez nombreux !


Saintes/Comité régional de l’alimentation : bilan du Pacte alimentaire pour une alimentation durable et locale

Geneviève Barat, conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine déléguée à la ruralité, aux circuits courts et à la feuille de route « alimentation », a conduit la journée de bilan du Pacte alimentaire pour une alimentation durable et locale en Nouvelle-Aquitaine mercredi 3 décembre, au sein du lycée agricole Georges Desclaude à Saintes

 Le Conseil régional de Nouvelle-aquitaine et l'Union européenne ont mobilisé plus de 243 millions d'euros pour soutenir des actions, des projets et des bénéficiaires répondant aux objectifs de ce Pacte alimentaire. Les objectifs partagés du Pacte Alimentaire sont la création et le partage de la valeur ajoutée dans les différents maillons de la chaine alimentaire, garantissant notamment une juste rémunération des producteurs ; la production d’une alimentation saine, durable et de qualité issue des filières agricoles engagées dans la transition agroécologique et l’accès à une alimentation locale et régionale de qualité pour tous.

Ce Pacte alimentaire arrive en effet à échéance cette année. Autour de l’État, du Conseil régional et d’une trentaine de partenaires, les participants ont revisité cinq années d’actions destinées à renforcer la présence des produits locaux dans tous les circuits, à soutenir une formation agricole exemplaire, à rapprocher consommateurs et agriculteurs, et à mobiliser l’ensemble des territoires.

La matinée, structurée autour du Comité régional de l’alimentation (Coralim), a offert un panorama des avancées de ce pacte, grâce aux interventions conjointes de la Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (Draaf), de la Région Nouvelle-Aquitaine et de plusieurs acteurs engagés.

 Trois séquences thématiques ont mis en lumière les progrès réalisés en éducation alimentaire, les apports de l’innovation dans les circuits alimentaires locaux et les pistes d’une nouvelle ambition ciblée sur la réduction du gaspillage.

 Moment fort de la journée : la signature officielle de la prolongation du Pacte, qui entérine la poursuite de la démarche au-delà de 2025, par les différents partenaires régionaux : AreaNA, Coopération agricole NA, Chambre régionale d'agriculture, Interfel NA, Interbev NA, Apfelso, Umih NA, Interbio, Bio Nouvelle Aquitaine, AFIPaR, CREPAQ, Reana, Union des consommateurs NA, Agence de l'alimentation NA, Institut du goût, Réseau Restau’Co, Agores, Inae, CRESS, Banque Alimentaire NA, Acena, CCI NA, InPACT, Criel, Chambre des métiers et de l’artisanat.

L’après-midi a pris la forme d’un forum d’échanges, mêlant table ronde sur l’intégration de viande bovine durable en restauration collective organisée par INTERBEV Nouvelle-Aquitaine, et ateliers participatifs animés par Pays et Quartiers de Nouvelle-Aquitaine (PQN-A). Ces sessions ont permis d’aborder retours d’expérience, outils pédagogiques et coopérations territoriales, confirmant la dynamique collective à l’œuvre en faveur d’une alimentation plus durable dans la région.

On a pu ainsi apprendre par Jean-Bernard Sallat, le président d’INTERBEV Nouvelle-Aquitaine, que « pour la première fois depuis 40 ans, les éleveurs sont payés au-dessus de leur coût de production ». Thierry Pousson, président d’Acena, a aussi rappelé que « les marchés Acena se doivent d’être des marchés accessibles à tous, qui rémunèrent les producteurs ».

De gauche à droite : Jean-Bernard Sallat, Président INTERBEV NA, Thierry Pousson, Président ACENA, Karl Biteau éleveur et Président de la SAS Saveurs Paysannes Charentaises, Stéphane Marteau, chargé de mission filières locales alimentaires unité circuits courts de la Région Nouvelle-Aquitaine, Florence Brosselin, responsable Agrilocal17 au Département Charente Maritime, Hervé Garrigue, Ingénieur restauration, fondateur du GARA et représentant du réseau Restau’Co et Matthieu Anoman, éleveur et Président du 87 dans l’assiette © Pays et Quartiers de Nouvelle-Aquitaine / Région Nouvelle-Aquitaine

Croix-Gente (près Montendre) : Quand disparaît une fresque de la grande artiste Marie Baranger...

