Un état-major de sécurité dédié à la sécurisation des établissements scolaires a été organisé à la préfecture de La Rochelle le 29 août 2016 sous la présidence conjointe d'Eric Jalon, préfet de la Charente-Maritime et d'Isabelle Pagenelle, procureure de la République près le Tribunal de Grande Instance de La Rochelle, et en présence de Gilles Grosdemange, inspecteur d'Académie, directeur des services départementaux de l’Éducation Nationale.
L'objectif de cette réunion était de faire le point avant la rentrée scolaire sur les différentes actions mises en œuvre pour la sécurisation des quelques 624 établissements scolaires du département et de leurs abords avec les services de l’État concernés, notamment les forces de l'ordre, le service départemental d'incendie et de secours et les services de l’Éducation nationale.
Cette réunion faisait suite à la décision du gouvernement de relever le niveau de vigilance autour des écoles, collèges et lycées. La coordination entre les ministères chargés de l'intérieur, de l'éducation nationale, de l'agriculture et de la mer – autorité académique respectivement pour les établissements d’enseignement agricole et les lycées maritimes - a donné lieu à l'élaboration d'une stratégie globale et cohérente permettant de renforcer le niveau de protection de l’espace scolaire, autour de trois axes : sécuriser, anticiper et savoir réagir.
• Sécuriser
- des correspondants « Sécurité de l’école » sont désignés au sein des services de police et de gendarmerie départementale au bénéfice des écoles et des établissements scolaires. 25 correspondants sont ainsi actifs au sein des compagnies de la gendarmerie nationale.
- des diagnostics de sûreté et de sécurité sont réalisés dans tous les établissements par les référents de la police et de la gendarmerie, en lien avec les chefs d’établissement et les collectivités territoriales compétentes.
- des équipes mobiles de sécurité associant personnel du système éducatif et forces de l'ordre sont opérationnelles sur le département. Elles assurent à la fois une mission de prévention et de sécurisation au bénéfice des chefs d’établissement mais également une fonction d’accompagnement et de formation à la gestion de crise des personnels de direction des établissements publics. Elles peuvent se projeter sur tout établissement du département en cas de difficulté.
- des mesures de précaution sont définies aux abords des établissements scolaires avec notamment la présence renforcée des forces de police et de gendarmerie en fonction des priorités identifiées.
• Anticiper
- un référent sécurité au sein des services de l’Éducation nationale est désigné pour apporter aide et expertise aux chefs d'établissement, notamment dans l’élaboration des plans particuliers de mise en sécurité (PPMS) qui doit permettre d’organiser la gestion d’un événement majeur affectant la établissements.
- des exercices cadre seront organisés dans tous les établissements afin de développer auprès des personnels et du corps enseignant une culture du risque et l’acquisition de bons réflexes.
- des dispositifs de partage de l’information entre les services de l’Éducation Nationale, les pompiers, les forces de l’ordre et la préfecture sont mis en œuvre pour pouvoir intervenir plus rapidement et efficacement dans un établissement en cas d'événement.
- la formation aux « gestes qui sauvent » sera organisée en collaboration avec le SDIS, l’Éducation Nationale et, le cas échéant, les associations agréées de sécurité civile.
• Savoir réagir
- les services départementaux de l’Éducation nationale – Inspection académique – ont la capacité de se reconfigurer en 30 minutes en cas de crise, avec l’armement d’un Poste de Commandement
- un Poste de Commandement de crise ainsi qu'une équipe mobile de sécurité et d’une cellule médico-sociale d’écoute et d’accompagnement pourront être projetées sur le lieu de l’événement. Un représentant de l’inspection académique contribue par ailleurs à armer le Centre Opérationnel Départemental (COD) de la préfecture, placé sous l’autorité du préfet, directeur des opérations de secours.
- un dispositif d’alerte par SMS destiné à informer les directeurs d'établissement en cas de crise est mis en place.
Plus d'information sur : http://www.education.gouv.fr/cid85267/consignes-de-securite-applicables-dans-les-etablissements-relevant-du-ministere.html
L'information journalistique en Charente-Maritime : portraits, actualités politiques,
vie culturelle, artistique, patrimoine, histoire, voyages
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mercredi 31 août 2016
mardi 30 août 2016
Le Coconut Music Festival
à l'abbaye aux dames de Saintes
Le Coconut Music Festival s'installe à l'abbaye aux dames les 8, 9, 10, 11 septembre !
Prolongez votre été sous les palmiers, ouvrez grand vos oreilles, vous avez rendez-vous dans la jungle de l’abbaye autour d'un exotique mélange de musiques tropicales et d’expériences auditives !
Tout au long du week-end, petits et grands pourront savourer concerts, jeux en bois, cocokids party et initiation musicale, bal folk…
Tout au long du week-end, petits et grands pourront savourer concerts, jeux en bois, cocokids party et initiation musicale, bal folk…
Conservatoire de l'estuaire de la Gironde :
journée découverte et exposition
• Journée découverte
en presqu'île d'Arvert
Samedi 10 septembre, le Conservatoire de l’estuaire propose une journée pour découvrir quelques sites sur la presqu’île d’Arvert.
Sur les rives vaseuses de la Seudre, lorsque la saliculture déclina, les marais salants se couvrirent alors de claires ostréicoles. À l’huître indigène (huître plate) succéda l’huître creuse - ou portugaise - puis l’huître japonaise. Aujourd’hui, une “4e génération” est née : l’huître triploïde. Cette huître “des quatre saisons” est l’objet de sérieuses controverses à l’intérieur de la profession ostréicole et plus récemment chez les consommateurs.
Cette journée propose trois visites : l’unique marais salant à Mornac, le marais ostréicole sur la même commune, puis la station Ifremer de La Tremblade, avec des laboratoires en pointe dans plusieurs domaines dont celui à l’origine de cette huître triploïde.
Le rendez-vous est donné à 8 h 45 au parking de Mornac. La fin de la visite est prévue vers 16 h 30.
Le repas sera sorti du sac. Prévoir de bonnes chaussures ; se vêtir en fonction du temps.
Inscription obligatoire (limitée à 25 personnes).
