Parmi les pièces de Molière bien connues des élèves, figurent les Fourberies de Scapin, intrigue des plus cocasses qui fait triompher les vertus de l'amour que portent deux jeunes gens à leurs dulcinées. Ainsi est terrassée l'avarice de leurs pères, le tout orchestré par le fameux Scapin. Ce valet ingénieux et malicieux veut le bonheur de ses maîtres et par la même occasion le nôtre, public nombreux réuni au centre des congrès vendredi dernier.
Aurions-nous oublié lesdites Fourberies - le temps passant et les bancs du lycée s'éloignant inexorablement - qu'elles sont apparues aussi fraîches qu'un premier juillet, jouées par la compagnie de l'Eternel Eté. Jonchant leur sillon d'éclats de rires et de bonne humeur, dépoussiérées, rondement menées, les affaires sentimentales n'ont pas pris une ride.
Bravo aux comédiens pour leur talent, dont Benoît Gruel, originaire de Montendre. Et que dire des effets spéciaux dont le fameux sac couvrant une partie de la salle où Géronte se cache des spadassins !
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| Mise en scène d'Emmanuel Besnault |
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| Des scènes hautes en couleurs, rythmées, tourbillonnantes ! |
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Le sac envahissant une partie de la salle où se cache Géronte |
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| Bravo aux comédiens qui incarnent plusieurs personnages Photos Nicole Bertin |
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