Coronavirus : communiqué de l'ARS, le point de la situation en Nouvelle-Aquitaine
Depuis début janvier, l’Agence régionale de santé Nouvelle-Aquitaine a mis en place une organisation à l’échelle de la région pour assurer la gestion sanitaire de la situation et limiter la propagation du virus.
Trois nouveaux cas ont été confirmés hier soir dans notre région: en Charente-Maritime (17), en Gironde (33) et dans les Landes (40).
• Point sur les cas confirmés en Nouvelle-Aquitaine
Le cas confirmé en Charente-Maritime (17)
• Ce patient est une personne contact des cas groupés de Creil (région Hauts-de-France). Il sera transporté dans la journée par le SMUR au CHU de Poitiers qui a les capacités de l’accueillir dans des conditions de prise en charge sécurisées. Son état de santé n’est pas inquiétant.
Le cas confirmé en Gironde (33)
• Ce patient a effectué un séjour en Italie. Il a été hospitalisé au CHU de Bordeaux. A ce stade, son état de santé est bon.
• Le cas confirmé dans les Landes (40)
• Cette patiente est une personne contact des cas groupés de Creil (région Hauts-de-France). Son état de santé est à ce stade bon. Elle sera transportée par le SMUR dans la journée au CHU de Bordeaux.
La cellule régionale de Santé publique France mène dores et déjà les investigations pour identifier les personnes ayant pu être en contact avec ces cas confirmés. Ces personnes seront toutes appelées dans la journée pour être informées de la conduite à tenir et leur suivi médical sera assuré par l’ARS.
• Point sur les arrêts de travail pour les personnes concernées par une situation de confinement
Les personnes concernées par ces arrêts de travail sont les assurés ayant fait l’objet de mesures d’isolement du fait d’un contact avec une personne malade du coronavirus ou ayant séjourné dans une zone à risques et, par extension et au cas par cas, pour un parent d’enfant revenant de zone à risques.
• Pour en savoir plus sur les conditions et les démarches : https://www.nouvelle-aquitaine.ars.sante.fr/coronavirus-demarches-concernant-les-arrets-de-travail
L'information journalistique en Charente-Maritime : portraits, actualités politiques,
vie culturelle, artistique, patrimoine, histoire, voyages
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samedi 29 février 2020
Municipales 15 mars 2020 : Les listes sur Montendre, Pons, Montguyon, Montlieu, Saint-Genis de Saintonge, Mirambeau, Saint-Aigulin
Les listes aux élections municipales du 15 mars prochain sont
accessibles sur le site de la Préfecture. Voici les listes qui se présentent aux suffrages des électeurs (la liste de droite correspond aux candidats qui siègeront à la Communauté de Communes s'ils sont élus) :
• Montendre
• Vivre Montendre ensemble conduite par Patrick Giraudeau, maire sortant
• Montendre un nouvel avenir conduite par Marie Gruel
• Pons
• L'union pour Pons conduite par Jacky Botton, maire sortant
• Les racines et l'énergie du renouveau conduite par Hervé Babin
• Montguyon
•Agir ensemble pour l'avenir conduite par Julien Mouchebœuf
• Un nouveau souffle du Montguyon conduite par Raymond Nuvet
• Montlieu
• Continuons d'agir pour Montlieu La Garde conduite par Nicolas Morassutti, maire sortant
• Saint-Genis de Saintonge
• Tous unis pour Saint-Genis conduite par Jacky Quesson, maire sortant
• Mirambeau
• Vivre à Mirambeau conduite par Mylène Robert
• Saint Aigulin
• Saint-Aigulin demain conduite par Brigitte Quantin
• Montendre
• Vivre Montendre ensemble conduite par Patrick Giraudeau, maire sortant
• Montendre un nouvel avenir conduite par Marie Gruel
• Pons
• L'union pour Pons conduite par Jacky Botton, maire sortant
• Les racines et l'énergie du renouveau conduite par Hervé Babin
• Montguyon
•Agir ensemble pour l'avenir conduite par Julien Mouchebœuf
• Un nouveau souffle du Montguyon conduite par Raymond Nuvet
• Montlieu
• Continuons d'agir pour Montlieu La Garde conduite par Nicolas Morassutti, maire sortant
• Saint-Genis de Saintonge
• Tous unis pour Saint-Genis conduite par Jacky Quesson, maire sortant
• Mirambeau
• Vivre à Mirambeau conduite par Mylène Robert
• Saint Aigulin
• Saint-Aigulin demain conduite par Brigitte Quantin
Municipales/Saintes : Les listes candidates aux suffrages des électeurs le 15 mars
Les listes aux élections municipales du 15 mars prochain sont accessibles sur le site de la Préfecture. Voici les six listes sur Saintes qui se présentent aux suffrages des électeurs :
La colonne de droite indique les candidats qui siègeront à la CDA s'ils sont élus
• Saintes en confiance conduite par Pierre Dietz
• L'action, le cœur en plus conduite par Bruno Drapron
• Avec et pour les Saintaiss conduite par Pierre Maudoux
• Saintes Verts l'Avenir conduite par Renée Benchimol Lauribe
• Saintes écologique et solidaire conduite par Rémy Catrou
• Saintes, belle durable et vivante conduite par Jean-Philippe Machon, maire sortant
La colonne de droite indique les candidats qui siègeront à la CDA s'ils sont élus
• Saintes en confiance conduite par Pierre Dietz
• L'action, le cœur en plus conduite par Bruno Drapron
• Avec et pour les Saintaiss conduite par Pierre Maudoux
• Saintes Verts l'Avenir conduite par Renée Benchimol Lauribe
• Saintes écologique et solidaire conduite par Rémy Catrou
• Saintes, belle durable et vivante conduite par Jean-Philippe Machon, maire sortant
Liste Municipales/Jonzac : Départ de Pierre Jacques Rambeaud, entrée de Nicolas Belot
Les listes aux élections municipales du 15 mars prochain sont accessibles sur le site de la Préfecture. En ce qui concerne Jonzac où une seule liste est en lice, elle est conduite par Christophe Cabri, actuel premier adjoint. Pas de grand changement dans sa composition si ce n'est quelques nouveaux visages. Claude Belot, maire sortant, est en troisième position, ce qui lui permettra de briguer la présidence de la Communauté de Communes. Par la même occasion, il prépare son avenir "familial" avec l'entrée de son fils Nicolas, actuel conseiller régional, en 17ème position.
Quelles seront les relations de Nicolas Belot avec Christophe Cabri... en sachant qu'un "poulain" peut en cacher un autre ? Bonnes assurément ! Toutefois, il semble évident qu'ils seront rivaux sur certaines futures élections (Législatives, Cantonales ?) et pourquoi pas aux Municipales de 2026.
A noter le départ de Pierre-Jacques Rambeaud dont le cœur bat à gauche (bien qu'il ait rejoint Claude Belot dans les rangs du conseil municipal). La nature ayant horreur du vide et comme l'a dit Jacques Ros, chef de file de l'opposition, à la majorité mercredi dernier, « l'opposition est un aiguillon, soyez vigilants ». En effet, qu'un conseil municipal ne rencontre aucune contradiction peut entraîner certaines attitudes. Pierre-Jacques Rambeaud (communiste) fera-t-il partie de ceux qui incarneront le renouveau de la gauche aux côtés des socialistes réunis autour de G. Clavel ?
A suivre car la politique est souvent le théâtre de rebondissements !
Quelles seront les relations de Nicolas Belot avec Christophe Cabri... en sachant qu'un "poulain" peut en cacher un autre ? Bonnes assurément ! Toutefois, il semble évident qu'ils seront rivaux sur certaines futures élections (Législatives, Cantonales ?) et pourquoi pas aux Municipales de 2026.
P.J. Rambeaud |
A suivre car la politique est souvent le théâtre de rebondissements !
Claude Belot et Christophe Cabri aux Carmes d'une expo sur la météorite de Jonzac |
vendredi 28 février 2020
Jonzac/élections municipales : Nicolas Belot sera-t-il sur la liste conduite par Christophe Cabri ?
C'est donc Christophe Cabri, actuel premier adjoint, qui devrait conduire cette formation et non pas Claude Belot qui l'aurait fait en présence d'une liste adverse. Claude Belot devrait se situer en troisième position, ce qui lui permettra, étant conseiller municipal, de briguer la présidence de le Communauté de Communes de Haute Saintonge.
Dans ces conditions, qui sera le futur premier adjoint de la ville de Jonzac, Claude Belot ou une femme pour la première fois : question ?
