Dominique Bussereau, président du Conseil départemental de Charente-Maritime, ne s'entend pas très bien avec Ségolène, c'est connu. Il a "matière" exposée mercredi matin à Jonzac lors de la venue d'Alain Juppé...
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Dominique Bussereau aux côtés de Claude Belot et Alain Juppé aux Antilles de Jonzac |
La Région Nouvelle-Aquitaine met du temps à se mettre en place et a découvert que le Poitou-Charentes avait des dettes :
« On s'est aperçu qu'à partir d'octobre, cette collectivité ne payait plus une seule entreprise. Imaginez un budget sur sept mois dans lequel on transfère des crédits d'investissement sur le fonctionnement. Le FRIL, ce n'était pas le rôle de la Région qui aurait mieux fait de participer à la réalisation de la LGV Tours/Bordeaux. Ce n'était pas non plus son rôle d'organiser des concerts dans les églises romanes, manifestations que peuvent encadrer les Communautés de communes ou d'agglomération. Que chacun fasse son boulot. La région Poitou Charentes était au bord de la faillite. A l'automne, la Chambre régionale des comptes présentera le bilan financier exact » a-t-il déclaré.
A cette époque, les oreilles de Ségolène Royal siffleront. Elle préparera une riposte, à n'en pas douter…
Mr Bussereau a raison: que chacun fasse son boulot.
RépondreSupprimerComme aurait dû le faire le ministre de l'agriculture D. Bussereau lors de l'apparition du Vespa Velutina (frelon asiatique) en le déclarant fléau naturel.
Ce qui aurait peut-être évité à la bébête de se répandre à travers toute la France en détruisant les abeilles.
De même que le ministre des transports D. Bussereau qui avait promis de développer le ferroutage pour éviter l'invasion de nos routes et autoroutes par d'énormes camions dont il a autorisé par la suite la circulation.
Est-ce que le commentateur a bien fait son boulot ?