Participation : 10 euros ; 6 euros pour les membres du Conservatoire de l’estuaire de la Gironde et les enfants de moins de 12 ans. L’inscription sera validée à la réception du règlement.
- Renseignements et inscription auprès du Conservatoire de l’estuaire de la Gironde du lundi au vendredi de 14h à 18h (05 57 42 80 96) ou de Guy Estève, organisateur, au 05 46 22 74 71
• Exposition Cousteau et Duranthon
Les samedi 17 et dimanche 18 septembre, de 14h à 18h, l'association historique et archéologique de Saint-Laurent d'Arces organise une exposition sur l'histoire des familles Cousteau et Duranthon, au château Robillard à Saint-André de Cubzac .
À cette occasion, sera présenté le livre qui retrace 300 ans d'une histoire liée aux océans avec le récit extraordinaire d'une expédition dans les Indes au XIXème siècle avec des anecdotes pittoresques.
en presqu'île d'Arvert
Samedi 10 septembre, le Conservatoire de l’estuaire propose une journée pour découvrir quelques sites sur la presqu’île d’Arvert.
Sur les rives vaseuses de la Seudre, lorsque la saliculture déclina, les marais salants se couvrirent alors de claires ostréicoles. À l’huître indigène (huître plate) succéda l’huître creuse - ou portugaise - puis l’huître japonaise. Aujourd’hui, une “4e génération” est née : l’huître triploïde. Cette huître “des quatre saisons” est l’objet de sérieuses controverses à l’intérieur de la profession ostréicole et plus récemment chez les consommateurs.
Cette journée propose trois visites : l’unique marais salant à Mornac, le marais ostréicole sur la même commune, puis la station Ifremer de La Tremblade, avec des laboratoires en pointe dans plusieurs domaines dont celui à l’origine de cette huître triploïde.
Le rendez-vous est donné à 8 h 45 au parking de Mornac. La fin de la visite est prévue vers 16 h 30.
Le repas sera sorti du sac. Prévoir de bonnes chaussures ; se vêtir en fonction du temps.
Inscription obligatoire (limitée à 25 personnes).
Participation : 10 euros ; 6 euros pour les membres du Conservatoire de l’estuaire de la Gironde et les enfants de moins de 12 ans. L’inscription sera validée à la réception du règlement.
- Renseignements et inscription auprès du Conservatoire de l’estuaire de la Gironde du lundi au vendredi de 14h à 18h (05 57 42 80 96) ou de Guy Estève, organisateur, au 05 46 22 74 71
• Exposition Cousteau et Duranthon
Les samedi 17 et dimanche 18 septembre, de 14h à 18h, l'association historique et archéologique de Saint-Laurent d'Arces organise une exposition sur l'histoire des familles Cousteau et Duranthon, au château Robillard à Saint-André de Cubzac .
À cette occasion, sera présenté le livre qui retrace 300 ans d'une histoire liée aux océans avec le récit extraordinaire d'une expédition dans les Indes au XIXème siècle avec des anecdotes pittoresques.
Les 16, 17 et 18 septembre,
Royan fête son patrimoine :
le port accueillera l'Arawak
La thématique des Journées Européennes du Patrimoine « Patrimoine et citoyenneté » s’inscrit dans une période où l’esprit civique est plus que jamais appelé à se manifester et où la transmission du patrimoine doit être mise à l’honneur.
Royan a souhaité mettre l’accent sur des visites décalées pour découvrir la ville d’une façon différente avec notamment une visite muette du centre-ville le samedi 17 septembre à 10h00 et des cross-country patrimoine en collaboration avec le collectif « Monts et Merveilles » le samedi 17 septembre à 11h00 et 16h30 et le dimanche 18 septembre à 11h30.
Ces journées dédiées au patrimoine seront l’occasion de découvrir l’Hôtel de Ville au cours d’une visite-éclair de 30 minutes, le dimanche 18 septembre à 10h30, et la reconstruction de la ville sera abordée lors d’une randonnée patrimoine sur les « incontournables des années 50 » le samedi 17 septembre à 14h30.
Une balade à vélo sur le thème des « Monuments historiques de Royan » permettra de découvrir les dix monuments protégés au titre des Monuments Historiques. Enfin le port de Royan accueillera de nouveau « L’Arawak », ce vieux gréement qui bénéficie aujourd’hui de l’appellation « Bateau d’intérêt patrimonial », pour des sorties en mer et des visites à quai du vendredi 16 au lundi 19 septembre.
Le programme complet est disponible à l’Hôtel de Ville, au syndicat d’initiative, au Palais des Congrès et auprès du service Culture et Patrimoine.
Royan a souhaité mettre l’accent sur des visites décalées pour découvrir la ville d’une façon différente avec notamment une visite muette du centre-ville le samedi 17 septembre à 10h00 et des cross-country patrimoine en collaboration avec le collectif « Monts et Merveilles » le samedi 17 septembre à 11h00 et 16h30 et le dimanche 18 septembre à 11h30.
Ces journées dédiées au patrimoine seront l’occasion de découvrir l’Hôtel de Ville au cours d’une visite-éclair de 30 minutes, le dimanche 18 septembre à 10h30, et la reconstruction de la ville sera abordée lors d’une randonnée patrimoine sur les « incontournables des années 50 » le samedi 17 septembre à 14h30.
Une balade à vélo sur le thème des « Monuments historiques de Royan » permettra de découvrir les dix monuments protégés au titre des Monuments Historiques. Enfin le port de Royan accueillera de nouveau « L’Arawak », ce vieux gréement qui bénéficie aujourd’hui de l’appellation « Bateau d’intérêt patrimonial », pour des sorties en mer et des visites à quai du vendredi 16 au lundi 19 septembre.
Le programme complet est disponible à l’Hôtel de Ville, au syndicat d’initiative, au Palais des Congrès et auprès du service Culture et Patrimoine.
Tremblements de terre au Népal, en Italie, en Birmanie : le patrimoine culturel gravement endommagé
Il y a eu le Népal, l'Italie ces derniers jours dont on parle beaucoup, mais aussi la Birmanie très récemment. En effet, un puissant séisme de magnitude 6,8 a frappé mercredi 24 août le centre de la Birmanie et endommagé plusieurs des célèbres pagodes de Bagan, haut lieu touristique du pays.