• Les (16) élus actuels qu'on devrait retrouver sur la liste présentée le 10 mars prochain (date annoncée) à la salle municipale : Claude Belot, Christophe Cabri, Christelle Brière, Annick Thibault, Pierre Jean Ravet, Madeleine Perrin, Maïté Auboin Hannoyer, Jean-Claude Arrivé, Christine Nouguès, Hélène Dubus Héraud, Barbara Lachamp, Michel Robert, Fabienne Richard, Julien Glémet, Tuula Lhadelma, André Beauffigeau.
Les noms de nouveaux candidats circulent. Entre autres : Catherine Catin (ancienne chargée des marchés d'appels d'offres à la mairie), Christelle Pothier (boulangerie pâtisserie Porte de Ville), Christine Joubert, Thomas Masson (podologue), Pierre Piteau (spécialiste foot), Patrick Carré (bien connu chez les sapeurs-pompiers de Jonzac), Christophe Gadras (vétérinaire), Christophe Rodier (dit Yéyé). On parle aussi du fils de Claude Belot, Nicolas, actuel conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine. On en saura plus dans quelques jours lors de la présentation officielle de la liste.
Archives : Nicolas Belot aux côtés de Bernard Lévêque, alors directeur du journal La Haute Saintonge |
jeudi 27 février 2020
Royan/Club Soroptimist : Soirée chapeau le 4 mars
A l’occasion de la Journée internationale des droits des Femmes, le Club Soroptimist de Royan vous propose une soirée Chapeau mercredi 4 mars à partir de 18h30 au Bar le Garage, 149 av de Pontaillac à Royan. Entrée libre.
Coiffez-vous de votre plus beau chapeau ou choisi sur place. Entre collègues, avec des amis ou en famille, venez boire un verre ou grignoter une assiette. Ambiance conviviale et décontractée, vente de chapeaux et accessoires faits main.
Une partie des recettes sur les consommations sera reversée au club Soroptimist pour financer ses actions en faveur de l’amélioration de la condition des femmes.
Coiffez-vous de votre plus beau chapeau ou choisi sur place. Entre collègues, avec des amis ou en famille, venez boire un verre ou grignoter une assiette. Ambiance conviviale et décontractée, vente de chapeaux et accessoires faits main.
Une partie des recettes sur les consommations sera reversée au club Soroptimist pour financer ses actions en faveur de l’amélioration de la condition des femmes.
Jonzac/conférence : Le diable et ses démons dans l’art occidental du XIIème au XVIème siècles
Jeudi 5 mars à 18h30 aux Archives Départementales de Jonzac, conférence de Mickaël Augeron, historien et maître de conférences à l’Université de La Rochelle sur le thème : Le diable et ses démons dans l’art occidental du XIIème au XVIème siècle. Entrée gratuite.
La "figure" du Diable se précise à partir des XIIe et XIIIe siècles et subit une véritable mutation dans les siècles suivants. Elle se révèle de plus en plus fréquente dans les églises du monde occidental. Aux côtés de l'Enfer et de ses démons, elle participe d'une rhétorique religieuse destinée à encadrer les chrétiens sur le plan moral. Le Diable devient une bête hideuse, son corps, qui tend notamment à "se féminiser" et à "se bestialiser", connaissant dans les arts une véritable mutation physique.
• INFOS PRATIQUES : Archives Départementales de la Charente-Maritime 81-83 rue Sadi Carnot -Jonzac Tél. 05 46 48 91 13.
La "figure" du Diable se précise à partir des XIIe et XIIIe siècles et subit une véritable mutation dans les siècles suivants. Elle se révèle de plus en plus fréquente dans les églises du monde occidental. Aux côtés de l'Enfer et de ses démons, elle participe d'une rhétorique religieuse destinée à encadrer les chrétiens sur le plan moral. Le Diable devient une bête hideuse, son corps, qui tend notamment à "se féminiser" et à "se bestialiser", connaissant dans les arts une véritable mutation physique.
• INFOS PRATIQUES : Archives Départementales de la Charente-Maritime 81-83 rue Sadi Carnot -Jonzac Tél. 05 46 48 91 13.
Mortagne : Le réveil des dragons...
Les animations à Mortagne sur Gironde
• SORTIE DÉCOUVERTE : « Le réveil des dragons »
SAMEDI 29 FÉVRIER
Dans le cadre du programme de la Journée Mondiale des Zones Humides et organisé par Environat
Quoi : partons à la découverte des petits dragons : grenouilles, tritons, crapauds... qui s’extirpent de l’hibernation avec les prémices du printemps ! A la recherche de site de reproduction, c’est une période propice pour leur observation, et la découverte de leur mode de vie.
Où : Ferme de la Gravelle, Mortagne-sur-Gironde.
Quand : 14h30 -16h00.
Gratuit – Réservation obligatoire au 06 98 99 37 79 / contact@environat.fr
• ERMITAGE SAINT MARTIAL
DIMANCHE 1er MARS 9h30 à 14h30
Tous les premiers dimanches du mois, visite approfondie de ce magnifique Ancien Ermitage devenu Monastère au 18è siècle, le site jouit d'une vue imprenable sur l'estuaire de la gironde. Cet habitat troglodytique est en grande partie monolithe : ancien monastère et ses pièces de vie, escalier monumental taillé dans la falaise, chapelle monolithe. Avec humour et convivialité nous abordons la géologie, la géographie, l'histoire et des aspects architecturaux et scientifiques (lumineux et sonores). Après avoir été abandonné, malmené, délaissé le site se restaure aujourd'hui grâce aux dons des visiteurs. Nous terminerons cette belle matinée autour d'un repas convivial ; au menu : Vos spécialités maison. Le tout dans une bonne ambiance.
Un bon moment pour se rencontrer afin d'échanger, de se connaître, de s'instruire ... en toute convivialité.
Sur réservation uniquement. François 07 82 59 63 78
• CONCERT MÉTISSÉ
SAMEDI 7 MARS à 18h30
Concert métissé au LOGIS DE LA GARENNE à Mortagne avec la chanteuse sénégalaise LADDY NANCY et ses musiciens avec la participation d’ERIC LA GARENNE.
Entrée : 10 €
Apéritif sénégalais à l’issue du concert.
Contact : 06 81 73 59 20
• SORTIE NATURE : à la découverte des oiseaux du marais
DIMANCHES 8 & 22 MARS 2020
RDV 9h15 à l’écluse au port - Départ 9h30 pour 2h de balade avec un ornithologue amateur
2 € par personne (à régler directement au guide)
Contact : 05 46 48 22 27 / 05 46 08 17 66
• SOIRÉE CINÉMA
SAMEDI 14 MARS
Organisé par le club des 400 coups dans la salle Parias Frères – 36 quai de l’estuaire – sur le port
Ouverture de la salle à 18h30 6 Projection à 20h
Avant la projection : flippers des années 60’ et 70’ – Après la projection plateaux-apéro et bar
2 écrans donc 2 films
5 € - Réservation conseillée
Contact : 05 46 97 75 10
• SORTIE DÉCOUVERTE : « Le réveil des dragons »
SAMEDI 29 FÉVRIER
Dans le cadre du programme de la Journée Mondiale des Zones Humides et organisé par Environat
Quoi : partons à la découverte des petits dragons : grenouilles, tritons, crapauds... qui s’extirpent de l’hibernation avec les prémices du printemps ! A la recherche de site de reproduction, c’est une période propice pour leur observation, et la découverte de leur mode de vie.
Où : Ferme de la Gravelle, Mortagne-sur-Gironde.
Quand : 14h30 -16h00.
Gratuit – Réservation obligatoire au 06 98 99 37 79 / contact@environat.fr
• ERMITAGE SAINT MARTIAL
DIMANCHE 1er MARS 9h30 à 14h30
Tous les premiers dimanches du mois, visite approfondie de ce magnifique Ancien Ermitage devenu Monastère au 18è siècle, le site jouit d'une vue imprenable sur l'estuaire de la gironde. Cet habitat troglodytique est en grande partie monolithe : ancien monastère et ses pièces de vie, escalier monumental taillé dans la falaise, chapelle monolithe. Avec humour et convivialité nous abordons la géologie, la géographie, l'histoire et des aspects architecturaux et scientifiques (lumineux et sonores). Après avoir été abandonné, malmené, délaissé le site se restaure aujourd'hui grâce aux dons des visiteurs. Nous terminerons cette belle matinée autour d'un repas convivial ; au menu : Vos spécialités maison. Le tout dans une bonne ambiance.