Peinte en 1984 dans le chœur de l'église nouvelle de Croix-Gente (haut lieu de pèlerinage durant des décennies), cette œuvre monumentale, réalisée par Marie Baranger, artiste de renommée internationale, n'est plus. Pour la protéger, une inscription aurait été nécessaire comme c'est le cas pour l'église Sainte-Thérèse de Poitiers. Le diocèse de La Rochelle et Saintes était-il conscient de la valeur de cette piéta ? « Il y a souvent une méconnaissance des fresques contemporaines de la part des collectivités. Des inventaires sont actuellement en cours. Une mention dans le PLU de la commune aurait permis une sauvegarde » explique un spécialiste. En effet, si les peintures médiévales sont souvent prises en compte, les époques récentes présentent des lacunes, d'où une sensibilisation nécessaire pour la survie de ces témoignages en milieu rural.

2019, démolition de l'église nouvelle de Croix-Gente. La fresque est encore visible
Après la destruction de l'église nouvelle programmée par le diocèse en 2019, la fresque dès lors exposée aux intempéries, apparaissait sur le mur d'une maison jouxtant, vendue à des privés.

Avec le recul, une question se pose : Pourquoi l'Evêché et la paroisse de Montendre n'ont-ils pas cherché à conserver et protéger cette fresque d'une artiste mondialement connue ? A l'époque, nous avions lancé un SOS :

« Croix-Gente n'est pas seulement une petite chapelle intime, construite au XIXe siècle, qui possède une belle histoire. C'est aussi un vaste bâtiment moderne qui accueillait les croyants à l'époque où ce lieu, situé au milieu des pinèdes, était un centre important de pèlerinage.

En raison de plaques d'amiante posées dans la toiture, l'Evêché se voit dans l'obligation de détruire cet édifice religieux qui se trouve en mauvais état.

Pour des raisons de sécurité, une entreprise procédera, à partir du 1er juillet, au démantèlement de la toiture dont les tôles seront envoyées dans une déchèterie spécialisée et ensuite, à la démolition du reste de cette structure désaffectée depuis des décennies.

Toutefois, ce bâtiment possède des vitraux ainsi que des portes d'entrée remarquables. La communauté chrétienne du Sud Saintonge ainsi que les défenseurs du patrimoine espèrent que ces "trésors" pourront être sauvegardés. Et pourquoi pas une vente aux enchères de ces vitraux dont les profits pourraient bénéficier à la paroisse ? ».

La partie détruite en 2019 comportait de beaux vitraux modernes et une massive porte d'entrée

La paroisse de Montendre ignore ce que sont devenus ces vitraux
• JUILLET 2019

« L’église moderne de Croix-Gente n’est plus qu’un souvenir. L’Evêché a donné son feu vert pour la destruction de l'édifice, abandonné depuis un certain temps, qui présentait des fragilités.

Si sa construction fut longue (plusieurs périodes avant et après la Seconde Guerre mondiale), sa démolition confiée à l’entreprise Céline Crouzeau de La Rochelle a été rapide. Les vitraux ont pu être sauvés. Les travaux devraient être terminés cette semaine. Pour l’heure, les engins s’emploient au déblaiement des gravats et matériaux. Reste la fresque qui est conservée : désormais exposée aux éléments extérieurs et pour la protéger des intempéries, un traitement serait opportun. Ainsi se tourne une page de l’histoire de Croix-Gente qui provoque quelques pincements au cœur. De nombreux habitants se souviennent y avoir participé aux pèlerinages, importants à une époque, fait leur retraite de communion et leur communion et c’est là que le père Bernard Tourneur a été ordonné prêtre ».

Travaux de déblaiement. L'amiante a été placé dans un conteneur à part

• JUIN 2022

« Croix-Gente : trois maisons de l’Evêché bientôt proposées à la vente

Propriété de l’Evêché, le site de Croix-Gente, longtemps lieu de pèlerinage, va connaître une nouvelle destination. Une première étape a eu lieu en 2019 avec la démolition de l’église moderne construite au milieu du XXème siècle qui comportait de l’amiante. « Aucune utilisation pastorale n’ayant été trouvée, le collège a donné son accord pour la vente des trois maisons. Seuls seront conservés la chapelle, le calvaire et un petit terrain autour. Le produit de la vente sera consacré à acquérir une autre propriété pour la venue d’une communauté religieuse ou monastique dans le diocèse » expliquent les responsables. De la fresque de Marie Braranger, il n'est pas question.

En 2016, Mgr Colomb accueilli à Croix-Gente.
Cette année-là, il n'est question ni de destruction de l'église, ni de vente de maisons...

Ainsi est perdue une œuvre de Marie Baranger qui aurait pu être valorisée et inscrite dans un parcours découverte consacré au patrimoine sacré de Haute-Saintonge. 