« Plusieurs pagodes célèbres ont été endommagées pendant le tremblement de terre » a annoncé à l'AFP un responsable de la police de Bagan. Aung Kyaw, responsable du site archéologique de Bagan, évoque quant à lui des dégâts sur « une soixantaine de pagodes » du site archéologique le plus célèbre de Birmanie.
Un site archéologique très fréquenté par les touristes
Le séisme s'est produit en fin de journée, à une heure à laquelle les touristes sont nombreux à visiter le site archéologique pour observer le coucher de soleil sur les milliers de pagodes.
L'hypocentre du séisme se situait à 84 km de profondeur. Il a fait trembler les bâtiments à Rangoun, la capitale économique birmane, et a été ressenti jusque dans la capitale thaïlandaise, Bangkok, mais aussi à Calcutta, en Inde, et au Bangladesh.
L'USGS a estimé que l'impact du séisme devrait être « relativement localisé » en Birmanie, mais a mis en garde contre la "grande vulnérabilité" de nombreux bâtiments dans la région.
Un lieu particulièrement vulnérable
L’accès du site a été fermé aux touristes car 185 pagodes et temples ont été endommagés sur l’ensemble des 2 834 monuments de briques, du IXe au XIVe siècles.
Le plus célèbre d’entre eux, le temple Sulamani a perdu le tambour de sa toiture et sa flèche. Il avait été construit par le roi Narapatisihu en 1183, à l’apogée du royaume de Bagan qui fut le premier empire birman. Le dôme du temple de Shwesandaw, du XIe siècle, s’est effondré aussi. Le temple de Myauk Guni du XIIIe siècle a vu tomber nombre de ses ornements. Et dans le temple du roi Htilominlo, également du XIIIe siècle, des peintures murales sont en ruine.
Bagan, avec ses milliers de pagodes bouddhistes construites entre le Xe et XIVe siècles, est particulièrement vulnérable. La Birmanie espère faire classer ce site au patrimoine mondial de l'Unesco, en dépit de travaux de rénovation controversés ayant dénaturé le site. Au-delà des pagodes historiques, les bâtiments modernes en Birmanie ne sont pas construits dans le respect des normes sismiques. Le pays a souffert de décennies de dictature militaire qui a laissé le pays ruiné, notamment ses infrastructures.
Depuis 2011 et l'autodissolution de la junte, la Birmanie est en pleine reconstruction. Et depuis quelques mois, le gouvernement est dirigé par le Prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi, dont le parti a remporté haut la main les législatives de fin 2015.
En avril dernier, un séisme de magnitude 6,9 avait secoué le nord-ouest de la Birmanie, sans faire de victimes.
« Plusieurs pagodes célèbres ont été endommagées pendant le tremblement de terre » a annoncé à l'AFP un responsable de la police de Bagan. Aung Kyaw, responsable du site archéologique de Bagan, évoque quant à lui des dégâts sur « une soixantaine de pagodes » du site archéologique le plus célèbre de Birmanie.
Un site archéologique très fréquenté par les touristes
Le séisme s'est produit en fin de journée, à une heure à laquelle les touristes sont nombreux à visiter le site archéologique pour observer le coucher de soleil sur les milliers de pagodes.
L'hypocentre du séisme se situait à 84 km de profondeur. Il a fait trembler les bâtiments à Rangoun, la capitale économique birmane, et a été ressenti jusque dans la capitale thaïlandaise, Bangkok, mais aussi à Calcutta, en Inde, et au Bangladesh.
L'USGS a estimé que l'impact du séisme devrait être « relativement localisé » en Birmanie, mais a mis en garde contre la "grande vulnérabilité" de nombreux bâtiments dans la région.
Un lieu particulièrement vulnérable
L’accès du site a été fermé aux touristes car 185 pagodes et temples ont été endommagés sur l’ensemble des 2 834 monuments de briques, du IXe au XIVe siècles.
Le plus célèbre d’entre eux, le temple Sulamani a perdu le tambour de sa toiture et sa flèche. Il avait été construit par le roi Narapatisihu en 1183, à l’apogée du royaume de Bagan qui fut le premier empire birman. Le dôme du temple de Shwesandaw, du XIe siècle, s’est effondré aussi. Le temple de Myauk Guni du XIIIe siècle a vu tomber nombre de ses ornements. Et dans le temple du roi Htilominlo, également du XIIIe siècle, des peintures murales sont en ruine.
Bagan, avec ses milliers de pagodes bouddhistes construites entre le Xe et XIVe siècles, est particulièrement vulnérable. La Birmanie espère faire classer ce site au patrimoine mondial de l'Unesco, en dépit de travaux de rénovation controversés ayant dénaturé le site. Au-delà des pagodes historiques, les bâtiments modernes en Birmanie ne sont pas construits dans le respect des normes sismiques. Le pays a souffert de décennies de dictature militaire qui a laissé le pays ruiné, notamment ses infrastructures.
Depuis 2011 et l'autodissolution de la junte, la Birmanie est en pleine reconstruction. Et depuis quelques mois, le gouvernement est dirigé par le Prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi, dont le parti a remporté haut la main les législatives de fin 2015.
En avril dernier, un séisme de magnitude 6,9 avait secoué le nord-ouest de la Birmanie, sans faire de victimes.
Association des Journalistes du Patrimoine
Désastre national pour des monuments
historiques du centre de l'Italie
Outre de nombreuses victimes, le séisme qui a frappé le centre de l'Italie a endommagé ou détruit 293 bâtiments historiques. La ville d'Amatrice a été particulièrement touchée. La zone de l'épicentre, située à quelque 150 km de Rome, abrite églises, palais et monuments construits aux XIIIeme et XIVeme siècles, dont une partie a été détériorée.
Il ne reste ainsi presque rien du centre historique d'Amatrice, commune classée parmi les "plus beaux villages d'Italie" par le ministère de la Culture depuis 2015. Amatrice, qui avait rejoint le royaume de Naples en 1265, était surnommée la "ville aux cent églises", des édifices aux divers styles, baroque ou renaissance.