Un bon moment pour se rencontrer afin d'échanger, de se connaître, de s'instruire ... en toute convivialité.
Sur réservation uniquement. François 07 82 59 63 78
• CONCERT MÉTISSÉ
SAMEDI 7 MARS à 18h30
Concert métissé au LOGIS DE LA GARENNE à Mortagne avec la chanteuse sénégalaise LADDY NANCY et ses musiciens avec la participation d’ERIC LA GARENNE.
Entrée : 10 €
Apéritif sénégalais à l’issue du concert.
Contact : 06 81 73 59 20
• SORTIE NATURE : à la découverte des oiseaux du marais
DIMANCHES 8 & 22 MARS 2020
RDV 9h15 à l’écluse au port - Départ 9h30 pour 2h de balade avec un ornithologue amateur
2 € par personne (à régler directement au guide)
Contact : 05 46 48 22 27 / 05 46 08 17 66
• SOIRÉE CINÉMA
SAMEDI 14 MARS
Organisé par le club des 400 coups dans la salle Parias Frères – 36 quai de l’estuaire – sur le port
Ouverture de la salle à 18h30 6 Projection à 20h
Avant la projection : flippers des années 60’ et 70’ – Après la projection plateaux-apéro et bar
2 écrans donc 2 films
5 € - Réservation conseillée
Contact : 05 46 97 75 10
Royan/Maine Gaudin : concours de sauts d'obstacles internationaux
Jusqu'au dimanche 8 mars, Royan Horse Club organise plusieurs Concours de Saut d'Obstacles Internationaux avec au programme CSI2*, CSI1*, CSI Jeunes Chevaux et CSI Amateur. Cavaliers et chevaux bénéficient des belles infrastructures du Centre Equestre de Royan.
Un plateau international, niveau mondial (Jeux Equestres Mondiaux) et olympiques, ainsi que les espoirs français d'un niveau européen voir mondial.
• Présents :
Philippe ROZIER, Camille CONDE FERRERA et les cavaliers des JO (Patrice DELAVEAU, Pénélope LEPREVOST, Alexis DEROUBAIX) ainsi que les jeunes qui sont déjà arrivés dans la cour des grands Edward LEVY / Margaux Rocuet
Futurs jeunes espoirs : Arthur DEQUET (19 ans), la jeune et tanlentueuse Charlotte SLOSSE (14/15 ans)
• Centre Equestre de Royan (au Maine Gaudin)
http://www.centre-equestre-royan.com/
Un plateau international, niveau mondial (Jeux Equestres Mondiaux) et olympiques, ainsi que les espoirs français d'un niveau européen voir mondial.
• Présents :
Philippe ROZIER, Camille CONDE FERRERA et les cavaliers des JO (Patrice DELAVEAU, Pénélope LEPREVOST, Alexis DEROUBAIX) ainsi que les jeunes qui sont déjà arrivés dans la cour des grands Edward LEVY / Margaux Rocuet
Futurs jeunes espoirs : Arthur DEQUET (19 ans), la jeune et tanlentueuse Charlotte SLOSSE (14/15 ans)
• Centre Equestre de Royan (au Maine Gaudin)
http://www.centre-equestre-royan.com/
Saintes/Les Verts : Renée Benchimol Lauribe, seule femme tête de liste aux Municipales
La liste d’EELV, qui vient de recevoir le soutien des Radicaux de Gauche et que conduit Renée Benchimol Lauribe, a été dévoilée en début de semaine. Son objectif : une ville qui va « vert » l’avenir en proposant de multiples actions en faveur de l’environnement et du mieux-vivre ensemble
Après le bon score obtenu aux Européennes, on se demandait si une liste écologiste se présenterait aux Municipales le 15 mars prochain. En effet, nombreux pensaient que les Verts feraient alliance avec la gauche plurielle, comme ce fut le cas auparavant. Or, rebondissement, les Verts ont non seulement une liste, mais c’est une femme, Renée Benchimol Lauribe qui la conduit. La seule tête de liste féminine dans le scrutin saintais face à J.P. Machon, P. Dietz, B. Drapron, P. Maudoux et R. Catrou.
Lundi dernier, salle Jean Rameau, l’heure était donc à l’écologie avec, pour signe distinctif, une belle écharpe verte portée par les candidats. Renée Benchimol Lauribe n’est pas une inconnue dans le paysage politique saintais : conseillère municipale d’opposition à Jean-Philippe Machon, elle a été candidate aux Législatives et Départementales. Efficace, entreprenante, cette « bosseuse » sait de quoi elle parle quand certains politiciens enrobent leur méconnaissance des dossiers par de belles paroles. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que les Verts l’aient choisie pour mener leur formation.
« En 1974, personne n'a cru René Dumont »
Tour à tour, les candidats se présentent au public : ils ont choisi un mot dont ils ont à développer le sens. Bien sûr, il est question de pollution, de traitement des déchets (il y a du boulot dans ce domaine), des plastiques dont les micro-particules nous envahissent, de protection de la nature. Georges Jousserand est sensible au sort des générations futures : « en 1974, René Dumont, premier candidat à porter l'étiquette écologiste à l’élection présidentielle, avait pressenti ce qui allait se passer. Or, personne ne pensait que c’était possible. Aujourd’hui, nous sommes placés devant le fait accompli et il faut des objectifs pour l’environnement ». Effectivement, les hausses de carburant annoncées par René Dumont ont bien eu lieu et le litre dépasse largement les 5 francs de l'époque ! « Les mentalités évoluent et les jeunes sont prêts à changer leurs pratiques. Mais gare au verdissement des listes candidates aux municipales, toutes n’ont pas la fibre aussi verte qu’elles le prétendent. Je préfère l’original aux pâles copies » souligne-t-il.
Suivent entre autres égalité, citoyenneté, liens (à tisser solidement), respect, social (présenté Dominique Godineau qui s’interroge sur la création d’un centre social intercommunal au sein de la CDA), possible (« on gaspille l’argent des impôts dans des opérations de communication, dont les fils à linge de l’arc de triomphe, alors que la rénovation des écoles se fait attendre »), solidarité, connexions (travailler en réseau), énergie, patrimoine (monuments et sites naturels à valoriser), antiquités (amphithéâtre, site Saint-Louis), eau (non seulement le fleuve Charente, mais aussi assainissement et écoulement des eaux pluviales), emplois (économie à soutenir et développer), animaux, oiseaux, soins, médecine pour tous, coquelicots (lutte contre les pesticides), enfants et vie. En toile de fond, apparaît la quête du bien-vivre ensemble, en ayant conscience que les premières victimes du pillage de la Terre sont les hommes eux-mêmes. Le profit tous azimuts est un raisonnement égoïste à court terme qui sera grave de conséquences (on s’en aperçoit déjà).
Les grandes axes de la liste « Saintes Vert l’Avenir » sont la création d’emplois durables et non délocalisables, la protection de la santé et de l’environnement, la recherche de procédés innovants, des services publics pour tous, de nouvelles pratiques démocratiques et citoyennes, des investissements raisonnés et un budget municipal maîtrisé, l’avancement de la transition écologique, une ville animée et accueillante.
Cette rencontre se termine par des échanges avec les participants. Renée Benchimol Lauribe et son équipe vous donnent rendez-vous lundi 9 mars à 19 h salle Geoffroy Martel et mardi 10 mars à 19 h salle Gérard Philippe. Venez nombreux !
• Composition de la liste
Soutenue par EELV, Renée Benchimol Lauribe a reçu l'appui des Radicaux de Gauche |
Lundi dernier, salle Jean Rameau, l’heure était donc à l’écologie avec, pour signe distinctif, une belle écharpe verte portée par les candidats. Renée Benchimol Lauribe n’est pas une inconnue dans le paysage politique saintais : conseillère municipale d’opposition à Jean-Philippe Machon, elle a été candidate aux Législatives et Départementales. Efficace, entreprenante, cette « bosseuse » sait de quoi elle parle quand certains politiciens enrobent leur méconnaissance des dossiers par de belles paroles. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que les Verts l’aient choisie pour mener leur formation.