Biographie de Marie-Mélanie Baranger (Wikipedia)

Cette peintre française a contribué à la redécouverte de la peinture à fresque au XXe siècle.

Marie Baranger naît le 26 février 1902 à Angoulême. En 1927, elle entre aux Ateliers d'art sacré où elle reçoit l’enseignement de Maurice Denis qui l’influence profondément et se forme à la technique de la fresque sous la direction de Paul Baudoüin.

Elle exécute sa première œuvre à fresque dans l’église de Migné-Auxances dans le Poitou en 1933 ; à cette même époque, elle seconde Marthe Flandrin qui réalise une fresque sur Catherine de Sienne pour l’église du Saint-Esprit. En 1934, avec son frère aîné polytechnicien Pierre Baranger, elle fonde l’Association Art et Louange. Elle entre en 1944 dans le tiers-ordre franciscain.

Réfugiée dans les Landes pendant une partie de la Seconde Guerre mondiale, elle réalise plusieurs programmes de peinture à fresque. La plus importante de ces réalisations est Saint-Pierre-du-Mont, totalement détruite dans les années 1980.

Marie Baranger se lance dans ses premiers grands voyages à partir de 1949. Rome la charge de préparer l’exposition missionnaire prévue en 1950. Ainsi elle découvre l’Afrique de l’Ouest : Sénégal, Haute-Volta (Burkina Faso), Guinée, Côte d'Ivoire, Togo. « Son projet permanent est d’adapter la symbolique et les objets du culte catholique aux Églises émergentes des régions encore colonisées et à leurs cultures particulières. Mais cela surtout à travers la sensibilisation et la formation d’artisans et d’artistes locaux chargés de décorer eux-mêmes leurs églises avec leur technique et leur symbolique propre ». Forte de ses expériences, elle est conviée en 1965, en qualité d’experte, à participer aux travaux du concile Vatican II. Elle décède à Poitiers en 2003 à l’âge de 101 ans.

Principales fresques en France (dont Croix-Gente)

1931 - 1933 : Vienne (86), habitations privées

1933 : Paris (75), Eglise du Saint-Esprit ; Migné-Auxances (86), Eglise

1934 - 1935 : Poitiers (86), Eglise Sainte Thérèse et Sainte Jeanne d'Arc (chemin de croix et deux chapelles)

1935 : Charrais (86), Eglise

1939 : Bernay (27), Eglise (crypte)

1940 : Gabarret (40), Eglise (fonts baptismaux et deux chapelles)

1941 : Betbezer (40), Eglise (fresque commémorative) Saint Pierre du Mont (40), Eglise (fresque dans le chœur, détruite)

Arx (40), Eglise (chemin de croix, fresque dans le chœur) Baudignan (40), Eglise (chemin de croix, autel de la Vierge)

Lubbon (40), Eglise (fresque dans le chœur)

Chantecorps (79), Eglise (fresques sur les vendanges et la moisson)

1942 : Saint Geours d'Auribat (40), Eglise (chemin de croix)

1943 :

Poyanne (40), Eglise (chemin de croix en frise continue, fresques dans deux chapelles, recouvertes), Blaslay (86), Eglise (chemin de croix, fresque autour du chœur), Extrait du Chemin de Croix, Eglise de Blaslay (les soldats emmènent Jésus), Extrait du Chemin de Croix, Eglise de Blaslay

1945 : Montreuil-Bonnin (86), salle de la Mairie

1960 : Paris (75), Ecole Polytechnique (anciens locaux), décor du bureau de Pierre Baranger

1963 : Paris (75), Eglise d'Ukraine

1970 : Viroflay (78), Eglise Notre-Dame du Chêne (crypte)

1975 : Melun (77), cabinet médical du Docteur Pierre Saintillan

1977 : Poitiers (86), Ecole Technique du Porteau

1982 : Poitiers (86), Le Toit du Monde

1984 : Montendre (17), Eglise de Croix-Gente

1986 : Poitiers (86), Impasse Saint-Michel (archange Saint Michel), Fresque de l'Impasse Saint Michel (archange Saint Michel terrassant le dragon)

Principales fresques à l'étranger

1947 : ANGLETERRE

Finedon Hall, chapelle du château (Vierge Reine)

1949 : CÔTE D'IVOIRE

Katiola (Christ en gloire, Vierge)

Man, Eglise St Michel (4 anges)

1959 : JAPON

Nagasaki, Université de Nauzan (Christ de la Paix)