A Amatrice, la façade de la basilique San Francesco en partie écroulée
Principal attrait architectural, la façade de la basilique San Francesco, près de l'hôtel de ville, s'est en partie écroulée. Sa rosace centrale a disparu et les peintures qui tapissaient la nef ont été endommagées. L'église San'Agostini, construite en 1428 et située à la périphérie d'Amatrice, a été entièrement détruite.
La basilique San Benedetto de la ville de Norcia, très proche de l'épicentre, a subi quelques dommages, mais l'ensemble des constructions a bien résisté aux secousses. Selon la présidente de la région d'Ombrie, Catiuscia Marini, cela s'explique par la « bonne reconstruction » de la ville après les séismes de 1979 et 1997.
Le ministère de la Culture mobilise les "casques bleus de la culture"
Plus loin de l'épicentre, plusieurs monuments de premier plan ont été légèrement endommagés, comme le dôme d'Urbino qui s'est fissuré.
Le ministre italien de la Culture Dario Franceschini, a ouvert une cellule de crise et déployé les "casques bleus de la culture", une unité spéciale de carabiniers chargée de l'inventaire et de la restauration des biens culturels altérés.
Le Conseil de l'Ordre des architectes a également fait savoir que les architectes italiens se tenaient « prêts intervenir et à mettre leurs compétences à disposition dans les zones touchées par le séisme », dès que la Protection civile en ferait la demande.
Il ne reste ainsi presque rien du centre historique d'Amatrice, commune classée parmi les "plus beaux villages d'Italie" par le ministère de la Culture depuis 2015. Amatrice, qui avait rejoint le royaume de Naples en 1265, était surnommée la "ville aux cent églises", des édifices aux divers styles, baroque ou renaissance.
A Amatrice, la façade de la basilique San Francesco en partie écroulée
Principal attrait architectural, la façade de la basilique San Francesco, près de l'hôtel de ville, s'est en partie écroulée. Sa rosace centrale a disparu et les peintures qui tapissaient la nef ont été endommagées. L'église San'Agostini, construite en 1428 et située à la périphérie d'Amatrice, a été entièrement détruite.
La basilique San Benedetto de la ville de Norcia, très proche de l'épicentre, a subi quelques dommages, mais l'ensemble des constructions a bien résisté aux secousses. Selon la présidente de la région d'Ombrie, Catiuscia Marini, cela s'explique par la « bonne reconstruction » de la ville après les séismes de 1979 et 1997.
Le ministère de la Culture mobilise les "casques bleus de la culture"
Plus loin de l'épicentre, plusieurs monuments de premier plan ont été légèrement endommagés, comme le dôme d'Urbino qui s'est fissuré.
Le ministre italien de la Culture Dario Franceschini, a ouvert une cellule de crise et déployé les "casques bleus de la culture", une unité spéciale de carabiniers chargée de l'inventaire et de la restauration des biens culturels altérés.
Le Conseil de l'Ordre des architectes a également fait savoir que les architectes italiens se tenaient « prêts intervenir et à mettre leurs compétences à disposition dans les zones touchées par le séisme », dès que la Protection civile en ferait la demande.
Association des Journalistes du Patrimoine
Sécurité dans les transports scolaires : le secrétaire d'Etat Alain Vidalies répond à Dominique Bussereau
Copie du courrier que Dominique Bussereau, Président du Département de la Charente-Maritime, a reçu le 16 août dernier d'Alain Vidalies, Secrétaire d'Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche.
Cette correspondance fait suite aux préoccupations dont Dominique Bussereau lui avait fait part en matière de sécurité dans les transports scolaires suite à l'accident tragique survenu à Rochefort le 11 février dernier.
Candidature de Jean-Marie Matagne à la primaire d'Europe Ecologie les Verts : pas facile de trouver des parrainages !
Lettre ouverte de Jean-Marie Matagne, candidat à la primaire d'Europe Ecologie les Verts
« La clôture des candidatures à la primaire de EELV aura lieu mercredi 31 août à minuit. Seules celles disposant d’au moins 36 parrainages seront retenues.
D’après un courriel reçu lundi, les parrainages acquis étaient les suivants : Karima DELLI : 40 ; Cécile DUFLOT : 61 ; Yannick JADOT : 60 ; Michèle RIVASI : 30.
Les quatre autres candidats encore en lice, dont moi-même, n’avaient reçu aucun parrainage. Comme par hasard, ce sont aussi des candidats issus de la « société civile », auxquels cette primaire était censée s’ouvrir.
Il reste donc peu de temps avec celui de la réflexion, à 240-191 = 49 conseillers fédéraux pour sauver l’honneur de EELV - en m’accordant au moins 1 (un) parrainage.
Certes, en déclarant tardivement ma candidature (envoyée à la commission le 26 août à 13 h 39, diffusée aux intéressés le lendemain à 11 h 19), je suis pour une part responsable de cette situation ubuesque : pas le moindre parrainage pour le seul candidat qui défend résolument, depuis plus de trente ans, l’abolition des armes nucléaires et l’abandon du nucléaire civil, c’est-à-dire les deux « fondamentaux historiques » des Verts - comme je l’ai encore entendu dire à Lorient le samedi 27 août, au cours d’un atelier organisé par la « Commission Paix et Désarmement » de EELV, qui vous fera remonter les « propositions » de l’atelier (dont le soutien au référendum sur la participation de la France à l’abolition des armes nucléaires, proposé par ACDN).
Cela ne m’étonne qu’à moitié : pendant la Plénière finale des Journées d’été, qui était intitulée « Le projet écologiste confronté aux enjeux de 2017 » et qui a duré deux heures et demie, pas une fois le mot « nucléaire » n’a été prononcé. [Il est vrai que la salle n’a pas eu la parole.]
C’est donc clair : pour EELV, le nucléaire, qu’il soit civil ou militaire, ne fera pas partie des enjeux de 2017, ni de son propre « projet écologiste ». Même si parfois, dans telle ou telle déclaration de « grand candidat » (pas toutes d’ailleurs), on trouve le mot prononcé sur la pointe de la langue.
J’attends avec curiosité mais sans illusion, avec amusement dirais-je, de voir, parmi les 49 conseillers fédéraux encore libres de leur parrainage, combien auront le courage ou la lucidité de me l’accorder, histoire de sauver l’honneur d’un parti auquel je n’appartiens pas, il est vrai, mais qui prétend toujours s’ouvrir à la « société civile » et défendre en son nom « l’environnement »... voire le sort de l’humanité.