« En 1974, personne n'a cru René Dumont »
Tour à tour, les candidats se présentent au public : ils ont choisi un mot dont ils ont à développer le sens. Bien sûr, il est question de pollution, de traitement des déchets (il y a du boulot dans ce domaine), des plastiques dont les micro-particules nous envahissent, de protection de la nature. Georges Jousserand est sensible au sort des générations futures : « en 1974, René Dumont, premier candidat à porter l'étiquette écologiste à l’élection présidentielle, avait pressenti ce qui allait se passer. Or, personne ne pensait que c’était possible. Aujourd’hui, nous sommes placés devant le fait accompli et il faut des objectifs pour l’environnement ». Effectivement, les hausses de carburant annoncées par René Dumont ont bien eu lieu et le litre dépasse largement les 5 francs de l'époque ! « Les mentalités évoluent et les jeunes sont prêts à changer leurs pratiques. Mais gare au verdissement des listes candidates aux municipales, toutes n’ont pas la fibre aussi verte qu’elles le prétendent. Je préfère l’original aux pâles copies » souligne-t-il.
Georges Jousserand : quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? |
Les grandes axes de la liste « Saintes Vert l’Avenir » sont la création d’emplois durables et non délocalisables, la protection de la santé et de l’environnement, la recherche de procédés innovants, des services publics pour tous, de nouvelles pratiques démocratiques et citoyennes, des investissements raisonnés et un budget municipal maîtrisé, l’avancement de la transition écologique, une ville animée et accueillante.
La jeune génération |
Le plus jeune candidat a 18 ans |
• Composition de la liste
Tonnellerie Radoux/Jonzac : portes ouvertes aux demandeurs d’emploi et jeunes en recherche d’une formation.
Mercredi 18 mars, la tonnellerie Radoux participera à la grande opération organisée par la Fédération des Tonneliers de France. Cette journée portes ouvertes permettra ainsi de faire découvrir le noble métier de tonnelier et de peut-être faire naître de nouvelles vocations !
• Les visites auront lieu toutes heures de 9 h à 12 h et de 13 h à 15 h par groupes de 10 personnes, uniquement sur inscription. Elles sont réservées aux demandeurs d’emploi et jeunes en recherche de formation.
• Plus d'informations et inscriptions au 05 46 48 00 65.
Tonnellerie Radoux 10 Avenue Faidherbe, 17500 Jonzac.
Vers la généralisation des maisons de naissance ?
Le sénateur de Charente Maritime, Bernard Lalande, a consigné la proposition de loi de son collègue Bernard Jomier pour la généralisation des maisons de naissance
Les maisons de naissance, inspirées de modèles existant depuis plus de quarante ans à l’étranger, n’ont fait leur apparition que récemment en France.
Nées d’une volonté commune de sages-femmes et de parents, leur expérimentation a été rendue possible par la loi n° 2013-1118 du 6 décembre 2013, à l’initiative de la sénatrice Muguette Dini. Après la publication du décret en novembre 2015, huit maisons de naissance ont ouvert leurs portes pour une durée de cinq ans : à Nancy en Meurthe-et-Moselle, Sélestat dans le Bas-Rhin, Bourgoin-Jallieu et Grenoble en Isère, Saint-Paul à La Réunion, Baie-Mahault à la Guadeloupe, Castres dans le Tarn et à Paris.
En peu de temps, elles ont prouvé qu’elles répondaient à de réels besoins et se sont imposées comme une nouvelle offre de santé périnatale complémentaire aux soins prodigués dans les maternités.
Une maison de naissance est une structure autonome de suivi médical des grossesses, de l’accouchement et de ses suites, sous la responsabilité exclusive des sages-femmes. Elle s’adresse aux femmes sans antécédents particuliers, désireuses d’un accompagnement global, d’un accouchement physiologique sécurisé et de soins du post-partum réalisés au domicile suite leur retour quelques heures après la naissance. La femme et son entourage bénéficient ainsi d’un suivi personnalisé par une ou deux sages-femmes depuis le début de la grossesse jusqu’à au moins deux mois après l’accouchement.
La sécurité est assurée par la présence constante de sages-femmes expérimentées, expertes dans le dépistage de pathologies et dans la pratique des premiers soins d’urgence pour la mère et le nouveau-né. La proximité avec le service de la maternité dont chaque maison de naissance est partenaire permet en outre un transfert rapide de la parturiente ou du nouveau-né si nécessaire.
Augmentation constante des demandes
Une étude réalisée par une équipe de l’Inserm a porté sur l’activité des huit structures tout au long de l’année 2018. Elle a permis de confirmer que les exigences en matière de pertinence, d’efficacité et de sécurité des soins prodigués dans ces structures sont au rendez-vous. Publiée en novembre 2019 à l’occasion d’une restitution accueillie au Sénat, elle a révélé un niveau de sécurité satisfaisant et conforme aux données de sécurité sanitaire étudiées sur des cohortes de population plus importantes, au Royaume-Uni ou en Australie notamment. Les maisons de naissance françaises répondent ainsi aux recommandations de la Haute Autorité de santé publiées en 2016 concernant le déroulé de l’accouchement normal.
Chacune des huit maisons de naissance françaises a fait face à une augmentation constante des demandes, à tel point qu’elles se voient aujourd’hui obligées de refuser d’accompagner des parents par manque de place. A la maison de naissance parisienne, moins de 30% des demandes peuvent être acceptées.
Cet engouement est la traduction d’évolutions sociétales plus globales. Les femmes recherchent de plus en plus une diversification de l’offre de périnatalité et en particulier, lorsqu’elles ne présentent pas de risques obstétricaux, la possibilité d’accoucher dans un environnement moins technicisé. En 2016, 14,6% des femmes interrogées à leur arrivée à la maternité déclaraient ne pas souhaiter d’analgésie péridurale. La qualité de l’accueil du nouveau-né dans l’intimité familiale et l’implication du conjoint à toutes les étapes font également partie des revendications croissantes des futurs parents.
Les sages-femmes, dont la physiologie est la compétence première, sont par ailleurs entièrement satisfaites de ce modèle car leur pratique professionnelle y est complète et diversifiée. Elles sont valorisées et investies dans l’exercice autonome de la direction médicale, financière et administrative de la structure, dans un esprit d’horizontalité.
Ainsi, tant sur le plan du respect de l’autonomie de la femme, du suivi personnalisé qui intègre pleinement les deux parents que des aspirations des sages-femmes dans l’exercice de leur profession, les maisons de naissance répondent à des besoins identifiés. Selon une étude Ipsos révélée en février 2020, une femme sur cinq, soit près de 20%, souhaiterait accoucher dans une maison de naissance.
La loi prévoyait que le Gouvernement présente au Parlement un bilan de l’expérimentation en novembre 2019, soit un an avant la fin de l’expérimentation prévue le 23 novembre 2020. Des éléments de réponses aux enjeux du modèle organisationnel, juridique et économique, propres à pérenniser les maisons de naissance dans notre système de santé, sont particulièrement attendus de ce rapport non encore publié. Concrètement et à très court terme, l’absence d’initiative législative de la part du gouvernement pour proroger l’expérimentation fait peser d’importants risques sur les maisons de naissance qui continuent d’accueillir des femmes pour des accouchements prévus à l’automne 2020. A plus long terme, leur déploiement sur tout le territoire national rejoint l’ambition de rattraper le retard qu’accuse la France sur ses voisins européens en matière d’offre diversifiée en santé périnatale.
La proposition de loi a ainsi pour objet la pérennisation des maisons de naissance existantes et propose un modèle juridique et organisationnel permettant leur généralisation.
Les maisons de naissance, inspirées de modèles existant depuis plus de quarante ans à l’étranger, n’ont fait leur apparition que récemment en France.
Nées d’une volonté commune de sages-femmes et de parents, leur expérimentation a été rendue possible par la loi n° 2013-1118 du 6 décembre 2013, à l’initiative de la sénatrice Muguette Dini. Après la publication du décret en novembre 2015, huit maisons de naissance ont ouvert leurs portes pour une durée de cinq ans : à Nancy en Meurthe-et-Moselle, Sélestat dans le Bas-Rhin, Bourgoin-Jallieu et Grenoble en Isère, Saint-Paul à La Réunion, Baie-Mahault à la Guadeloupe, Castres dans le Tarn et à Paris.
En peu de temps, elles ont prouvé qu’elles répondaient à de réels besoins et se sont imposées comme une nouvelle offre de santé périnatale complémentaire aux soins prodigués dans les maternités.
