De nombreux élus et habitants ont saisi le sénateur Mickaël Vallet et lui ont fait part de leur incompréhension concernant la lenteur d'avancement du classement en "catastrophe naturelle sécheresse" de leur commune et surtout des réponses apportées. Comment expliquer que des communes distinctes de quelques kilomètres à vol d'oiseau, dans des milieux naturels et géologiques identiques, subissent un traitement différencié ? « Ni les dispositions législatives en vigueur, ni les arrêtés, ni les avis rendus par la commission interministérielle de reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle n'apportent une réponse satisfaisante à cette question » estime Mickaël Vallet qui partage le même constat.
C'est la raison pour laquelle, dès le 21 septembre, il a saisi le ministre de l'Intérieur d'une demande de rendez-vous, date non fixée à ce jour, afin de faire connaître l'incompréhension des élus et des habitants concernés en Charente-Maritime et l'interroger sur les suites à donner.
• Copie de la lettre adressée à Gérald Darmanin :
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