Et comme je n’ai pas peur de grand-chose, surtout pas du ridicule, sachant même qu’elle est vouée à l’échec, je publie le texte de ma candidature sur le site d’ACDN. Le nom des courageux(ses) qui oseront me parrainer y sera publié. Puissent-ils être au moins deux, si possible des deux « genres » (ou des deux sexes, osons le mot !), afin de respecter « la parité ».
Jean-Marie Matagne
Docteur en philosophie
Président de l’Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire
Au centre de la photo, J.M. Matagne, président d'ACDN |
D’après un courriel reçu lundi, les parrainages acquis étaient les suivants : Karima DELLI : 40 ; Cécile DUFLOT : 61 ; Yannick JADOT : 60 ; Michèle RIVASI : 30.
Les quatre autres candidats encore en lice, dont moi-même, n’avaient reçu aucun parrainage. Comme par hasard, ce sont aussi des candidats issus de la « société civile », auxquels cette primaire était censée s’ouvrir.
Il reste donc peu de temps avec celui de la réflexion, à 240-191 = 49 conseillers fédéraux pour sauver l’honneur de EELV - en m’accordant au moins 1 (un) parrainage.
Certes, en déclarant tardivement ma candidature (envoyée à la commission le 26 août à 13 h 39, diffusée aux intéressés le lendemain à 11 h 19), je suis pour une part responsable de cette situation ubuesque : pas le moindre parrainage pour le seul candidat qui défend résolument, depuis plus de trente ans, l’abolition des armes nucléaires et l’abandon du nucléaire civil, c’est-à-dire les deux « fondamentaux historiques » des Verts - comme je l’ai encore entendu dire à Lorient le samedi 27 août, au cours d’un atelier organisé par la « Commission Paix et Désarmement » de EELV, qui vous fera remonter les « propositions » de l’atelier (dont le soutien au référendum sur la participation de la France à l’abolition des armes nucléaires, proposé par ACDN).
Cela ne m’étonne qu’à moitié : pendant la Plénière finale des Journées d’été, qui était intitulée « Le projet écologiste confronté aux enjeux de 2017 » et qui a duré deux heures et demie, pas une fois le mot « nucléaire » n’a été prononcé. [Il est vrai que la salle n’a pas eu la parole.]
C’est donc clair : pour EELV, le nucléaire, qu’il soit civil ou militaire, ne fera pas partie des enjeux de 2017, ni de son propre « projet écologiste ». Même si parfois, dans telle ou telle déclaration de « grand candidat » (pas toutes d’ailleurs), on trouve le mot prononcé sur la pointe de la langue.
J’attends avec curiosité mais sans illusion, avec amusement dirais-je, de voir, parmi les 49 conseillers fédéraux encore libres de leur parrainage, combien auront le courage ou la lucidité de me l’accorder, histoire de sauver l’honneur d’un parti auquel je n’appartiens pas, il est vrai, mais qui prétend toujours s’ouvrir à la « société civile » et défendre en son nom « l’environnement »... voire le sort de l’humanité.
Et comme je n’ai pas peur de grand-chose, surtout pas du ridicule, sachant même qu’elle est vouée à l’échec, je publie le texte de ma candidature sur le site d’ACDN. Le nom des courageux(ses) qui oseront me parrainer y sera publié. Puissent-ils être au moins deux, si possible des deux « genres » (ou des deux sexes, osons le mot !), afin de respecter « la parité ».
Jean-Marie Matagne
Docteur en philosophie
Président de l’Action des Citoyens pour le Désarmement Nucléaire
Restaurant le Batiâ : déjeuner
ou dîner sur l'eau à Saintes !
Qu'une péniche restaurant s'installe à Saintes n'est pas une idée nouvelle. Encore fallait-il lui donner forme ! En juin dernier, Olivier et Alexandra Pourpoint ont concrétisé leur rêve en inaugurant le Bâtia "basé" sur le fleuve, en plein centre ville, près de l'arc romain de Germanicus.
Après le pique-nique sur l'herbe, vive le déjeuner sur l'eau ! L'intérieur de l'établissement a été judicieusement pensé. Deux étages réservés à la clientèle et la possibilité de prendre un verre en terrasse à chacune des extrémités (très agréable le soir quand la ville s'illumine). La décoration, sobre et de bon goût, valorise l'environnement à travers vitres et hublots : la Charente bien sûr, le milieu aquatique et les maisons environnantes... sans oublier la passerelle.
Côté menu et carte, sont servis des produits du marché, poissons et viandes auxquels les gourmands peuvent ajouter une palette de desserts. Le rapport qualité/prix est très convenable. Quant à l'accueil, rien à dire selon la formule, le personnel est jeune, souriant et efficace.
Avec ce nouvel établissement, Saintes s'enrichit d'une table originale - une péniche dont les plans été conçus par un ingénieur de marine - qui vous donnera l'envie de larguer les amarres en savourant une cuisine de qualité.
Après le pique-nique sur l'herbe, vive le déjeuner sur l'eau ! L'intérieur de l'établissement a été judicieusement pensé. Deux étages réservés à la clientèle et la possibilité de prendre un verre en terrasse à chacune des extrémités (très agréable le soir quand la ville s'illumine). La décoration, sobre et de bon goût, valorise l'environnement à travers vitres et hublots : la Charente bien sûr, le milieu aquatique et les maisons environnantes... sans oublier la passerelle.
Vues de Saintes à partir de la péniche (© Nicole Bertin) |
Pavé de thon sur lit de légumes |
Boire un verre en terrasse |
Saintes à la tombée du jour |
L'arc romain de Germanicus |
La place Bassompierre et ses illuminations |
Photos Nicole Bertin
Saintes : sécurisation des abords
des écoles et groupes scolaires
A la veille de la rentrée, les services de la Ville ont vérifié l’ensemble des dispositifs de sécurisation des bâtiments scolaires mis en place l’année scolaire précédente.
Pour chacune des écoles des barrières type "police" sont disposées pour empêcher le stationnement des véhicules à proximité immédiate des bâtiments et de leurs entrées. Pour certaines d’entre elles, un même dispositif limite les allées et venues dans l’enceinte scolaire au moment des entrées/sorties.