Une maison de naissance est une structure autonome de suivi médical des grossesses, de l’accouchement et de ses suites, sous la responsabilité exclusive des sages-femmes. Elle s’adresse aux femmes sans antécédents particuliers, désireuses d’un accompagnement global, d’un accouchement physiologique sécurisé et de soins du post-partum réalisés au domicile suite leur retour quelques heures après la naissance. La femme et son entourage bénéficient ainsi d’un suivi personnalisé par une ou deux sages-femmes depuis le début de la grossesse jusqu’à au moins deux mois après l’accouchement.
La sécurité est assurée par la présence constante de sages-femmes expérimentées, expertes dans le dépistage de pathologies et dans la pratique des premiers soins d’urgence pour la mère et le nouveau-né. La proximité avec le service de la maternité dont chaque maison de naissance est partenaire permet en outre un transfert rapide de la parturiente ou du nouveau-né si nécessaire.
Augmentation constante des demandes
Une étude réalisée par une équipe de l’Inserm a porté sur l’activité des huit structures tout au long de l’année 2018. Elle a permis de confirmer que les exigences en matière de pertinence, d’efficacité et de sécurité des soins prodigués dans ces structures sont au rendez-vous. Publiée en novembre 2019 à l’occasion d’une restitution accueillie au Sénat, elle a révélé un niveau de sécurité satisfaisant et conforme aux données de sécurité sanitaire étudiées sur des cohortes de population plus importantes, au Royaume-Uni ou en Australie notamment. Les maisons de naissance françaises répondent ainsi aux recommandations de la Haute Autorité de santé publiées en 2016 concernant le déroulé de l’accouchement normal.
Chacune des huit maisons de naissance françaises a fait face à une augmentation constante des demandes, à tel point qu’elles se voient aujourd’hui obligées de refuser d’accompagner des parents par manque de place. A la maison de naissance parisienne, moins de 30% des demandes peuvent être acceptées.
Cet engouement est la traduction d’évolutions sociétales plus globales. Les femmes recherchent de plus en plus une diversification de l’offre de périnatalité et en particulier, lorsqu’elles ne présentent pas de risques obstétricaux, la possibilité d’accoucher dans un environnement moins technicisé. En 2016, 14,6% des femmes interrogées à leur arrivée à la maternité déclaraient ne pas souhaiter d’analgésie péridurale. La qualité de l’accueil du nouveau-né dans l’intimité familiale et l’implication du conjoint à toutes les étapes font également partie des revendications croissantes des futurs parents.
Les sages-femmes, dont la physiologie est la compétence première, sont par ailleurs entièrement satisfaites de ce modèle car leur pratique professionnelle y est complète et diversifiée. Elles sont valorisées et investies dans l’exercice autonome de la direction médicale, financière et administrative de la structure, dans un esprit d’horizontalité.
Ainsi, tant sur le plan du respect de l’autonomie de la femme, du suivi personnalisé qui intègre pleinement les deux parents que des aspirations des sages-femmes dans l’exercice de leur profession, les maisons de naissance répondent à des besoins identifiés. Selon une étude Ipsos révélée en février 2020, une femme sur cinq, soit près de 20%, souhaiterait accoucher dans une maison de naissance.
La loi prévoyait que le Gouvernement présente au Parlement un bilan de l’expérimentation en novembre 2019, soit un an avant la fin de l’expérimentation prévue le 23 novembre 2020. Des éléments de réponses aux enjeux du modèle organisationnel, juridique et économique, propres à pérenniser les maisons de naissance dans notre système de santé, sont particulièrement attendus de ce rapport non encore publié. Concrètement et à très court terme, l’absence d’initiative législative de la part du gouvernement pour proroger l’expérimentation fait peser d’importants risques sur les maisons de naissance qui continuent d’accueillir des femmes pour des accouchements prévus à l’automne 2020. A plus long terme, leur déploiement sur tout le territoire national rejoint l’ambition de rattraper le retard qu’accuse la France sur ses voisins européens en matière d’offre diversifiée en santé périnatale.
La proposition de loi a ainsi pour objet la pérennisation des maisons de naissance existantes et propose un modèle juridique et organisationnel permettant leur généralisation.
Extrait de la lettre de communication du sénateur Bernard Lalande
Union Royan-Saintes Volley-Ball : c'est maintenant ou jamais pour les Corsaires !
À l'abordage de Narbonne !
Dimanche à 15 h à l’Espace Cordouan de Royan, les Corsaires de l’Union Royan-Saintes Volley-Ball reçoivent la formation de Narbonne Volley 2 CFC, lanterne rouge de la poule A, pour le compte de la 13ème journée. Avec pour but, pour les joueurs de Patrick Roland, de retrouver enfin le chemin de la victoire et de faire le plein de points, à savoir une victoire 3 – 0 ou 3 – 1, contre une équipe qui ne s’est imposée qu'une fois en 12 rencontres.
3 points pris qui permettraient aux Corsaires, qui comptent 1 point d’avance sur Saint-Jean d’Illac et surtout 6 sur Puygouzon, premier relègable qui n’a pas réussi à s’imposer contre Toulouse en match en retard dimanche dernier, de se donner de l’air au classement avec, après la réception de Narbonne, 5 journées restant à disputer.
3 points pris qui seraient tout "bénef", sachant également que dans le même temps ce dimanche, Saint-Jean d’Illac et Puygouzon sont en déplacement à Agde et Sète, respectivement 2èmes et leaders de la poule.
Bref, les Royano-Saintais, qui n’ont plus gagné depuis 5 rencontres, seraient bien inspirés de l’emporter. Comme ils l’avaient fait à l’aller, revenus victorieux 1 – 3 de Narbonne. Mais à la passe ce jour-là, c’était un certain David Guelle. Qui n’est plus là et qui semble aujourd’hui couler des jours heureux en Grèce aux dernières nouvelles.
Le jeune Lucas Defforge, le 2ème passeur de l’Union qui n’en sera pas lui non plus.. Cause : saison terminée en raison d’une fracture à un bras. Pour rappel, c’est très certainement le revenant Nicolas Gazeau qui sera de nouveau aux manettes et aura la lourde tâche de mettre ses attaquants dans les meilleures conditions possibles.
Et le plus tôt sera le mieux dans le match car même si les jeunes Narbonnais semblent déjà avoir presque un pied et demi en Nationale 3, inutile d’espèrer qu’ils effectuent le déplacement à Royan en victimes désignées en tant que pensionnaires du centre de formation de club de Ligue A qu’ils sont. Allez demandez leur avis aux membres du staff des espoirs sudistes, ils vous le donneront...
13ème journée de championnat de France de Nationale 2 masculine de volley-ball (poule A) :
- Union Royan-Saintes Océan Volley-Ball (7ème – 14 pts)
- Narbonne Volley 2 CFC (10ème – 4 pts).
Score match aller :
Narbonne Volley 2 CFC - Union Royan/Saintes Océan Volley-Ball : 1 – 3.
Dimanche à 15 h à l’Espace Cordouan de Royan, les Corsaires de l’Union Royan-Saintes Volley-Ball reçoivent la formation de Narbonne Volley 2 CFC, lanterne rouge de la poule A, pour le compte de la 13ème journée. Avec pour but, pour les joueurs de Patrick Roland, de retrouver enfin le chemin de la victoire et de faire le plein de points, à savoir une victoire 3 – 0 ou 3 – 1, contre une équipe qui ne s’est imposée qu'une fois en 12 rencontres.
3 points pris qui permettraient aux Corsaires, qui comptent 1 point d’avance sur Saint-Jean d’Illac et surtout 6 sur Puygouzon, premier relègable qui n’a pas réussi à s’imposer contre Toulouse en match en retard dimanche dernier, de se donner de l’air au classement avec, après la réception de Narbonne, 5 journées restant à disputer.
3 points pris qui seraient tout "bénef", sachant également que dans le même temps ce dimanche, Saint-Jean d’Illac et Puygouzon sont en déplacement à Agde et Sète, respectivement 2èmes et leaders de la poule.
Bref, les Royano-Saintais, qui n’ont plus gagné depuis 5 rencontres, seraient bien inspirés de l’emporter. Comme ils l’avaient fait à l’aller, revenus victorieux 1 – 3 de Narbonne. Mais à la passe ce jour-là, c’était un certain David Guelle. Qui n’est plus là et qui semble aujourd’hui couler des jours heureux en Grèce aux dernières nouvelles.
Le jeune Lucas Defforge, le 2ème passeur de l’Union qui n’en sera pas lui non plus.. Cause : saison terminée en raison d’une fracture à un bras. Pour rappel, c’est très certainement le revenant Nicolas Gazeau qui sera de nouveau aux manettes et aura la lourde tâche de mettre ses attaquants dans les meilleures conditions possibles.
