Informé de cette situation par le président du TGI lors de la première réunion du Conseil de juridiction, Olivier Falorni a interpellé dans la foulée la Garde des Sceaux. « C’est avec un sous-effectif de 4 postes que devront composer les magistrats du ressort du TGI à compter du 1er octobre ! Ce contexte, qui se fait au détriment des justiciables, est intenable pour les magistrats et pose des difficultés d’organisation et de souffrance éthique. Il n’est pas tolérable que des parents en instance de sépararation doivent attendre plus de 8 mois pour que le juge aux affaires familiales se prononce sur les conditions de la mise en œuvre du divorce » précise le député.
Olivier Falorni a donc écrit à Nicole Belloubet pour que ce déficit soit rapidement comblé. Il souhaite connaître la même efficacité qu’en 2016 lorsqu’à pareille époque et situation similaire, le Garde des Sceaux avait rapidement répondu à son interpellation en nommant les magistrats sur les postes vacants à La Rochelle.
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