Fukuoka, Carmel (la Cène)

Fresque du Carmel des sœurs contemplatives à Fukuoka (Japon)

Fresque du Carmel des sœurs contemplatives à Fukuoka (Japon)

1959 : COREE

Séoul, Eglise (Christ-Roi)

Séoul, Ecole des Beaux-Arts (le Ying et le Yang)

1959 : VIETNAM

Saïgon, Séminaire franciscain (Saint-François)

Saïgon, Ecole de Beaux-Arts (3 femmes sur un pont)

1962 : INDE

Trivandrum (au Kérala), Cathédrale (fresque du chœur, Christ Pantocrator, évangélistes et apôtres entourant la "Deisis")

Fresque de la Cathédrale de Trivandrum (recouverte)

Fresque de la Cathédrale de Trivandrum (recouverte)

1971 : SENEGAL

Dieppeul (les martyrs de l'Ouganda)

1972 : ZAÏRE

Bunia (Vierge de l'Annonciation)

Kasenyi (l'appel de Pierre, les apôtres)

1973 : SENEGAL

N'gazobil, Séminaire (La Cène, Vierge orante)

1974 : SENEGAL

Popenguine (Vierge de l'Apocalypse)

1975 : HAUTE-VOLTA

Dourtenga (Christ en gloire)

Ouarguaye (Christ Roi, Vierge à l'enfant)

1978 : GABON

Franceville (le Christ en majesté)

Fresque de l'Eglise Joseph Moukassa à Franceville (Gabon)

Fresque de l'Eglise Joseph Moukassa à Franceville (Gabon)

1979 : GABON

Matebelé (Sainte Famille)

Moanda (La Cène, Saint Dominique)

Usine de manganèse (fresque sur l'industrie et l'extraction du minerai)

1980 : GABON

Bakoumba (Vierge à l'enfant, Arbre de vie, Saint Michel)

mardi 2 décembre 2025

Heidelberg Materials France acquiert 4 sites exploités par la société Carrières Audoin et Fils en Nouvelle-Aquitaine


Heidelberg Materials France annonce l’acquisition de quatre sites jusqu’à présent exploités par la société Carrières Audoin et Fils

Carrières Audoin et Fils est une entreprise familiale créée en 1970, localisée dans le Sud-Ouest de la France. L’opération concerne les sites alluvionnaires de Montguyon et Vrignon, la carrière calcaire de Saint-Simon, tous trois situés dans le département de Charente-Maritime ainsi que celui de Saint-Michel de Rieufret dans le département de la Gironde.

Ces quatre sites emploient 23 personnes qui intégreront les effectifs des activités granulats de Heidelberg Materials France.

Avec cette acquisition, Heidelberg Materials entend renforcer ses positions sur le marché des granulats en Nouvelle-Aquitaine où le groupe est déjà présent dans chacun de ses autres métiers, qu’il s’agisse de la production de ciment avec la cimenterie de Bussac-Forêt ou encore du béton prêt à l’emploi.

Pour Bruno Pillon, président des Activités France de Heidelberg Materials, « cette acquisition illustre l’ambition de Heidelberg Materials en France qui investit massivement dans la décarbonation de ses cimenteries comme dans le développement de son ancrage territorial au niveau de tous ses métiers ».

Sylvie Berhault, directrice générale des activités granulats de Heidelberg Materials France précise que « cette acquisition s’inscrit dans la stratégie de croissance de l’activité granulats en France. Elle sera créatrice de synergies en matière de production, commercialisation et logistique, au service de nos clients ».

Enfin, Thibault Latapy, directeur régional Sud-Ouest granulats complète : « nous sommes très heureux d’intégrer ces sites dans notre dispositif industriel et d’accueillir les collaborateurs au sein de nos équipes. Ensemble, nous mènerons de grands projets pour l’aménagement de notre territoire ».

• À propos d’Heidelberg Materials : Heidelberg Materials est l’un des leaders mondiaux de l’industrie des matériaux et solutions de construction avec des positions de leader sur le marché du ciment, des granulats et du béton prêt à l’emploi. « Nous sommes présents dans plus de 50 pays avec plus de 51 000 employés sur près de 3 000 sites. La responsabilité environnementale est au centre de nos actions. En tant que précurseur sur la voie de la neutralité carbone et de l’économie circulaire dans l’industrie des matériaux de construction, nous travaillons sur des matériaux de construction durables et des solutions pour l’avenir. Nous offrons de nouvelles opportunités à nos clients grâce au digital ».