Et le plus tôt sera le mieux dans le match car même si les jeunes Narbonnais semblent déjà avoir presque un pied et demi en Nationale 3, inutile d’espèrer qu’ils effectuent le déplacement à Royan en victimes désignées en tant que pensionnaires du centre de formation de club de Ligue A qu’ils sont. Allez demandez leur avis aux membres du staff des espoirs sudistes, ils vous le donneront...
13ème journée de championnat de France de Nationale 2 masculine de volley-ball (poule A) :
- Union Royan-Saintes Océan Volley-Ball (7ème – 14 pts)
- Narbonne Volley 2 CFC (10ème – 4 pts).
Score match aller :
Narbonne Volley 2 CFC - Union Royan/Saintes Océan Volley-Ball : 1 – 3.
Nicolas Cartier
Municipales : attribution des emplacements d'affichage
Le dépôt des candidatures pour les élections municipales et communautaires sera clos aujourd'hui jeudi 27 février à 18 h délai de rigueur. A l’issue de cette période, s’agissant des communes de 1000 habitants et plus, le préfet procède à l’attribution des emplacements d’affichage entre les listes dont la déclaration de candidature est enregistrée, par tirage au sort.
Ce tirage au sort qui aura lieu le vendredi 28 février à 11 heures :
- à la Préfecture, Cité Duperré, Salle Hermione pour les communes de l’arrondissement chef-lieu ;
- dans chaque sous-préfecture pour les autres communes de leur ressort territorial. Les candidats tête de liste peuvent assister à ce tirage au sort ou s’y faire représenter.
La campagne électorale en vue du premier tour est ouverte du lundi 2 mars à zéro heure et s’achèvera samedi 14 mars à minuit. En cas de second, tour la campagne est ouverte du lundi 16 mars à zéro heure et sera close samedi 21 mars à minuit.
mercredi 26 février 2020
Jonzac : vols et dégradations inquiétantes
Carrosserie de véhicule littéralement explosée... |
La gendarmerie poursuit son enquête et devant cette situation, on comprend que le maire, Claude Belot, veuille doter la ville de caméras de vidéo-surveillance supplémentaires...
Coronavirus : quelle organisation en région Nouvelle-Aquitaine pour faire face à une éventuelle épidémie ?
Depuis début janvier, l’Agence régionale de santé Nouvelle-Aquitaine a mis en place une organisation à l’échelle de la région pour assurer la gestion sanitaire de la situation et limiter la propagation du virus.
Par mesure de précaution et pour faire face à une éventuelle épidémie COVID-19, Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé, a demandé aux ARS de renforcer cette organisation notamment compte tenu du nombre de cas apparu en Italie. Une cellule de crise est opérationnelle au sein de l’ARS Nouvelle-Aquitaine. Elle assure la coordination des cas possibles et confirmés, le suivi des personnes contacts et l’organisation de la prise en charge avec les établissements de santé et la médecine de ville
La stratégie régionale mise en place
Dans cette première phase, les objectifs sont de détecter et de prendre en charge le plus précocement possible les cas et les personnes contacts, mais aussi de planifier la montée en puissance du système de santé pour faire face à l’évolution de la situation épidémiologique.
Les actions qui sont mises en œuvre :
• Un travail réalisé conjointement avec les établissements de santé de Nouvelle-Aquitaine pour veiller aux moyens nécessaires et prendre les mesures de protection pour la prise en charge des patients et assurer la sécurité des personnels soignants ;
• Une gestion des cas dits « possibles » grâce à la mise en place d’un circuit de signalement rigoureux connu par tous les acteurs de santé ;
• L’hospitalisation systématique des cas confirmés jusqu’à leur guérison et la mise en place d’un circuit sécurisé de prise en charge des cas possibles jusqu’à l’infirmation des tests dans les établissements de santé désignés ;
• Une identification et une prise en charge des personnes contacts exposées au virus avec la mise en place de mesures de précaution allant jusqu’à l’isolement à domicile : la cellule régionale de Santé publique France mène les investigations pour identifier les cas contacts et l’ARS assure le suivi médical de ceux-ci jusqu’à la fin de la période d’incubation du coronavirus (soit 14 jours).
• L’élargissement du dispositif de gestion des cas aux personnes revenant de Lombardie et de Vénétie (Italie) en complément des autres zones à risque (Chine continentale, Hong-Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud).
Les actions d’anticipation pour faire face à une évolution épidémique :
Pour sécuriser cette prise en charge :
• Un premier niveau de réponse s’appuie sur les établissements de santé de première ligne, habilités pour le Covid-19 c'est-à-dire les CHU de Bordeaux, Limoges et Poitiers. Ces établissements disposent notamment d’un plateau technique hautement spécialisé, opérationnel 7j/7 avec recours permanent à un infectiologue.
Ils permettent d’ores et déjà la prise en charge des patients classés «cas confirmés» dans des conditions de sécurité adaptées au sein de services de maladies infectieuses et tropicales et/ou de réanimation.
• Le CHU de Bordeaux est déjà opérationnel pour réaliser les tests de diagnostics. Les laboratoires des CHU de Poitiers et de Limoges viendront renforcer très prochainement les capacités à réaliser ces tests dans la région.
• Désormais un second niveau d’établissements est mobilisé pour augmenter les capacités des établissements de première ligne Ces établissements disposent de services d’urgences et d’infectiologie. Par ailleurs, afin de compléter le dispositif et de couvrir l’ensemble des départements de la région les CH de Tulle et de Guéret disposant d’un SAMU sont sollicités dans les mêmes conditions que les établissements de 2ème ligne.
• L’ARS Nouvelle-Aquitaine mobilise également l’ensemble des établissements en leur demandant d’être en mesure d’augmenter leur capacité d’accueil de 10%.
• Enfin, la médecine de ville est également impliquée dans le repérage des cas possibles et l’accompagnement du circuit de prise en charge.
Les mesures de prévention
Afin de diminuer les risques de propagation de la maladie, les recommandations indiquent en priorité aux personnes revenant de zone à risque de limiter les contacts avec leur entourage et les autres dans une période de 14 jours suivant leur retour de voyage. En cas de sortie inévitable, le port du masque est recommandé.
Par ailleurs, le port d’un masque chirurgical est préconisé aux personnes symptomatiques pour prévenir la contamination de leur entourage.
En conséquence, à l’heure actuelle, il n’est pas recommandé de se procurer des masques hors de ces situations et les masques FFP2 sont réservés aux professionnels de santé.
Par ailleurs, le Ministère chargé de la santé anticipe la phase épidémique et travaille sur l’ouverture de lignes supplémentaires de production de masques.
Les gestes barrières, comme notamment se laver les mains régulièrement ou utiliser des gels hydro-alcooliques, sont des réflexes incontournables à adopter pour se protéger de la maladie comme pour se protéger des autres virus qui circulent en période hivernale.
Par mesure de précaution et pour faire face à une éventuelle épidémie COVID-19, Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé, a demandé aux ARS de renforcer cette organisation notamment compte tenu du nombre de cas apparu en Italie. Une cellule de crise est opérationnelle au sein de l’ARS Nouvelle-Aquitaine. Elle assure la coordination des cas possibles et confirmés, le suivi des personnes contacts et l’organisation de la prise en charge avec les établissements de santé et la médecine de ville
La stratégie régionale mise en place
Dans cette première phase, les objectifs sont de détecter et de prendre en charge le plus précocement possible les cas et les personnes contacts, mais aussi de planifier la montée en puissance du système de santé pour faire face à l’évolution de la situation épidémiologique.
Les actions qui sont mises en œuvre :
• Un travail réalisé conjointement avec les établissements de santé de Nouvelle-Aquitaine pour veiller aux moyens nécessaires et prendre les mesures de protection pour la prise en charge des patients et assurer la sécurité des personnels soignants ;
• Une gestion des cas dits « possibles » grâce à la mise en place d’un circuit de signalement rigoureux connu par tous les acteurs de santé ;
• L’hospitalisation systématique des cas confirmés jusqu’à leur guérison et la mise en place d’un circuit sécurisé de prise en charge des cas possibles jusqu’à l’infirmation des tests dans les établissements de santé désignés ;
• Une identification et une prise en charge des personnes contacts exposées au virus avec la mise en place de mesures de précaution allant jusqu’à l’isolement à domicile : la cellule régionale de Santé publique France mène les investigations pour identifier les cas contacts et l’ARS assure le suivi médical de ceux-ci jusqu’à la fin de la période d’incubation du coronavirus (soit 14 jours).