Des panneaux d’information "Vigipirate attentat" sont posés sur les barrières et les portes d’entrée des écoles. Les services municipaux sont en train de procéder à la vérification de ce dispositif et, le cas échéant, à sa remise en place.
La Police municipale poursuivra également ses missions quotidiennes de surveillance et de vigilance, notamment aux abords des écoles aux heures les plus fréquentées par les enfants et leurs familles.
La Ville remercie les usagers et notamment les parents d’élèves de bien vouloir respecter en toutes circonstances l’ensemble de ces consignes afin d’assurer la sécurité de tous et notamment des enfants.
Des panneaux d’information "Vigipirate attentat" sont posés sur les barrières et les portes d’entrée des écoles. Les services municipaux sont en train de procéder à la vérification de ce dispositif et, le cas échéant, à sa remise en place.
La Police municipale poursuivra également ses missions quotidiennes de surveillance et de vigilance, notamment aux abords des écoles aux heures les plus fréquentées par les enfants et leurs familles.
lundi 29 août 2016
Johan Stiz expose
au pôle nature de Vitrezay
Exposition photographique "à la croisée des chemins" du samedi 10 septembre
au dimanche 30 octobre inclus.
A la croisée des chemins est l'exposition photographique d'un attrapeur d'images, empruntant au présent le parfum de l’instant fugace pour le remémorer à l'infini.
Une vingtaine de photographies ont pour thème la nature et l'environnement.
Disposées le long d'un parcours, la découverte se fait déambulatoire entre étangs et estuaire. Un dialogue s'installe entre les instantanés, l'environnement et le visiteur.
A la croisée des chemins est l'exposition photographique d'un attrapeur d'images, empruntant au présent le parfum de l’instant fugace pour le remémorer à l'infini.
Une vingtaine de photographies ont pour thème la nature et l'environnement.
Disposées le long d'un parcours, la découverte se fait déambulatoire entre étangs et estuaire. Un dialogue s'installe entre les instantanés, l'environnement et le visiteur.
Les rendez-vous de Jonzac et ses environs
• Concert mardi 30 août à 20 h 30 à Fontaines d'Ozillac
FRANÇOIS SALQUE
ET LE SAM STROUK GIPSY TRIO
François Salque, violoncelle - Samuel Strouk, guitare - Adrien Moignard, guitare - Jérémie Arranger, contrebasse
Jazz, classique, inspirations contemporaines et musiques du monde s'entrecroisent dans ce programme proposé par des musiciens d'exception. Samuel Strouk et ses partenaires évoluent d'un continent à l'autre dans des univers sans frontières. Quant à François Salque, avec plus de dix premiers prix et autant de prix spéciaux dans les grands concours internationaux, plusieurs fois couronné par les Victoires de la musique, il se produit dans plus de 70 pays et fait aujourd'hui référence. Par leur créativité, leur polyvalence et leur maîtrise des différents langages musicaux, ces quatre artistes sont conduits à partager la scène avec les plus grandes figures du jazz et des musiques actuelles. Ils nous offrent des éclairages nouveaux sur le répertoire classique, les standards du jazz, les thèmes d'Europe centrale et les musiques d'Amérique du Sud, créant ainsi un langage original et incandescent.
• Les marchés nocturnes de Jonzac
Véritable institution estivale, les marchés nocturnes de Jonzac connaissent un franc succès depuis des années ! La recette est d'une grande simplicité : un bel endroit autour de la place du marché, un large choix de spécialités culinaires pour tous les goûts, une programmation musicale agréable et voici les ingrédients d'une convivialité partagée par toutes les générations entre curistes, vacanciers et habitants ! Le marché débute à 18 h 30 le mercredi soir jusqu'au 7 septembre et propose les aniamtions suivantes : Le 30 août Mesenger's folk-rock et le 7 septembre Kes'tai punk festif. Les marchés nocturnes de Jonzac sont organisés par l'Union des Commerçants de Jonzac.
• Les instants musicaux
Le théâtre du château de Jonzac accueille les Instants Musicaux jusqu'au 14 septembre à 17 h 15. Ces rendez-vous du mercredi ponctuent l'après-midi avec un concert de 45 minutes environ et permettent de découvrir des styles musicaux variés tout au long de l'été avec des accents latinos, celtes, traditionnels, jazzy et même un peu de chanson française !
• 31 août : Harpe et Flamenco trio
• 7 septembre : Quintet de l'art
• 14 septembre : Manolito rumba gitane
Réservations à l'office de tourisme de Jonzac 05 46 48 49 29
• 3,10 € /adulte, groupes 2,80 €/personne à partir de 8 personnes, 1,00 €/enfant de 10 à 18 ans
• Des sorties sympas !
FRANÇOIS SALQUE
ET LE SAM STROUK GIPSY TRIO
François Salque, violoncelle - Samuel Strouk, guitare - Adrien Moignard, guitare - Jérémie Arranger, contrebasse
Jazz, classique, inspirations contemporaines et musiques du monde s'entrecroisent dans ce programme proposé par des musiciens d'exception. Samuel Strouk et ses partenaires évoluent d'un continent à l'autre dans des univers sans frontières. Quant à François Salque, avec plus de dix premiers prix et autant de prix spéciaux dans les grands concours internationaux, plusieurs fois couronné par les Victoires de la musique, il se produit dans plus de 70 pays et fait aujourd'hui référence. Par leur créativité, leur polyvalence et leur maîtrise des différents langages musicaux, ces quatre artistes sont conduits à partager la scène avec les plus grandes figures du jazz et des musiques actuelles. Ils nous offrent des éclairages nouveaux sur le répertoire classique, les standards du jazz, les thèmes d'Europe centrale et les musiques d'Amérique du Sud, créant ainsi un langage original et incandescent.
