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mercredi 24 août 2016

Montendre : quand Pierre Frétel
rendait son tablier et que Bernard Lalande
n'était pas candidat au poste de maire...

Les archives sont des mines d'or, c'est connu. Ainsi, des affaires oubliées, consultables dans les documents et journaux de la fin du XXe siècle, peuvent être évoquées dans le but de conserver la mémoire.
En 1993, au mois de janvier, c'est la stupeur à Montendre. Elu en 1989 après avoir battu Claude Augier, voici que le maire Pierre Frétel donne sa démission. Comme il est écrit dans l'article de la Haute Saintonge qui paraît alors en petit format, il aurait craqué face aux critiques, « manquant de marges de manœuvre faute de moyens » dit-on dans son entourage. Officieusement, on prétend qu'il se serait accroché avec l'un de ses proches collègues pour siéger à la Communauté de Communes.

Si les Montendrais sont tristes d'apprendre la démission de Pierre Frétel (décédé en 2013), ils sont émus en découvrant la mort d'Anna Defer, une vieille dame assassinée chez elle à Montguyon...
Pierre Frétel explique sa décision dans la presse hebdomadaire. Au premier rang de cette photo de l'équipe municipale, on reconnait M. Bernard qui a marqué l'histoire montendraise et diffusé durant des décennies La feuille des Nouvelles avec l'Humanité. Il nous manque !
• Dans un premier temps, Bernard Lalande, qui a été élu sur la liste de Pierre Frétel, ne semble pas trop chaud pour lui succéder : « je ne suis pas candidat au poste de maire » déclare-t-il en février 1993. Ce qui ne l'empêche pas de devenir premier magistrat de la ville de Montendre cette même année, poste qu'il occupe toujours avec une représentation à la CDCHS dont il est actuellement vice-président.

Dans cette édition, on apprend également la venue de René Monory, alors ministre, à Jonzac, de même que le différend qui oppose Philippe Dupuis à Claude Belot. Mais ça, c'est une autre hsitoire !
Il ne faut jamais dire : fontaine, je ne boirai pas de ton eau !!!

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