• L’élargissement du dispositif de gestion des cas aux personnes revenant de Lombardie et de Vénétie (Italie) en complément des autres zones à risque (Chine continentale, Hong-Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud).
Les actions d’anticipation pour faire face à une évolution épidémique :
Pour sécuriser cette prise en charge :
• Un premier niveau de réponse s’appuie sur les établissements de santé de première ligne, habilités pour le Covid-19 c'est-à-dire les CHU de Bordeaux, Limoges et Poitiers. Ces établissements disposent notamment d’un plateau technique hautement spécialisé, opérationnel 7j/7 avec recours permanent à un infectiologue.
Ils permettent d’ores et déjà la prise en charge des patients classés «cas confirmés» dans des conditions de sécurité adaptées au sein de services de maladies infectieuses et tropicales et/ou de réanimation.
• Le CHU de Bordeaux est déjà opérationnel pour réaliser les tests de diagnostics. Les laboratoires des CHU de Poitiers et de Limoges viendront renforcer très prochainement les capacités à réaliser ces tests dans la région.
• Désormais un second niveau d’établissements est mobilisé pour augmenter les capacités des établissements de première ligne Ces établissements disposent de services d’urgences et d’infectiologie. Par ailleurs, afin de compléter le dispositif et de couvrir l’ensemble des départements de la région les CH de Tulle et de Guéret disposant d’un SAMU sont sollicités dans les mêmes conditions que les établissements de 2ème ligne.
• L’ARS Nouvelle-Aquitaine mobilise également l’ensemble des établissements en leur demandant d’être en mesure d’augmenter leur capacité d’accueil de 10%.
• Enfin, la médecine de ville est également impliquée dans le repérage des cas possibles et l’accompagnement du circuit de prise en charge.
Les mesures de prévention
Afin de diminuer les risques de propagation de la maladie, les recommandations indiquent en priorité aux personnes revenant de zone à risque de limiter les contacts avec leur entourage et les autres dans une période de 14 jours suivant leur retour de voyage. En cas de sortie inévitable, le port du masque est recommandé.
Par ailleurs, le port d’un masque chirurgical est préconisé aux personnes symptomatiques pour prévenir la contamination de leur entourage.
En conséquence, à l’heure actuelle, il n’est pas recommandé de se procurer des masques hors de ces situations et les masques FFP2 sont réservés aux professionnels de santé.
Par ailleurs, le Ministère chargé de la santé anticipe la phase épidémique et travaille sur l’ouverture de lignes supplémentaires de production de masques.
Les gestes barrières, comme notamment se laver les mains régulièrement ou utiliser des gels hydro-alcooliques, sont des réflexes incontournables à adopter pour se protéger de la maladie comme pour se protéger des autres virus qui circulent en période hivernale.
Cinq films soutenus par la Région Nouvelle-Aquitaine nommés aux César 2020
La 45e cérémonie des César du cinéma, organisée par l'Académie des arts et techniques du cinéma, se déroulera à la salle Pleyel à Paris vendredi 28 février et récompensera les films français sortis en 2019
Cinq films soutenus par la Région Nouvelle-Aquitaine et accompagnés par ALCA, l'agence livre, cinéma et audiovisuel de Nouvelle-Aquitaine, figurent dans la liste des nommés aux César 2020.
La Région Nouvelle-Aquitaine a mis en place une politique particulièrement active en faveur des industries culturelles et créatives. En 2020, ce sont près de 11 millions d'euros qui seront engagés en faveur du cinéma et de l'audiovisuel par la Région et les Conseils départementaux. À travers ces sélections, ce sont l'ensemble des dispositifs de soutien portés par le Conseil régional qui sont représentés : le long et le court métrage, le film d'animation, la coproduction internationale... Les aides régionales s'attachent à accompagner ces filières en favorisant la création artistique et la diversité culturelle, leur économie et leur structuration, enfin, l'accès équitable à la culture sur le territoire régional. Ainsi, le fonds d'aide permet de soutenir la réalisation d'œuvres originales grâce à une sélection fondée sur une expertise artistique et professionnelle des projets.
Nommé pour le César du Meilleur film étranger
Lola vers la mer, de Laurent Micheli
Nommé pour le César du Meilleur court métrage
Pile Poil, de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller
Nommé pour le César du Meilleur film d'animation
La Fameuse invasion des ours en Sicile, de Lorenzo Mattotti
Nommé pour le César du Meilleur premier film
Atlantique, de Mati Diop
Nommé pour le César de la Meilleure musique originale
Atlantique, de Mati Diop
Nommé pour le César du Meilleur espoir féminin
Céleste Brunnquell (Les Éblouis)
Mama Sané (Atlantique)
Cette reconnaissance d'une Académie prestigieuse conforte la Région Nouvelle-Aquitaine dans son choix de soutenir les films d'auteurs. Cet engagement se veut être attentif à l'émergence et à l'accompagnement des talents et de la création dans sa diversité.
Nommé pour le César du Meilleur film étranger |
La Région Nouvelle-Aquitaine a mis en place une politique particulièrement active en faveur des industries culturelles et créatives. En 2020, ce sont près de 11 millions d'euros qui seront engagés en faveur du cinéma et de l'audiovisuel par la Région et les Conseils départementaux. À travers ces sélections, ce sont l'ensemble des dispositifs de soutien portés par le Conseil régional qui sont représentés : le long et le court métrage, le film d'animation, la coproduction internationale... Les aides régionales s'attachent à accompagner ces filières en favorisant la création artistique et la diversité culturelle, leur économie et leur structuration, enfin, l'accès équitable à la culture sur le territoire régional. Ainsi, le fonds d'aide permet de soutenir la réalisation d'œuvres originales grâce à une sélection fondée sur une expertise artistique et professionnelle des projets.
Nommé pour le César du Meilleur film étranger
Lola vers la mer, de Laurent Micheli
Nommé pour le César du Meilleur court métrage
Pile Poil, de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller
Nommé pour le César du Meilleur film d'animation
La Fameuse invasion des ours en Sicile, de Lorenzo Mattotti
Nommé pour le César du Meilleur premier film
Atlantique, de Mati Diop
Nommé pour le César de la Meilleure musique originale
Atlantique, de Mati Diop
Nommé pour le César du Meilleur espoir féminin
Céleste Brunnquell (Les Éblouis)
Mama Sané (Atlantique)
Cette reconnaissance d'une Académie prestigieuse conforte la Région Nouvelle-Aquitaine dans son choix de soutenir les films d'auteurs. Cet engagement se veut être attentif à l'émergence et à l'accompagnement des talents et de la création dans sa diversité.
Saintes/Réforme des retraites : les avocats poursuivent leur mouvement de grève - Deux journées "justice morte" par semaine
• MOTION DU BARREAU DE SAINTES
Décision de l'assemblée générale du 24 février présidée par Me Blanche Rouxel, bâtonnier
L’Assemblée Générale des Avocats au Barreau de Saintes, réunie le 24 février, a rappelé « sa volonté de défendre la survie de la profession et son régime autonome des retraites et son opposition à l’atteinte et au détournement des cotisations versées par la profession ; que le régime de retraite des avocats est solidaire entre les avocats mais également envers le régime général en ce qu’il lui reverse chaque année près de 100 millions d’euros ; que de nombreux avocats ne pourront supporter l’augmentation substantielle des cotisations de retraite ce qui entrainera leur disparition et aura nécessairement pour effet de restreindre l’accès à un avocat et donc à la justice ; qu’aucune nouvelle proposition sérieuse n’est intervenue sur un sujet aussi important ne pouvant qu’impacter l’avenir de la profession alors même que cette dernière contribue quotidiennement au service de la justice et de la démocratie ».
Après avoir pris connaissance de la délibération du Conseil National des Barreaux réunie en assemblée générale extraordinaire le 7 février dernier appelant à la poursuite du mouvement de protestation des avocats et des préconisations de la Conférence des Bâtonniers, le Barreau de Saintes a décidé de « poursuivre le mouvement de grève et de le reconduire de façon illimitée ainsi que de prononcer la grève des audiences de toute nature à raison de deux journées "Justice morte " par semaine selon le calendrier établi par la Conférence des Bâtonniers » :
Dates : vendredi 28 février, lundi 2 mars et jeudi 5 mars, mercredi 11 mars et vendredi 13 mars, mardi 17 mars et jeudi 19 mars, lundi 23 mars et le mercredi 25 mars.