• Les marchés nocturnes de Jonzac
Véritable institution estivale, les marchés nocturnes de Jonzac connaissent un franc succès depuis des années ! La recette est d'une grande simplicité : un bel endroit autour de la place du marché, un large choix de spécialités culinaires pour tous les goûts, une programmation musicale agréable et voici les ingrédients d'une convivialité partagée par toutes les générations entre curistes, vacanciers et habitants ! Le marché débute à 18 h 30 le mercredi soir jusqu'au 7 septembre et propose les aniamtions suivantes : Le 30 août Mesenger's folk-rock et le 7 septembre Kes'tai punk festif. Les marchés nocturnes de Jonzac sont organisés par l'Union des Commerçants de Jonzac.
• Les instants musicaux
Le théâtre du château de Jonzac accueille les Instants Musicaux jusqu'au 14 septembre à 17 h 15. Ces rendez-vous du mercredi ponctuent l'après-midi avec un concert de 45 minutes environ et permettent de découvrir des styles musicaux variés tout au long de l'été avec des accents latinos, celtes, traditionnels, jazzy et même un peu de chanson française !
• 31 août : Harpe et Flamenco trio
• 7 septembre : Quintet de l'art
• 14 septembre : Manolito rumba gitane
Réservations à l'office de tourisme de Jonzac 05 46 48 49 29
• 3,10 € /adulte, groupes 2,80 €/personne à partir de 8 personnes, 1,00 €/enfant de 10 à 18 ans
• Des sorties sympas !
Visitez le prieuré Sainte-Gemme pour les journées du patrimoine et vous y trouverez chaussure à votre pied !
Les 20 et 21 septembre, une découverte à ne pas manquer !
La visite du prieuré de Sainte-Gemme fondé à la fin du XIe siècle permet la découverte de l'avant-nef, la nef de l'église et ses sculptures romanes, les vestiges du cloître roman, ses chapiteaux romans, les restes des bâtiments claustraux et le chœur détruit de l'église.• Animations
Samedi 14 h-18 h 30 et dimanche 10 h-12 h/14 h-18 h 30 : exposition « Pour trouver chaussure à son pied ». À la Révolution, les bâtiments des moines sont vendus comme bien national, « le prieuré » devient un lieu où l'on habite et l'on travaille. Des commerçants (cafés, épicerie) et des artisans s'établissent dans les restes du monastère. L'exposition « Pour trouver chaussure à son pied » est dédiée à un cordonnier établi après la Grande Guerre à côté de l'église (visite virtuelle 3D de l'atelier du cordonnier).Samedi à 14 h et 16 h 30 et dimanche à 10 h 30, 14 h et 16 h 30 : visites commentées du prieuré (avant-nef, nef de l'église, vestiges du cloître roman, restes des bâtiments claustraux, chœur de l'église), des collections ethnographiques et de sculpture médiévale, projections sur grand écran et reconstitution 3D sur l'évolution du monument, découverte de l'extérieur du monastère, du cloitre et de la salle capitulaire au Moyen Âge.
Renseignements au 05 46 96 64 13
Site internet : prieurestegemme17.jimdo.com
Bourse régionale Désir d'entreprendre : l'accompagnement aux nouveaux entrepreneurs de l'ex-Poitou-Charentes se poursuit
La Région Nouvelle-Aquitaine poursuit en 2016 son accompagnement aux nouveaux entrepreneurs dans leur démarche d'implantation sur le territoire de l'ex-Poitou-Charentes au travers du dispositif « Bourse Régionale Désir d'Entreprendre ».
Ainsi cette année, 470 bourses ont déjà été attribuées pour un montant total de 1 119 300 €. Premier bilan sur 2016 : 470 bourses attribuées pour un montant total de 1 119 300 € ; 72 % des projets concernent la création d'entreprise ; 27,71 % concernent la reprise d'entreprise ; 37 % des bénéficiaires ont entre 30 et 40 ans ; 16 % pour les 25-30 ans et 16 % pour les 40-45 ans, 80 % des personnes aidées sont des demandeurs d'emploi ; 38 % des bénéficiaires sont des femmes ; 61 % des porteurs de projets s'immatriculent à la Chambre de Métiers et de l'Artisanat ; 39 % à la Chambre de Commerce et de l'Industrie. Parallèlement, la Région encourage l'entrepreneuriat sous statut coopératif en soutenant les SCOP, les SCIC...
En 2016, la Région a d'ailleurs accordé quatre bourses régionales coopératives pour un montant de 25000 €. Ce dispositif régional concourt au développement de l'économie de proximité en soutenant des porteurs de projet qui souhaitent créer leur propre emploi en créant ou reprenant une activité. L'aide régionale est destinée à assurer non seulement un effet levier pour obtenir des aides financières complémentaires, mais également un accompagnement en amont et aval de la création/reprise d'activité via le réseau régional des Ateliers de la Création (et leurs partenaires) afin de renforcer les possibilités de développement et de pérennisation des entreprises. A noter que les jurys des ateliers de la création, qui accueillent les porteurs de projets et auditionnent les projets, sont composés des élus de territoire, mais aussi d'acteurs locaux et de partenaires de la création et de l'accompagnement d'entreprise.
Ainsi cette année, 470 bourses ont déjà été attribuées pour un montant total de 1 119 300 €. Premier bilan sur 2016 : 470 bourses attribuées pour un montant total de 1 119 300 € ; 72 % des projets concernent la création d'entreprise ; 27,71 % concernent la reprise d'entreprise ; 37 % des bénéficiaires ont entre 30 et 40 ans ; 16 % pour les 25-30 ans et 16 % pour les 40-45 ans, 80 % des personnes aidées sont des demandeurs d'emploi ; 38 % des bénéficiaires sont des femmes ; 61 % des porteurs de projets s'immatriculent à la Chambre de Métiers et de l'Artisanat ; 39 % à la Chambre de Commerce et de l'Industrie. Parallèlement, la Région encourage l'entrepreneuriat sous statut coopératif en soutenant les SCOP, les SCIC...
En 2016, la Région a d'ailleurs accordé quatre bourses régionales coopératives pour un montant de 25000 €. Ce dispositif régional concourt au développement de l'économie de proximité en soutenant des porteurs de projet qui souhaitent créer leur propre emploi en créant ou reprenant une activité. L'aide régionale est destinée à assurer non seulement un effet levier pour obtenir des aides financières complémentaires, mais également un accompagnement en amont et aval de la création/reprise d'activité via le réseau régional des Ateliers de la Création (et leurs partenaires) afin de renforcer les possibilités de développement et de pérennisation des entreprises. A noter que les jurys des ateliers de la création, qui accueillent les porteurs de projets et auditionnent les projets, sont composés des élus de territoire, mais aussi d'acteurs locaux et de partenaires de la création et de l'accompagnement d'entreprise.