Il a également été décidé de « maintenir la reprise de toutes les désignations pénales et civiles, d’autoriser la reprise des désignations du Bâtonnier pour les gardes à vue, de prononcer la grève pour toutes audiences CRPC sur toute la période et d’organiser des actions fortes chaque semaine ».
Décision de l'assemblée générale du 24 février présidée par Me Blanche Rouxel, bâtonnier
Le mouvement des avocats contre la réforme des retraites a débuté en janvier dernier (© Michel Bertrand) |
Après avoir pris connaissance de la délibération du Conseil National des Barreaux réunie en assemblée générale extraordinaire le 7 février dernier appelant à la poursuite du mouvement de protestation des avocats et des préconisations de la Conférence des Bâtonniers, le Barreau de Saintes a décidé de « poursuivre le mouvement de grève et de le reconduire de façon illimitée ainsi que de prononcer la grève des audiences de toute nature à raison de deux journées "Justice morte " par semaine selon le calendrier établi par la Conférence des Bâtonniers » :
Dates : vendredi 28 février, lundi 2 mars et jeudi 5 mars, mercredi 11 mars et vendredi 13 mars, mardi 17 mars et jeudi 19 mars, lundi 23 mars et le mercredi 25 mars.
Il a également été décidé de « maintenir la reprise de toutes les désignations pénales et civiles, d’autoriser la reprise des désignations du Bâtonnier pour les gardes à vue, de prononcer la grève pour toutes audiences CRPC sur toute la période et d’organiser des actions fortes chaque semaine ».
Témoignage/Montendre : Grâce à l'école Marceline qu'il a créée au Cameroun, le Père Hubert contribue à faire entrer les enfants dans le monde du XXIe siècle
Originaire du Cameroun, le père Hubert a été curé de Montendre de 2014 à 2017. Conscient que la transmission de la connaissance est un pilier essentiel de l'évolution, cet homme volontaire et généreux avait un rêve : construire une école quand il serait de retour dans son pays. Elle est devenue réalité comme l'a constaté un groupe de paroissiens en visite récemment.
Projection des photos et commentaires samedi 7 mars à 15 h 30 à la salle paroissiale de Montendre. Venez nombreux ! Reportage et photos de Chantal et Bernard Bontrond.
Le lendemain de notre arrivée, se déroule la grande fête nationale de la jeunesse où toutes les écoles défilent devant les personnalités. Nous voici au rythme de l'Afrique : l'école Marceline du Père Hubert, que dirige Rémy, obtient le prix d'excellence avec la seconde classe. Bernard s'improvise chauffeur de bus en raison de l'absence de ce dernier.
Les jours suivants, nous découvrirons l'école Marceline en deux temps
Le premier se déroule sans les élèves afin de constater les travaux réalisés et poser toutes les questions. Le Père Hubert a hérité de ce terrain au décès de ses parents (l'école porte le prénom de sa maman Marceline) et plutôt que de le vendre à des promoteurs, il a choisi de créer une école privée bilingue. En réalité, trois langues y sont enseignées, français, anglais et yemba.
Actuellement, on compte six classes (2 maternelles et 4 primaires), une cantine, un bureau pour le directeur, des sanitaires, une salle multimédia et, en construction, une cuisine et une infirmerie.
Le but est de permettre aux enfants (vivant dans des masures sans eau, ni électricité) d'entrer dans le monde de 2020. Les éduquer à la propreté en utilisant les toilettes et non la nature. De recycler les déchets afin de ne plus avoir des poubelles géantes dans la nature. En sensibilisant les enfants, il touche aussi les parents. Chaque année, il développe un programme médical : en 2019 les yeux, en 2020 les dents. Pour le mois d'avril, il recherche d'ailleurs 100 brosses à dents pour les jeunes.
Par an, la scolarité d'un enfant coûte entre 120 et 150 euros selon l'âge. Nombreux ont du mal à régler cette somme, mais aucun élève n'est refusé. Il existe une section "petits" pour laquelle il souhaite acheter des matelas qui leur permettront de faire la sieste.
L’école fonctionne avec un groupe électrogène car le courant n’est pas encore arrivé à l’école. Il lui faut également amener de l’eau, le puits qu’il avait prévu étant asséché par les habitants vivant aux alentours.
Le second temps consiste en un plongeon dans la vie de l'école qui regroupe 80 enfants et leurs instituteurs, enthousiasmés par ce qu'ils découvrent dans nos valises. Avec ce que nous avons apporté, l'école avance dans un certain confort et modernisme. Le groupe dialogue et échange avec les élèves.
L'avenir du Cameroun passe par des jeunes formés et instruits, connaissances qui leur donneront des raisons de croire en un avenir meilleur.
• Vous souhaitez participer ? Les dons sont toujours les bienvenus au nom de l'association Soleil Espoir Cameroun.
Contact : tel 05 46 49 22 66 – paroisse.montendre@gmail.com
Projection des photos et commentaires samedi 7 mars à 15 h 30 à la salle paroissiale de Montendre. Venez nombreux ! Reportage et photos de Chantal et Bernard Bontrond.
Là-haut sur la colline, l'école Marceline du Père Hubert |
Le père Hubert quand il était curé de Montendre |
Partis pour dix jours, nous sommes arrivés à l'aéroport de Douala où nous attendait le Père Hubert. A 19 h, enfin réunis, nous y sommes restés deux jours en raison des élections municipales et législatives. Junie, jeune mère de famille de deux enfants, a assuré l'intendance avec des plats très copieux ! Les informations officielles relatent une forte mobilisation démocratique. Or, des journalistes font part du taux de participation infime (50 citoyens sur 350 ont voté dans un quartier par exemple) et de malversations. En effet, les opposants à Paul Biya (âgé de 86 ans) ont appelé au boycott...
Départ pour Dschang au Nord-Ouest du pays à 240 km de Douala. Nous mettons cinq heures pour y arriver tant les routes sont mauvaises et criblées de trous. Seuls les axes principaux sont goudronnés, le reste du réseau routier est composé de pistes en terre rouge. Tout au long de la route, on nous propose boissons, fruits, animaux morts ou vivants (pangolins, rats, crapaud géants, et même serpents).
Les classes maternelles |
Les classes primaires |
Le premier se déroule sans les élèves afin de constater les travaux réalisés et poser toutes les questions. Le Père Hubert a hérité de ce terrain au décès de ses parents (l'école porte le prénom de sa maman Marceline) et plutôt que de le vendre à des promoteurs, il a choisi de créer une école privée bilingue. En réalité, trois langues y sont enseignées, français, anglais et yemba.
Actuellement, on compte six classes (2 maternelles et 4 primaires), une cantine, un bureau pour le directeur, des sanitaires, une salle multimédia et, en construction, une cuisine et une infirmerie.
Le but est de permettre aux enfants (vivant dans des masures sans eau, ni électricité) d'entrer dans le monde de 2020. Les éduquer à la propreté en utilisant les toilettes et non la nature. De recycler les déchets afin de ne plus avoir des poubelles géantes dans la nature. En sensibilisant les enfants, il touche aussi les parents. Chaque année, il développe un programme médical : en 2019 les yeux, en 2020 les dents. Pour le mois d'avril, il recherche d'ailleurs 100 brosses à dents pour les jeunes.
Par an, la scolarité d'un enfant coûte entre 120 et 150 euros selon l'âge. Nombreux ont du mal à régler cette somme, mais aucun élève n'est refusé. Il existe une section "petits" pour laquelle il souhaite acheter des matelas qui leur permettront de faire la sieste.
L’école fonctionne avec un groupe électrogène car le courant n’est pas encore arrivé à l’école. Il lui faut également amener de l’eau, le puits qu’il avait prévu étant asséché par les habitants vivant aux alentours.
Le second temps consiste en un plongeon dans la vie de l'école qui regroupe 80 enfants et leurs instituteurs, enthousiasmés par ce qu'ils découvrent dans nos valises. Avec ce que nous avons apporté, l'école avance dans un certain confort et modernisme. Le groupe dialogue et échange avec les élèves.
L'avenir du Cameroun passe par des jeunes formés et instruits, connaissances qui leur donneront des raisons de croire en un avenir meilleur.
• Vous souhaitez participer ? Les dons sont toujours les bienvenus au nom de l'association Soleil Espoir Cameroun.
Contact : tel 05 46 49 22 66 – paroisse.montendre@gmail.com