L'ambassadeur Nol de retour de Chine !
De passionnants échanges franco-chinois
De retour de Chine, Nol, artiste peintre jonzacais, a le plaisir de partager
quelques expériences et projets en coopération avec ses amis chinois
Tout a commencé à Jonzac en 2012 quand Xiaorui Wang, une jeune Chinoise
de 12 ans, a été accueillie à Jonzac avec ses parents pour y recevoir le prix du jeune talent à la
Biennale internationale du dessin d’humour. Depuis, de nouveaux liens se sont créés, en particulier il y a trois ans
avec Liuyi Wang (sans parenté avec la première), secrétaire-général de la CMIA (Cultural and
Multimedia International Association).
Nol a alors été invité pour présenter l’exposition itinérante d'Humour et Vigne lors du salon
international des spiritueux à Guiyang dans la province de Guizhou.
En 2014, Liuyi Wang, aux côtés de cinq autres délégués, a participé
au festival de Jonzac où il
a donné une conférence sur les dessins animés chinois dont il est un expert.
En organisant au mois d’août à Libo un festival international de dessins et dessins animés dédiés
aux enfants, Liuyi a fait appel à Nol pour l’animation d'ateliers artistiques avec des jeunes de 6 à
14 ans durant un camp d’été. Outre les ateliers de dessin, peinture, modelage, BD et film
d’animation, un spectacle costumé avec danse et musique a été réalisé sur la grande place publique
de la ville de Libo.
Dans le cadre du festival présidé par Liuyi Wang, une vingtaine d'artistes venant de
Chine, Corée du Sud, Taïwan, Inde, Russie, Israël, Brésil, États-Unis, Allemagne et Espagne ont été
invités pour participer au jury du concours, aux diverses animations, séminaires et forums.
Deux œuvres des écoles jonzacaises ont été sélectionnées pour figurer dans le catalogue et sur les
fanions-affiches le long des rues de la ville.
Partout en ville, des expositions de dessins de nombreux artistes
du monde entier ont eu lieu avec la
projection des films d’animation sur des écrans géants.
Au cours d’un séminaire consacré aux manifestations culturelles et au tourisme, plusieurs projets ont
été abordés dans différents domaines comme l’architecture, la sculpture, l’art graphique, les résidences
d’artistes, des ateliers et des expositions dans un centre permanent, les festivals de cinéma, etc.
Nol tient à remercier Liuyi Wang et son équipe pour leur chaleureux accueil et amicale compagnie.
Il garde de cet événement et de son séjour de découverte à Beijing (Pékin) des inoubliables souvenirs.
La coopération fraternelle entre Liuyi et Nol se poursuit dans la préparation de la prochaine édition du Festival. En perspective, de nouveaux projets d’échanges entre la France et la Chine, la région de Haute-Saintonge et la ville de Libo.
• La région subtropical de Libo, située au sud de la province Guizhou, est très pittoresque... à l’écart des grandes industries polluantes. Avec une faune et une flore
exceptionnellement riches, elle est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco.
Diverses minorités ethniques ont su y préserver, aux cours des siècles, une grande variété de
traditions et coutumes et même une certaine forme d’indépendance sous les différents régimes
centraux.
Atelier de peinture dans le parc de Guiyang |
Présentation des œuvres des écoles jonzacaises au concours du festival de Libo avec Liuyi Wang, président |
Nol a alors été invité pour présenter l’exposition itinérante d'Humour et Vigne lors du salon
international des spiritueux à Guiyang dans la province de Guizhou.
Tea for two ! |
a donné une conférence sur les dessins animés chinois dont il est un expert.
En organisant au mois d’août à Libo un festival international de dessins et dessins animés dédiés
aux enfants, Liuyi a fait appel à Nol pour l’animation d'ateliers artistiques avec des jeunes de 6 à
14 ans durant un camp d’été. Outre les ateliers de dessin, peinture, modelage, BD et film
d’animation, un spectacle costumé avec danse et musique a été réalisé sur la grande place publique
de la ville de Libo.
Camp d'été et spectacle à Libo |
Dans le cadre du festival présidé par Liuyi Wang, une vingtaine d'artistes venant de
Chine, Corée du Sud, Taïwan, Inde, Russie, Israël, Brésil, États-Unis, Allemagne et Espagne ont été
invités pour participer au jury du concours, aux diverses animations, séminaires et forums.
Deux œuvres des écoles jonzacaises ont été sélectionnées pour figurer dans le catalogue et sur les
fanions-affiches le long des rues de la ville.
Affiche fanion |
projection des films d’animation sur des écrans géants.
Au cours d’un séminaire consacré aux manifestations culturelles et au tourisme, plusieurs projets ont
été abordés dans différents domaines comme l’architecture, la sculpture, l’art graphique, les résidences
d’artistes, des ateliers et des expositions dans un centre permanent, les festivals de cinéma, etc.
Nol tient à remercier Liuyi Wang et son équipe pour leur chaleureux accueil et amicale compagnie.
Il garde de cet événement et de son séjour de découverte à Beijing (Pékin) des inoubliables souvenirs.
La coopération fraternelle entre Liuyi et Nol se poursuit dans la préparation de la prochaine édition du Festival. En perspective, de nouveaux projets d’échanges entre la France et la Chine, la région de Haute-Saintonge et la ville de Libo.
• La région subtropical de Libo, située au sud de la province Guizhou, est très pittoresque... à l’écart des grandes industries polluantes. Avec une faune et une flore
exceptionnellement riches, elle est inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’Unesco.
Diverses minorités ethniques ont su y préserver, aux cours des siècles, une grande variété de
traditions et coutumes et même une certaine forme d’indépendance sous les différents régimes
centraux.
Soirée d'adieu du camp d'été à Libo |
Visite dans une entreprise de céramique de Pékin |
Visite dans la famille de Julie à Pékin |
Nol, l'homme qui déplace les montagnes ! |